Alexis Ajinça aime les Verts
Nouveau pivot des Bobcats, Alexis Ajinça a expliqué toute l’affection qu’il porte aux Verts sur le site de l’ASSE.
«Je suis un supporter acharné. Je suis fier d’être stéphanois. Je suis très chauvin. J’ai été baigné par la passion verte. Mes voisins étaient des Magic Fans. Je suis à fond pour les Verts dont je suis l’actualité à la télé et par internet. A Charlotte, je voulais porter le numéro 42 (comme le département de la Loire, Ndlr), mais il était déjà pris, comme le 24. Alors j’ai opté pour le 21. Je vais afficher mes couleurs. Je viendrais parfois avec une écharpe de l’ASSE aux entraînements. Je vais d’ailleurs ramener une cravate de l’ASSE à mon nouveau coach.»
http://www.sport24.com/fil-info/alexis- ... ts-181871/
[Basket] Reprise saison NBA
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
:lol:
Exactement ce qu'il m'avait dit lorsque je lui avais posé quelques question pour zoom42 :lol:
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=21634
L'Espagne a eu chaud
Championne du monde en titre, l'Espagne a frôlé la correctionnelle pour son deuxième match au tournoi olympique de Pékin. Les coéquipiers de Pau Gasol (29 points) ont dominé la Chine après prolongation (85-75), alors qu'ils étaient menés de quatorze points à dix minutes du buzzer. De leur côté, les Etats-Unis se sont amusés contre l'Angola (97-76). La Grèce s'est ressaisie en dominant l'Allemagne (87-64).
Les dix premières minutes de la Chine face aux Etats-Unis, il y a deux jours, n'étaient pas un mirage. Les coéquipiers de Yao Ming sont définitivement adroits à longue distance. Et, avec l'apport de leur public, ils peuvent gêner n'importe quelle équipe. Si le Team USA avait profité de la baisse de réussite des Chinois pour facilement l'emporter (101-70), l'Espagne a, elle, connu plus de difficultés, ce mardi, sur le parquet de Wukesong.
Pour son deuxième match dans le Groupe B du tournoi olympique de Pékin, l'équipe championne du monde a même failli passer au travers, après une victoire pourtant convaincante devant la Grèce (81-66). Elle s'est néanmoins sauvée in extremis (85-75, ap), profitant du manque d'expérience de son adversaire dans le money-time. Rapidement menés au score, les hommes d'Alessandro Garcia Reneses ont fait tout le match derrière jusqu'à atteindre, à dix minutes du buzzer, quatorze points de retard. Mais c'était oublier Pau Gasol. L'intérieur des Los Angeles Lakers, bien aidé par Rudy Fernandez (21 points, 8 rebonds et 6 passes), s'est réveillé quand ses coéquipiers pensaient sombrer.
Auteur de 29 points à 76% de réussite au shoot, auxquels il faut ajouter 8 rebonds, le pivot espagnol a permis aux siens d'arracher la prolongation. Un coup de bambou sur les crânes chinois, incapables de se remettre d'une telle avance gâchée. Les cinq minutes de temps supplémentaire ont ensuite été à sens unique (13-3), Yao Ming terminant la rencontre sur les rotules (11 points, 9 rebonds). Si l'Espagne peut se satisfaire d'avoir gagné un match tendu jusqu'au bout, la Chine voit la route vers les quarts de finale se refermer dangereusement. Paralysés par l'enjeu au moment de conclure, les coéquipiers de Liu Wei (19 points) apprennent l'exigence du haut niveau. Seul un sans faute leur permettra désormais de poursuivre "leur" aventure.
La Grèce et l'Argentine se rebiffent
Pour les Etats-Unis, en revanche, le parcours de santé se poursuit. L'Angola ne leur a posés aucun problème (97-76). Comme face aux Chinois, les Américains ont montré l'étendue de leurs qualités en attaque, avec Dwyane Wade (19 points, 5 rebonds), Dwight Howard (14 points), LeBron James et Carmelo Anthony (12 points chacun). Mais que le Team USA ne se réjouisse pas trop vite. Les deux gros morceau du Groupe, la Grèce et l'Espagne, se profilent et cela ne sera pas de tout repos. Car la Grèce a réagi à ses débuts manqués. Opposés à l'Allemagne, les Grecs se sont largement imposés (87-64), grâce notamment aux 23 points de Vasileios Spanoulis alors que Dirk Nowitzki n'a cumulé que 13 points et 6 rebonds.
Dans le Groupe A, l'Argentine, tenante du titre, a repris du poil de la bête contre l'Australie. Dominés par la Lituanie (79-75) dimanche, les Argentins n'ont cette fois pas négligé les extérieurs avec une adresse de 50% à trois points (11/22). Manu Ginobili (21 points, 4 rebonds, 7 passes) a été le principal artisan de la victoire des Albiceleste, qui n'ont pas dit leur dernier mot dans ce tournoi. Il leur faudra tout de même se méfier de la Croatie, qui est venue à bout de la Russie (85-78), championne d'Europe en 2007. Marko Popovic (22 points) et Zoran Planinic (20 points) ont assuré le spectacle côté croate. La Lituanie, facile vainqueur de l'Iran (99-67), ne faiblira pas non plus.
www.sports.fr
EdF (M): Diawara sur le retour ?
Tout juste recruté par le Miami Heat, Yakhouba Diawara pourrait effectuer son retour en équipe de France. L'ancien ailier des Denver Nuggets (26 ans, 2,01 m) apporterait ainsi ses qualités défensives à un groupe en difficulté à un mois des qualifications pour l'Euro 2009. Les Bleus sortent en effet de quatre défaites consécutives lors du tournoi de Bormio, en Italie. La Fédération française devrait officialiser l'information très prochainement.
