Là, je suis d'accord. Ton portrait est très bien sentI.Wert a écrit : ↑12 juil. 2022, 13:09T'es vraiment à l'ouest Couraniaud quand tu te mets à caricaturer comme ça.Couramiaud Poitevin a écrit : ↑12 juil. 2022, 10:15Oui excuses moi, c'est vrai. Roro, c'est le vampire de l'Etrat, il va sucer le sang des U13 la nuit. Et parfois on t'apprend que certains stagiaires ont quitté le centre de formation, alors qu'en fait ils ont été sacrifié par Roro lors de messes noires, il mange leur coeur et ils se baigne dans leur sang pour accéder à la jeunesse éternelle.Wert a écrit : ↑12 juil. 2022, 10:03
C'est Roro, un patron à l'ancienne, démagogue, paternaliste et menteur, teigneux, vieillissant mais sincèrement amoureux de son club ! Non c'est terminé ça Couraniaud. Ton Roro est passé de l'autre côté du réel.. On l'a expliqué plusieurs fois ici. Le patron à l'ancienne n'aime pas le club. Il aime l'image que le club donner de lui. le club vient combler ses blessures narcissiques, et il préfère partir avec que de le laisser. Il ne va pas vendre. Il va essayer de se refaire comme un joueur de poker, et donc perdre encore plus.
Réellement Couraniaud, c'est rare d'aligner autant de contrevérité en quelques lignes.
Le portrait de Romeyer que je brosse est beaucoup plus courant que tu ne le penses chez ce genre de leader. Tu en rencontres dans le secteur associatifs, dans la politique, et chez les patrons.
Ces types ont des traits communs très clairs :
Ils disent aimer leur organisation au point parfois de se confondre avec elle. L'intérêt de l'organisation rejoint donc le leur, ce qui est problématique et engendre des problèmes de transparence source de litiges parfois graves.
Ils privilégient la proximité, la fidélité et l'amitié sur les compétences dans le choix de leurs collaborateurs.
Ils ont du mal à déléguer, veulent tout résoudre dans leur organisation. Leur intromission devient vite insupportable pour certains collaborateurs, ce qui provoquent, conflits, mauvais traitement, ruptures de contrats et litiges devant les tribunaux.
Ils ne parviennent jamais à se trouver de successeurs , brûlants tous leurs dauphins ou successeurs potentiels pour des raisons futiles, et finissent par privilégier un type incompétent afin de continuer de paraitre indispensable.
Ils finissent par générer une crise qui met enjeu la survie de leur organisation est provoque un départ dans des conditions dramatiques et traumatiques.
Non ton Roro ne manges pas les petits enfants Couraniaud, mais il coche toutes les cases de ce type de leader profondément toxique pour une organisation.
Il arrive que ce genre de personne coule avec la structure qu'ils président, mais il arrive aussi qu'à force, une lueur lucidité les amène à comprendre qu'ils doivent céder la place, et qu'après plusieurs essais mal menés par eux, des actes manqués, ils finissent par réaliser la transmission.