Je participe très rarement à ce genre d’en chosesnmais s’il y a une cagnotte d’aide pour Ces mecs, pas de soucis!franck42 a écrit : ↑05 sept. 2019, 22:13Paie ta liberté d'expression...rayonvert a écrit : ↑05 sept. 2019, 22:02Ils sont trois, en rang d’oignon devant les juges. Pas vraiment fiérots. Ils ont entre 22 et 29 ans. L’un travaille dans une banque, un autre suit des études supérieures. « Ils sont tous insérés socialement, inconnus sur le terrain pénal » précise leur avocat. Mais ils doivent répondre d’injure publique envers un dépositaire de l’autorité. Et pas n’importe lequel : Evence Richard, préfet de la Loire.inconnuvert a écrit : ↑05 sept. 2019, 21:50 Article du progrés mais payant donc j'ai que le.début.
Des supporters du kop sud condamnés à des amendes pour injure du préfet sur une banderolle.
Si la photo colle à l'article c'etait.
ER tu es aussi con qu'un délégué de la ligue.
C’était lors du match ASSE-Nimes, le 1er avril, au stade Geoffroy-Guichard. Une banderole occupant les trois quarts de la tribune Jean-Snella est déployée en deuxième mi-temps. Elle porte un texte sans ambiguïté : « Bravo Evence, tu es encore plus c… qu’un délégué de la Ligue. » Le représentant de l’État porte plainte.
« Ils savaient qu’ils allaient outrager le préfet »
Les trois prévenus ont été identifiés comme les « instigateurs » grâce à la vidéosurveillance du stade. Ils reconnaissent avoir participé au déploiement de la bannière. Mais pas plus. « Je ne suis pas à l’origine du message, je suis juste un exécutant » prétend l’un. Un autre renchérit. « Ce n’est pas la première fois que je tiens une banderole dans le kop sud, je ne sais jamais ce qui est écrit. »
Le contexte global du match n’était cependant pas placé sous le signe des amabilités par rapport à la préfecture, puisque des affichettes « préfet dictateur » avaient déjà fleuri en début de rencontre. Guillaume Delore, procureur, souligne d’ailleurs « une foultitude de messages injurieux ce jour-là. La banderole était visible par le plus grand nombre, d’autant que le match était télévisé. Ils savaient qu’ils allaient outrager le préfet. » Il demande une amende de 3.000 euros.
En défense, Me Laurent Verilhac reprend le déroulé des faits. « Des milliers de personnes étaient sous la banderole, on peut entendre que toutes n’ont pas participé à sa conception ! Le message n’est pas envoyé contre la personne elle-même, mais par rapport à l’incarnation de l’État. C’était une réaction par rapport à des décisions prises, qui mettent à mal le football au sens populaire du terme ».
Le tribunal condamne le trio à une amende de 1.000 euros chacun. « En principe, a osé l’un d’eux pendant le procès, on met sur nos banderoles des messages simplistes comme : bon anniversaire. » « Pendant un match de foot, vraiment ? » a taclé la présidente, Isabelle Simon.
Non seulement cette décision fait honte à la justice, mais elle va encourager ces enculés à porter plainte pour tout et n'importe quoi...
P’tain ça fait peur