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Exactement ce qu'il m'avait dit lorsque je lui avais posé quelques question pour zoom42 :lol:
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L'Espagne a eu chaud
Championne du monde en titre, l'Espagne a frôlé la correctionnelle pour son deuxième match au tournoi olympique de Pékin. Les coéquipiers de Pau Gasol (29 points) ont dominé la Chine après prolongation (85-75), alors qu'ils étaient menés de quatorze points à dix minutes du buzzer. De leur côté, les Etats-Unis se sont amusés contre l'Angola (97-76). La Grèce s'est ressaisie en dominant l'Allemagne (87-64).
Les dix premières minutes de la Chine face aux Etats-Unis, il y a deux jours, n'étaient pas un mirage. Les coéquipiers de Yao Ming sont définitivement adroits à longue distance. Et, avec l'apport de leur public, ils peuvent gêner n'importe quelle équipe. Si le Team USA avait profité de la baisse de réussite des Chinois pour facilement l'emporter (101-70), l'Espagne a, elle, connu plus de difficultés, ce mardi, sur le parquet de Wukesong.
Pour son deuxième match dans le Groupe B du tournoi olympique de Pékin, l'équipe championne du monde a même failli passer au travers, après une victoire pourtant convaincante devant la Grèce (81-66). Elle s'est néanmoins sauvée in extremis (85-75, ap), profitant du manque d'expérience de son adversaire dans le money-time. Rapidement menés au score, les hommes d'Alessandro Garcia Reneses ont fait tout le match derrière jusqu'à atteindre, à dix minutes du buzzer, quatorze points de retard. Mais c'était oublier Pau Gasol. L'intérieur des Los Angeles Lakers, bien aidé par Rudy Fernandez (21 points, 8 rebonds et 6 passes), s'est réveillé quand ses coéquipiers pensaient sombrer.
Auteur de 29 points à 76% de réussite au shoot, auxquels il faut ajouter 8 rebonds, le pivot espagnol a permis aux siens d'arracher la prolongation. Un coup de bambou sur les crânes chinois, incapables de se remettre d'une telle avance gâchée. Les cinq minutes de temps supplémentaire ont ensuite été à sens unique (13-3), Yao Ming terminant la rencontre sur les rotules (11 points, 9 rebonds). Si l'Espagne peut se satisfaire d'avoir gagné un match tendu jusqu'au bout, la Chine voit la route vers les quarts de finale se refermer dangereusement. Paralysés par l'enjeu au moment de conclure, les coéquipiers de Liu Wei (19 points) apprennent l'exigence du haut niveau. Seul un sans faute leur permettra désormais de poursuivre "leur" aventure.
La Grèce et l'Argentine se rebiffent
Pour les Etats-Unis, en revanche, le parcours de santé se poursuit. L'Angola ne leur a posés aucun problème (97-76). Comme face aux Chinois, les Américains ont montré l'étendue de leurs qualités en attaque, avec Dwyane Wade (19 points, 5 rebonds), Dwight Howard (14 points), LeBron James et Carmelo Anthony (12 points chacun). Mais que le Team USA ne se réjouisse pas trop vite. Les deux gros morceau du Groupe, la Grèce et l'Espagne, se profilent et cela ne sera pas de tout repos. Car la Grèce a réagi à ses débuts manqués. Opposés à l'Allemagne, les Grecs se sont largement imposés (87-64), grâce notamment aux 23 points de Vasileios Spanoulis alors que Dirk Nowitzki n'a cumulé que 13 points et 6 rebonds.
Dans le Groupe A, l'Argentine, tenante du titre, a repris du poil de la bête contre l'Australie. Dominés par la Lituanie (79-75) dimanche, les Argentins n'ont cette fois pas négligé les extérieurs avec une adresse de 50% à trois points (11/22). Manu Ginobili (21 points, 4 rebonds, 7 passes) a été le principal artisan de la victoire des Albiceleste, qui n'ont pas dit leur dernier mot dans ce tournoi. Il leur faudra tout de même se méfier de la Croatie, qui est venue à bout de la Russie (85-78), championne d'Europe en 2007. Marko Popovic (22 points) et Zoran Planinic (20 points) ont assuré le spectacle côté croate. La Lituanie, facile vainqueur de l'Iran (99-67), ne faiblira pas non plus.
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EdF (M): Diawara sur le retour ?
Tout juste recruté par le Miami Heat, Yakhouba Diawara pourrait effectuer son retour en équipe de France. L'ancien ailier des Denver Nuggets (26 ans, 2,01 m) apporterait ainsi ses qualités défensives à un groupe en difficulté à un mois des qualifications pour l'Euro 2009. Les Bleus sortent en effet de quatre défaites consécutives lors du tournoi de Bormio, en Italie. La Fédération française devrait officialiser l'information très prochainement.
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Les Etats-Unis impériaux !
Pour leur premier vrai test dans ce tournoi olympique, les Etats-Unis n'ont pas fait dans la dentelle contre la Grèce, jeudi à Pékin. Guidés par Wade, Bryant et Bosh, les Américains ont surclassé leurs adversaires (92-69), grâce à une défense... "à la grecque". A eux de confirmer dans deux jours face à l'Espagne, l'autre gros morceau du Groupe B.
Fini l'entraînement. Opposés à la Grèce, les Etats-Unis entraient de plain-pied dans ce tournoi olympique de Pékin, ce jeudi, après deux victoires anecdotiques contre la Chine (101-70) et l'Angola (97-76). Et les Américains n'ont pas déçu. L'adversité les a même fait monter d'un cran encore leur niveau de jeu. Solides en défense, et toujours aussi spectaculaires en attaque, les hommes de Mike Krzyzewski ont paru facile, remportant largement leur troisième succès de suite (92-69).
