Ca ne vous ai jamais arrivé de penser que Caiazzo s'est fait enflé par les locaux, et qu'à force d'avaler des couleuvres, il ait décidé de passer à autre chose, parce que la vie est courte et passe trop vite ?
Juste du factuel
Caiazzo investit dans l'ASSE mais la Mairie de droite lui met un copain local de droit dans les pattes (on est entre copains mafieux). Caizzo sent qu'il est perçu comme un étranger. Ca ne passe pas. On lui dit qu'il faut du local.
Le local en question, n'a pas les ronds à mettre, mais il arrive avec une association bancale avec un autre margoulin local désargenté comme lui --- Ce dernier n'a rien trouvé de mieux pour prendre le club que d'escroquer l'URSAF. On est pas en Sicile, mais à Saint-Etienne entre notable.
Caiazzo se retrouve rapidement avec un attelage bancal. ils sont à égalité avec Romeyer, mais dans le fond c'est le local qui a la main car l'association permet de décanter la majorité en faveur du local ...
Le local prend le pouvoir, bien que rapidement la société qu'il a monté avec l'escroc à l'URSAF se retrouve juridiquement bloquée puisque l'escroquerie initiale a été découverte. On est au tribunal. L?État confisque les parts de l'escroc. Cette histoire local plombé en réalité le développement du club. Difficile de faire une augmentation de capital avec une partie du capital bloqué par l'Etat.
Caiazzo se retrouve donc, en minorité sur le plan décisionnel et avec un litige juridique qui bloque le développement du club. Il est relégué dans un conseils de surveillance qui ressemble à une amicale laïque. Y siège notamment un prof de gym et un Mairie d'une petite commune, sans lien avec le foot, mais potes du local. Bientôt y siégera le fils du local.
Après une période de stabilité, avec notamment un administratif et un entraineur qui tiennent le club, l'organisation s'effrite. Le local devient de plus en plus déconnecté du réel. Il se mêle de tout, et freine toute évolution du club pour soutenir les bons résultats sportifs. Le Directeurs administratif se barre, puis s'est autour de l'entraineur miracle épuisé de tenir un effectif vieillissant à bout de bras. C'est la première crise. Le local boycotte une entraineur étranger compétent et, dans son délire, nomme un ancien joueur sans aucune expérience. L'ASSE est au porte de la relégation. Tout explose, et le localisait un burn out. Il craque com platement face aux conséquences de son incompétence.
Caiazzo, revient un peu sur le devant de la scène, convainc le local de lÂcher et de vendre, et fait venir un vieil entraineur avec un boss compétent dans les bureaux. Miracle,. le club se redresse et quand il se met à jouer la Champions League en 2 ans, le vieillard local revient, et réalise l'exploit de faire capoter la vente et de fatiguer tellement l'entraineur miracle que ce dernier se barre.
Le local est au nouveau au pouvoir, et va réussir le miracle de faire un recrutement avec un manager bidon complètement foireux et ruineux, faire plonger le club ebn L2 et de repousser toute vente le temps de racheter les parts de son ancien associé escroc à l'Etat. Caiazzo assiste à tout cela, impuissant puisqu'il n'a au fond le pouvoir de rien tant les locaux le contrôle.
Qu'on soit d'accord, on peut reprocher à Caiazzo d''être un cave, qui s'est fait complément enflé par la mafia stéphanoise, mais pas de s'être éloigné du club quand il s'est rendu compte qu'il ne maitrisait rien, que le vieux ne voulait rien lâcher, ni de son pouvoir, ni de ses parts. Il est un dilettante, superficiel et jouisseur, qui n'avait pas l'étoffe dans le fauteuil de feu Roger Rocher, on est d'accord., mais avec lui, Snakke a raison, le club aurait été vendu depuis longtemps.