Galette snobé par trois vilains selon Perrin

03/05/2019
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La Pravda à paraître demain revient sur la période où Christophe Galtier était entraîneur adjoint chez les vilains. Extraits.

"Avec Alain Perrin, il a remporté les titres qu'il n'a pas eus en tant que joueur, la Coupe de France avec Sochaux en 2007, le doublé Coupe-Championnat avec l'OL en 2008. L'idée de voler de ses propres ailes commence à affleurer, sans trop y penser. Une fois, dans un restaurant à Sochaux, Alain Perrin le provoqua sur la question : "Il a fallu le convaincre. Je savais qu'à mon âge, je n'aurais plus beaucoup l'occasion de coacher, il fallait que lui y pense mais il me disait ne pas se sentir prêt, ni pressé, par rapport à la pression et l'instabilité. Le terrain ne lui faisait pas peur mais la fonction étendue, la gestion des contrats, des agents, oui." Confortable dans la fonction d'adjoint où, selon Loïc Perrin, les joueurs le voient presque comme leur "pote", il connaîtra un épisode douloureux à Lyon, ostracisé selon Alain Perrin par les historiques (Robert Duverne, Joël Bats, Bruno Genesio dans une moindre mesure) : "Il était dans un bureau de quatre personnes. Aucune des trois autres ne lui adressait la parole, parfois pendant deux heures. Quand ils partaient déjeuner au restaurant du club, ils ne lui proposaient jamais de venir."

Le coup est rude pour celui qui, en 2010, pensait qu'"un homme heureux fera un salarié heureux et performant". Mais il a le soutien des joueurs, encore, et Sidney Govou lui rendra hommage plus tard : "Pour moi, c'était plus qu'un adjoint, c'était l'équivalent d'Alain Perrin." Il devint même un peu plus que ça, au moment du licenciement du numéro 1 de Saint-Étienne, le 15 décembre 2009. Les deux présidents stéphanois Roland Romeyer et Bernard Caïazzo veulent lui confier l'intérim, il refuse dans un premier temps, par loyauté. Une discussion sur le parking de L'Étrat avec Alain Perrin le confortera : "Il m'a demandé si cela ne me dérangeait pas. Si j'avais répondu si, que ce serait-il passé ? Tôt ou tard, il serait devenu numéro 1 quand même." Quatre jours plus tard, le 19 décembre, Galette dirigeait, contre l'OM (0-0), le premier de ses 361 matches à la tête de Saint-Étienne. Dimanche, contre Lyon, l'entraîneur lillois atteindra le total de 420 matches comme numéro 1."

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