Sur ce match, le Team USA a eu l'occasion d'étalonner plusieurs inconnues: son secteur intérieur, de petite taille, a fait le poids contre le "Baby Shaq" grec, Sofoklis Schortsianitis - en témoignent les 18 points et 5 rebonds de Chris Bosh -, et sa présumée impatience a su résister face au jeu ralenti de la Grèce. Dès lors, plus rien ne pouvait arrêter les Etats-Unis. Accrochés en début de match (13-13, 6e), les Américains ont passé la vitesse supérieure en fin de premier quart-temps (28-16, 10e), profitant de l'inhabituelle maladresse de leurs adversaires à trois points (4/18 soit 22%). Dwyane Wade, impérial dans les airs comme à longue distance avec 17 points, 5 passes et 6 interceptions, mettait les siens à l'abri.
Diamantidis fait chou blanc
Cela faisait longtemps que les Etats-Unis n'avaient pas montré un visage aussi combatif, aussi volontaire. Chris Bosh, surmotivé, LeBron James et Kobe Bryant, explosifs, se chargeaient ensuite de creuser l'écart dans un deuxième quart-temps à sens unique (51-32, 20e). En face, Theodoros Papaloukas et Vasileios Spanoulis tentaient de faire bonne figure, mais le peu d'influence de Dimitrios Diamantidis (0 point, à 0/4 aux tirs en 26 minutes) plombait le jeu grec. Il y a deux ans, lors des Championnats du monde, les Hellènes étaient déjà passés au travers en début de rencontre, avant de combler quatorze points de retard pour l'emporter (101-95), privant les Etats-Unis de finale.
Ce scénario improbable allait-il se répéter ? Non, car l'équipe américaine version 2008 n'a rien à voir avec son aînée de 2006. Cette fois, l'esprit de groupe est bien présent. La concentration en défense est intense. Les Américains ont d'ailleurs considérablement gêné les Grecs dans les intervalles, coupant les trajectoires de passes et chipant plusieurs ballons importants (15 interceptions et 25 ballons perdus forcés). Etouffée, la Grèce ne pouvait que constater les dégâts (82-57, 35e). Kobe Bryant, auteur de plusieurs dunks sensationnels dont un alley-oop d'anthologie sur une passe de LeBron James qui tentait d'éviter la touche, terminait la rencontre avec 18 points et 4 rebonds au compteur. L'Espagne, prochain adversaire des hommes de "Coach K", est prévenue. L'Amérique est toute puissante.
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Pour leur premier vrai test dans ce tournoi olympique, les Etats-Unis n'ont pas fait dans la dentelle contre la Grèce, jeudi à Pékin. Guidés par Wade, Bryant et Bosh, les Américains ont surclassé leurs adversaires (92-69), grâce à une défense... "à la grecque". A eux de confirmer dans deux jours face à l'Espagne, l'autre gros morceau du Groupe B.
Fini l'entraînement. Opposés à la Grèce, les Etats-Unis entraient de plain-pied dans ce tournoi olympique de Pékin, ce jeudi, après deux victoires anecdotiques contre la Chine (101-70) et l'Angola (97-76). Et les Américains n'ont pas déçu. L'adversité les a même fait monter d'un cran encore leur niveau de jeu. Solides en défense, et toujours aussi spectaculaires en attaque, les hommes de Mike Krzyzewski ont paru facile, remportant largement leur troisième succès de suite (92-69).
Sur ce match, le Team USA a eu l'occasion d'étalonner plusieurs inconnues: son secteur intérieur, de petite taille, a fait le poids contre le "Baby Shaq" grec, Sofoklis Schortsianitis - en témoignent les 18 points et 5 rebonds de Chris Bosh -, et sa présumée impatience a su résister face au jeu ralenti de la Grèce. Dès lors, plus rien ne pouvait arrêter les Etats-Unis. Accrochés en début de match (13-13, 6e), les Américains ont passé la vitesse supérieure en fin de premier quart-temps (28-16, 10e), profitant de l'inhabituelle maladresse de leurs adversaires à trois points (4/18 soit 22%). Dwyane Wade, impérial dans les airs comme à longue distance avec 17 points, 5 passes et 6 interceptions, mettait les siens à l'abri.
Diamantidis fait chou blanc
Cela faisait longtemps que les Etats-Unis n'avaient pas montré un visage aussi combatif, aussi volontaire. Chris Bosh, surmotivé, LeBron James et Kobe Bryant, explosifs, se chargeaient ensuite de creuser l'écart dans un deuxième quart-temps à sens unique (51-32, 20e). En face, Theodoros Papaloukas et Vasileios Spanoulis tentaient de faire bonne figure, mais le peu d'influence de Dimitrios Diamantidis (0 point, à 0/4 aux tirs en 26 minutes) plombait le jeu grec. Il y a deux ans, lors des Championnats du monde, les Hellènes étaient déjà passés au travers en début de rencontre, avant de combler quatorze points de retard pour l'emporter (101-95), privant les Etats-Unis de finale.
Ce scénario improbable allait-il se répéter ? Non, car l'équipe américaine version 2008 n'a rien à voir avec son aînée de 2006. Cette fois, l'esprit de groupe est bien présent. La concentration en défense est intense. Les Américains ont d'ailleurs considérablement gêné les Grecs dans les intervalles, coupant les trajectoires de passes et chipant plusieurs ballons importants (15 interceptions et 25 ballons perdus forcés). Etouffée, la Grèce ne pouvait que constater les dégâts (82-57, 35e). Kobe Bryant, auteur de plusieurs dunks sensationnels dont un alley-oop d'anthologie sur une passe de LeBron James qui tentait d'éviter la touche, terminait la rencontre avec 18 points et 4 rebonds au compteur. L'Espagne, prochain adversaire des hommes de "Coach K", est prévenue. L'Amérique est toute puissante.
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Rubio, le nouveau ''mago''
Agé de 17 ans seulement, le jeune meneur-arrière ibérique, Ricky Rubio, participe aux Jeux Olympiques avec la sélection espagnole et aide les partenaires de Pau Gasol dans leur conquête d'or. Véritable surdoué du cuir, le joueur de Badalone surprend par son intelligence de jeu et sa défense à toute épreuve. Auteur d'un match solide face à la Chine, il s'annonce déjà comme un futur grand d'Europe avant de s'envoler, dans quelques années, pour les Etats-Unis.
Depuis Michael Jordan et Lebron James, la planète basket n'avait pas connu un joueur aussi prometteur. Au grand dam des Américains, le nouveau crack des parquets est Espagnol. Il s'agit d'un jeune homme né en octobre 1990, évoluant au poste de meneur-arrière, Ricard Rubio Vives dit "Ricky" Rubio. Invité par le sélectionneur espagnol, Aito Garcia, à disputer les Jeux Olympiques aux côtés des stars Pau Gasol, Juan Carlos Navarro et consorts, le joueur de la Joventut Badalona impressionne par sa maturité, son intelligence de jeu et sa défense. Il trouve peu à peu sa place dans la rotation des champions du monde, jouant un peu plus de 15 minutes de moyenne par match.
Même si ses statistiques individuelles ne sont pas éblouissantes (5 pts, 3,3 rbs, 2,6 pds, 2,3 int de moyenne), son influence est grandissante au sein du collectif ibérique. Face à la Chine, alors que les deux équipes étaient à égalité 72-72 dans le dernier quart-temps, le sélectionneur espagnol lui confia la responsabilité du dernier shoot. Lors de la prolongation de ce même match, sa défense permis d'étouffer les Chinois et l'Espagne remporta le match (85-75). Sa majesté Kobe Bryant lui rendit même hommage: "Je pense que Ricky a vraiment fait la différence. Sa présence défensive a été spectaculaire, les arrières chinois n'arrivaient même pas à passer la ligne médiane, et cela a changé la face du match".
Un destin de star...
Le natif d'El Masnou, petite station balnéaire près de Barcelone sur la Costa Brava, est passé professionnel à 14 ans. Dans un sport où les qualités physiques sont fondamentales, le petit Ricky étonne par sa capacité à mener le jeu, à le rendre simple. Il aligne des satistiques incroyables chez les jeunes notamment lors de l'Euro des moins de 16 ans où, en finale, il compile 51 points, 24 rebonds, 12 passes décisives et 7 interceptions en finale (!). Il termine au passage meilleur joueur du tournoi, dont il fut meilleur marqueur, rebondeur, passeur et intercepteur.
Le petit prodige ne s'arrête pas en si bon chemin et confirme tout son potentiel au plus au niveau puisqu'il a brillé en Euroligue, cette saison, en devenant le plus jeune meilleur intercepteur de l'histoire (3,45 interceptions par match lors de la phase régulière et 2,6 interceptions par match lors du Top 16). A l'inverse de Lebron James, Rubio ne fait pas la différence grâce à son physique. Ce jeune homme de 1,93 m est encore frêle (75 kg). Il fait partie de la catégorie des joueurs totalement inconscients face au danger comme le peut être Tony Parker lorsqu'il s'aventure dans la raquette face aux "big men" de la NBA. Le point fort du joueur de Badalone réside dans sa capacité à prendre le ballon à l'adversaire, à couvrir le terrain grâce à une vivacité et une rapidité incroyables.
La NBA pour 2010 ?
Rubio n'est pas un scoreur, il appartient à la catégorie des joueurs malins, créatifs, sans peur, dotés d'une très belle technique. L'intérieur de la seleccion, Felipe Reyes, est élogieux envers le Catalan: "Il est unique, je n'en ai jamais vu comme lui. Il est comparé à Drazen Petrovic, Toni Kukoc, et je pense qu'il se trouve dans cette lignée de joueurs spectaculaires". Le petit Rubio va rester fidèle à son club formateur, la Joventut Badalone, pour y parfaire sa formation. Il doit gagner en régularité et son pourcentage aux shoot doit être plus élevé (30% de réussite lors du tournoi olympique). Viendra ensuite le temps de l'exil vers la célèbre ligue nord-américaine.
Les spécialistes du basket font déjà du petit meneur-arrière le numéro un de la draft 2010. Un non-Américain numéro un de la draft est un évènement, mais encore plus lorsqu'il s'agit d'un meneur blanc. Rubio perpétue donc la tradition de ces joueurs espagnols brillants, intelligents, techniques. Son éclosion au plus haut niveau semble sonner comme un vent d'air frais pour l'équipe d'Espagne et son association avec les frères Gasol laisse présager des lendemains heureux pour l'Espagne, qui affrontera ce samedi les Etats-Unis et ses chefs d'orchestre, Chris Paul et Jason Kidd.
www.sports.fr
Agé de 17 ans seulement, le jeune meneur-arrière ibérique, Ricky Rubio, participe aux Jeux Olympiques avec la sélection espagnole et aide les partenaires de Pau Gasol dans leur conquête d'or. Véritable surdoué du cuir, le joueur de Badalone surprend par son intelligence de jeu et sa défense à toute épreuve. Auteur d'un match solide face à la Chine, il s'annonce déjà comme un futur grand d'Europe avant de s'envoler, dans quelques années, pour les Etats-Unis.
Depuis Michael Jordan et Lebron James, la planète basket n'avait pas connu un joueur aussi prometteur. Au grand dam des Américains, le nouveau crack des parquets est Espagnol. Il s'agit d'un jeune homme né en octobre 1990, évoluant au poste de meneur-arrière, Ricard Rubio Vives dit "Ricky" Rubio. Invité par le sélectionneur espagnol, Aito Garcia, à disputer les Jeux Olympiques aux côtés des stars Pau Gasol, Juan Carlos Navarro et consorts, le joueur de la Joventut Badalona impressionne par sa maturité, son intelligence de jeu et sa défense. Il trouve peu à peu sa place dans la rotation des champions du monde, jouant un peu plus de 15 minutes de moyenne par match.
Même si ses statistiques individuelles ne sont pas éblouissantes (5 pts, 3,3 rbs, 2,6 pds, 2,3 int de moyenne), son influence est grandissante au sein du collectif ibérique. Face à la Chine, alors que les deux équipes étaient à égalité 72-72 dans le dernier quart-temps, le sélectionneur espagnol lui confia la responsabilité du dernier shoot. Lors de la prolongation de ce même match, sa défense permis d'étouffer les Chinois et l'Espagne remporta le match (85-75). Sa majesté Kobe Bryant lui rendit même hommage: "Je pense que Ricky a vraiment fait la différence. Sa présence défensive a été spectaculaire, les arrières chinois n'arrivaient même pas à passer la ligne médiane, et cela a changé la face du match".
Un destin de star...
Le natif d'El Masnou, petite station balnéaire près de Barcelone sur la Costa Brava, est passé professionnel à 14 ans. Dans un sport où les qualités physiques sont fondamentales, le petit Ricky étonne par sa capacité à mener le jeu, à le rendre simple. Il aligne des satistiques incroyables chez les jeunes notamment lors de l'Euro des moins de 16 ans où, en finale, il compile 51 points, 24 rebonds, 12 passes décisives et 7 interceptions en finale (!). Il termine au passage meilleur joueur du tournoi, dont il fut meilleur marqueur, rebondeur, passeur et intercepteur.
Le petit prodige ne s'arrête pas en si bon chemin et confirme tout son potentiel au plus au niveau puisqu'il a brillé en Euroligue, cette saison, en devenant le plus jeune meilleur intercepteur de l'histoire (3,45 interceptions par match lors de la phase régulière et 2,6 interceptions par match lors du Top 16). A l'inverse de Lebron James, Rubio ne fait pas la différence grâce à son physique. Ce jeune homme de 1,93 m est encore frêle (75 kg). Il fait partie de la catégorie des joueurs totalement inconscients face au danger comme le peut être Tony Parker lorsqu'il s'aventure dans la raquette face aux "big men" de la NBA. Le point fort du joueur de Badalone réside dans sa capacité à prendre le ballon à l'adversaire, à couvrir le terrain grâce à une vivacité et une rapidité incroyables.
La NBA pour 2010 ?
Rubio n'est pas un scoreur, il appartient à la catégorie des joueurs malins, créatifs, sans peur, dotés d'une très belle technique. L'intérieur de la seleccion, Felipe Reyes, est élogieux envers le Catalan: "Il est unique, je n'en ai jamais vu comme lui. Il est comparé à Drazen Petrovic, Toni Kukoc, et je pense qu'il se trouve dans cette lignée de joueurs spectaculaires". Le petit Rubio va rester fidèle à son club formateur, la Joventut Badalone, pour y parfaire sa formation. Il doit gagner en régularité et son pourcentage aux shoot doit être plus élevé (30% de réussite lors du tournoi olympique). Viendra ensuite le temps de l'exil vers la célèbre ligue nord-américaine.
Les spécialistes du basket font déjà du petit meneur-arrière le numéro un de la draft 2010. Un non-Américain numéro un de la draft est un évènement, mais encore plus lorsqu'il s'agit d'un meneur blanc. Rubio perpétue donc la tradition de ces joueurs espagnols brillants, intelligents, techniques. Son éclosion au plus haut niveau semble sonner comme un vent d'air frais pour l'équipe d'Espagne et son association avec les frères Gasol laisse présager des lendemains heureux pour l'Espagne, qui affrontera ce samedi les Etats-Unis et ses chefs d'orchestre, Chris Paul et Jason Kidd.
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Couramiaud
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- Inscription : 11 janv. 2006, 16:47
- Localisation : Saint-Chamond
Oh bah ils sont en dessous de tout, 5 matchs, 5 défaites, et je finis par espérer qu'on soit pas qualifié pour l'Euro qu'on puisse avoir un grand ménage à la fédé, qu'on arrête de vouloir prendre des coachs du système comme Gomez, alors que ce dernier a 20 ans de retard d'un point de vue tactique (hier il a demandé un temps mort en fin de match avant les LF finlandais, alors que désormais on peut avoir la balle au milieu de terrain si il avait demandé le temps-mort après les LF ... :roll: ).
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Couramiaud
- Messages : 1389
- Inscription : 11 janv. 2006, 16:47
- Localisation : Saint-Chamond
J'éspère surtout que ça fait réfléchir Bergeaud qui a pourri le basket français en voulant lui donner une identité qu'il n'a pas. Tout ce qu'il a réussi à faire c'est découragé des joueurs qui étaient attachés au maillot (Gelabale, le frères Pietrus), sans doute plus que les "stars" (TP, Boris, qui, cette année, a claqué 500 000 € pour Pau mais pour les qualifs, rien. Malgré sa promesse d'après-euro). On a des techniciens complètement dépassés dans cet fédé, pas capable de se rendre compte qu'on pourra jamais jouer comme la Lituanie ou la Serbie avec des joueurs formés de cette manière.El Couramiaud a écrit :De toute façon je ne vois pas vraiment par quel miracle on pourrait se qualifier pour l'Euro. Cela fera peut être aussi réfléchir ceux qui n'ont pas voulu participer à ces qualifs (sauf que c'est peu probable que ça leur fasse grand chose). Sinon d'accord avec toi pour le grand ménage à la fédé.
Ceux qui ont pas voulu venir ? Bof, au final on a sur le papier une équipe assez compétitive. Certes, il manque TP ou Boris, mais ce qui me met en rogne c'est que MP2 ne soit pas là, alors qu'il sort de ses deux meilleures saisons en carrière, et que ce qu'il a demandé à Gomez, c'est l'assurance d'être là à l'euro en cas de qualif, pour éviter de se faire prendre pour un jambon comme la dernière fois.
Franchement cette équipe est pas dégueu, Pellin c'est solide en Euroleague et une assurance en défense et pour faire tourner l'équipe face à ce genre d'opposition, De Colo est largement au niveau, Yak et Kirksay sur le poste 3 c'est quand même du lourd, et à l'intérieur, Turiaf tient la baraque avec Marquis. Dommage que Badiane soit complètement cramé.
Mais quand je lis les déclarations de Gomez, ça fait vraiment peur. Quand il dit que Diawara est pas sûr d'avoir sa place, alors qu'on a Cazalon et Gradit sélectionnés sur le poste 3 :shock: Le problème de l'EDF, c'est Gomez et la fédé (JPDV, l'homme qui a démissionné au milieu des JO de Sidney :roll: et Mainini).
Strasbourg: Les Bleus finissent bien
L'équipe de France masculine a facilement battu ce dimanche la Lettonie (92-66), lors de la dernière journée du tournoi de Strasbourg. Les Français terminent à la deuxième place de la compétition remportée par Finlande. Cette deuxième victoire consécutive, après le succès contre les Tchèques samedi (66-64), relance les Bleus dans la dernière ligne droite des qualifications pour l'Euro 2009. Prochain rendez-vous le 3 septembre à Nancy contre la Belgique.
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Et ben, c'est pas trop tôt ...
L'équipe de France masculine a facilement battu ce dimanche la Lettonie (92-66), lors de la dernière journée du tournoi de Strasbourg. Les Français terminent à la deuxième place de la compétition remportée par Finlande. Cette deuxième victoire consécutive, après le succès contre les Tchèques samedi (66-64), relance les Bleus dans la dernière ligne droite des qualifications pour l'Euro 2009. Prochain rendez-vous le 3 septembre à Nancy contre la Belgique.
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Et ben, c'est pas trop tôt ...
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Couramiaud
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L'argentine se qualifie pour les demies finales du tournoi olympique en arrachant le succès face à la Grêce 80 à 78, dans une fin de match haletante.
Cela nous donne des demies royales, avec USA-Argentine pour une revanche des JO D'Athênes et un Lituanie-Espagne explosif également. Espérons juste que l'on en verra un peu plus d'images que les précédentes rencontres.
Cela nous donne des demies royales, avec USA-Argentine pour une revanche des JO D'Athênes et un Lituanie-Espagne explosif également. Espérons juste que l'on en verra un peu plus d'images que les précédentes rencontres.
+1 et en espérant une finale argentine espagne ou lituanie (je sais je rêve) pour voir du "vrai" basket avec un vrai jeu collectif et pas que des smatchs et tout le tralalaEl Couramiaud a écrit :L'argentine se qualifie pour les demies finales du tournoi olympique en arrachant le succès face à la Grêce 80 à 78, dans une fin de match haletante.
Cela nous donne des demies royales, avec USA-Argentine pour une revanche des JO D'Athênes et un Lituanie-Espagne explosif également. Espérons juste que l'on en verra un peu plus d'images que les précédentes rencontres.
T'as vu le match pour dire ça ou tu te bases sur des on-dit ? :shock:
Faudrait penser à changer de disque
Le team USA de cette année a fait de réels efforts et d'énormes progrès sur le plan collectif. Certes, lorsque le jeu se débride, ça devient dunkorama et tout le tralala, mais lorsque le match est serré, les US montrent un jeu sur demi-terrain très intéressant. Ils ont déstabilisés sans aucun problème le peu de zone qu'on leur a proposé jusque là, ce qui est déjà un net progrès.
Pour le reste, à part lorsque Kobe ou LeBron accaparent le ballon, on voit de beaux mouvements de la part des américains, des décalages souvent bien trouvés dans les angles, des intérieurs servi efficacement, ...
Ensuite, si ils peuvent défendre dur et coupent les lignes de passe pour finir en contre-attaque, pourquoi se priver ?
Faudrait penser à changer de disque
Le team USA de cette année a fait de réels efforts et d'énormes progrès sur le plan collectif. Certes, lorsque le jeu se débride, ça devient dunkorama et tout le tralala, mais lorsque le match est serré, les US montrent un jeu sur demi-terrain très intéressant. Ils ont déstabilisés sans aucun problème le peu de zone qu'on leur a proposé jusque là, ce qui est déjà un net progrès.Pour le reste, à part lorsque Kobe ou LeBron accaparent le ballon, on voit de beaux mouvements de la part des américains, des décalages souvent bien trouvés dans les angles, des intérieurs servi efficacement, ...
Ensuite, si ils peuvent défendre dur et coupent les lignes de passe pour finir en contre-attaque, pourquoi se priver ?
Bah justement. Sur le plan collectif, t'as vu ce qu'il y avait de pire, parce que face aux chinois il leur a suffit d'une press tout terrain et de beaucoup courir pour les écraser. Face à l'Australie on a vraiment vu un beau match, tout comme contre la Grèce et l'Espagne.cantalou a écrit :j'exagère un poil je sais
que veux tu je préfère voir un argentine gréce ou l'espagne ou encore la lituanie jouer
Parker est de retour !
Alors qu'il avait tiré un trait momentané sur l'équipe de France, Tony Parker a finalement fait volte-face et va rejoindre les Bleus, en route pour les qualifications de l'Euro 2009. Le meneur des Spurs apportera tout son savoir-faire au sein du groupe de Michel Gomez, une équipe inexpérimentée battue à cinq reprises lors des matches de préparation et qui peine encore à trouver son identité.
"Tony Parker is back !"* Et non, ce n'est pas le titre d'un nouveau titre de rap écrit par Monsieur Eva Longoria, mais bel et bien LA grande nouvelle du jour, LE titre qui barrera la une de tous les quotidiens sportifs...texans et surtout français puisque le meneur des San Antonio Spurs a finalement décidé, à la surprise générale, de rejoindre l'équipe de France en vue des qualifications pour le championnat d'Europe 2009.
Pourquoi ce revirement alors que le triple champion NBA devait, initialement, profiter de cette intersaison pour se reposer, lui qui avouait récemment "ne pas pouvoir continuer à ce rythme" ? Selon Parker, la raison est simple. L'ancien Parisien confie ainsi, sur son site internet, que "les Jeux Olympiques y sont pour beaucoup. Regarder les Jeux devant ma télé n'a pas été évident à vivre. Je voulais y être, je voulais représenter mon pays. Ca m'a fait un pincement au coeur de voir tous les athlètes français porter les couleurs de l'équipe de France et ne pas être à leur côté".
"J'aime trop l'équipe de France"
Il poursuit sa déclaration d'amour au maillot bleu en ajoutant: "la seule chose que je pouvais faire, c'était de rejoindre le groupe au plus vite pour disputer les qualifications en septembre. J'aime trop l'équipe de France, je ne pouvais pas rester aux Etats-Unis." "TP", qui explique également que Gregg Popovich, le coach des Spurs, "ne s'est pas opposé" à ce départ, constitue plus qu'un renfort de choix pour les Bleus, qu'il rejoindra ce jeudi à Levallois. Car l'équipe de France "new-look" proposée par Michel Gomez manque cruellement de leaders et surtout d'un tel talent, qui a largement fait ses preuves au niveau international.
Les Tricolores ont ainsi subi cinq défaites d'affilée au tournoi de Bormio puis à Strasbourg, avant de finalement glaner leurs premiers succès lors de l'épreuve alsacienne, face aux modestes équipes tchèque et lettone. Les arrivées successives de Ronny Turiaf, Yakhouba Diawara et du maître à jouer Tony Parker pourraient bouleverser la donne au sein d'une équipe relativement inexpérimentée, encore en manque de repères, mais qui peut désormais compter sur son "guide" pour l'emmener jusqu'à l'Euro, même si, comme il tient à le préciser, Parker "ne vien(t) pas en sauveur"...
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Couramiaud
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Le SEB et la Chorale sont de retour à l'entraînement. Programme complet de la préparation dans l'article.
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Les Etats-Unis au firmament
Les basketteurs américains ont repris "leur" bien en décrochant l'or olympique, dimanche, au terme d'une finale incroyable face à l'Espagne (118-107). Un dernier acte superbe, notamment au cours d'une première période conclue 69-61... Ce sont tout de même les Etats-Unis qui ont eu le dernier mot et obtiennent l'or grâce notamment à Bryant et Wade. A noter également que l'Argentine termine en bronze.
Un vrai régal. Loin de la parodie entrevue lors de la phase de poules, l'affrontement entre les Etats-Unis et l'Espagne, championne du monde en titre, a tenu toutes ses promesses. Une finale olympique en forme de publicité pour le basket avec notamment deux premiers quart-temps incroyables. Une première période marquée par une réussite maximale dans les deux camps, avec notamment un Dwayne Wade incroyable à trois points d'un côté et un Ricky Rubio, du haut de ses 17 ans, pétri de culot et de talent pour faire face à l'armada US et notamment à Jason Kidd.
Du Alley oop de Bryant, aux interceptions de Wade en passant par la puissance de LeBron James, les hommes de Mike Krzyzweski ont fait étalage de tout leur talent. Heureusement pour le spectacle, les Espagnols ont su se transcender pour leur tenir tête. Outre Rubio, Pau Gasol, Navarro ou encore Rudy Fernandez ont fait très forte impression. C'est grâce à eux que les champions du monde étaient encore au contact à la fin du premier quart (31-38) puis à la pause (61-69).
Le titre et la manière
Un écart de seulement huit points qui s'est maintenu tout au long d'un troisième quart un peu moins bien maîtrisé. Un déchet dans les tirs qui aura eu le mérite de rappeler combien le premier acte fut magnifique des deux côtés. Avec neufs longueurs d'avance à l'entame des 10 dernières minutes, les coéquipiers de Kidd ne fanfaronnaient pas. Peut-être sentaient-ils sur le parquet que les Espagnols allaient revenir. Un retour initié par un Rudy Fernandez littéralement en feu avec des shoots lointains et un dunk sur la tête de Howard, le plus grand des Américains (par la taille).
Et c'est sous la houlette d'un tir primé de Jimenez que les Espagnols vont revenir à 104-108 à un peu plus de deux minutes du terme ! Incroyable suspense qui ne durera cependant pas aussi longtemps que ne l'auraient espéré Navarro et compagnie... La faute à un Dwayne Wade qui a retrouvé la mire à 3 points pour le 111-104, à celle d'un Kobe Bryant bien décidé à ne pas se faire chambrer par tout un pays puis par Pau Gasol avec les Lakers et à celle d'un arbitre si tatillon qu'il sifflera une intentionnelle aux effets rédhibitoires en toute fin de rencontre. L'histoire retiendra que Chris Paul a inscrit le dernier point de la rencontre sur un lancer franc.
Un ultime panier pour la confirmation d'un titre olympique attendu pour des Américains déchus à Athènes en 2004 et clairement décidés à reprendre leur bien. Ils auront eu le mérite de proposer un jeu attrayant et collectif pour ajouter la manière à la victoire. Il fallait au moins ça pour vaincre les champions du monde espagnols en finale. Les Américains peuvent bomber le torse. Ils font de beaux champions.
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Les basketteurs américains ont repris "leur" bien en décrochant l'or olympique, dimanche, au terme d'une finale incroyable face à l'Espagne (118-107). Un dernier acte superbe, notamment au cours d'une première période conclue 69-61... Ce sont tout de même les Etats-Unis qui ont eu le dernier mot et obtiennent l'or grâce notamment à Bryant et Wade. A noter également que l'Argentine termine en bronze.
Un vrai régal. Loin de la parodie entrevue lors de la phase de poules, l'affrontement entre les Etats-Unis et l'Espagne, championne du monde en titre, a tenu toutes ses promesses. Une finale olympique en forme de publicité pour le basket avec notamment deux premiers quart-temps incroyables. Une première période marquée par une réussite maximale dans les deux camps, avec notamment un Dwayne Wade incroyable à trois points d'un côté et un Ricky Rubio, du haut de ses 17 ans, pétri de culot et de talent pour faire face à l'armada US et notamment à Jason Kidd.
Du Alley oop de Bryant, aux interceptions de Wade en passant par la puissance de LeBron James, les hommes de Mike Krzyzweski ont fait étalage de tout leur talent. Heureusement pour le spectacle, les Espagnols ont su se transcender pour leur tenir tête. Outre Rubio, Pau Gasol, Navarro ou encore Rudy Fernandez ont fait très forte impression. C'est grâce à eux que les champions du monde étaient encore au contact à la fin du premier quart (31-38) puis à la pause (61-69).
Le titre et la manière
Un écart de seulement huit points qui s'est maintenu tout au long d'un troisième quart un peu moins bien maîtrisé. Un déchet dans les tirs qui aura eu le mérite de rappeler combien le premier acte fut magnifique des deux côtés. Avec neufs longueurs d'avance à l'entame des 10 dernières minutes, les coéquipiers de Kidd ne fanfaronnaient pas. Peut-être sentaient-ils sur le parquet que les Espagnols allaient revenir. Un retour initié par un Rudy Fernandez littéralement en feu avec des shoots lointains et un dunk sur la tête de Howard, le plus grand des Américains (par la taille).
Et c'est sous la houlette d'un tir primé de Jimenez que les Espagnols vont revenir à 104-108 à un peu plus de deux minutes du terme ! Incroyable suspense qui ne durera cependant pas aussi longtemps que ne l'auraient espéré Navarro et compagnie... La faute à un Dwayne Wade qui a retrouvé la mire à 3 points pour le 111-104, à celle d'un Kobe Bryant bien décidé à ne pas se faire chambrer par tout un pays puis par Pau Gasol avec les Lakers et à celle d'un arbitre si tatillon qu'il sifflera une intentionnelle aux effets rédhibitoires en toute fin de rencontre. L'histoire retiendra que Chris Paul a inscrit le dernier point de la rencontre sur un lancer franc.
Un ultime panier pour la confirmation d'un titre olympique attendu pour des Américains déchus à Athènes en 2004 et clairement décidés à reprendre leur bien. Ils auront eu le mérite de proposer un jeu attrayant et collectif pour ajouter la manière à la victoire. Il fallait au moins ça pour vaincre les champions du monde espagnols en finale. Les Américains peuvent bomber le torse. Ils font de beaux champions.
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EdF: Cazalon et Dubiez écartés
Michel Gomez a communiqué la liste de joueurs qui participeront au tournoi de Riga à partir de lundi. Le sélectionneur a ainsi décidé de réduire son groupe à treize unités après le stage qui s'est déroulé à Levallois du 22 au 24 juillet. Laurent Cazalon et Thomas Dubiez n'effectueront donc pas le déplacement en Lettonie mais resteront à disposition du sélectionneur en cas de besoin. En revanche Tony Parker et Yakhouba Diawara seront bien du voyage malgré les problèmes d'assurance qui persistent. Les 13 joueurs: Yannick Bokolo, Stephen Brun, Nando De Colo, Yakhouba Diawara, William Gradit, Dounia Issa, Tariq Kirksay, Claude Marquis, Tony Paker, Marc-Antoine Pellin, William Soliman, Steed Tchicambout, Ronny Turiaf.
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Michel Gomez a communiqué la liste de joueurs qui participeront au tournoi de Riga à partir de lundi. Le sélectionneur a ainsi décidé de réduire son groupe à treize unités après le stage qui s'est déroulé à Levallois du 22 au 24 juillet. Laurent Cazalon et Thomas Dubiez n'effectueront donc pas le déplacement en Lettonie mais resteront à disposition du sélectionneur en cas de besoin. En revanche Tony Parker et Yakhouba Diawara seront bien du voyage malgré les problèmes d'assurance qui persistent. Les 13 joueurs: Yannick Bokolo, Stephen Brun, Nando De Colo, Yakhouba Diawara, William Gradit, Dounia Issa, Tariq Kirksay, Claude Marquis, Tony Paker, Marc-Antoine Pellin, William Soliman, Steed Tchicambout, Ronny Turiaf.
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ça m'a réveillé de ma torpeur post déplacement 
Premier match amical pour la Chorale face à Bourg-en-Bresse à 19h30
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=22541
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Roanne bat Bourg 83-71
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Robert Laslo quitte le SEB ! Premier match amical ce soir.
http://www.zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?strId=22582
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