[Anciens verts] Que sont-ils devenus ?

[old_side]

1er match de Champion's League pour Blaise, l'anti Monsoreau dans son implication sur le terrain et sa classe en dehors.

[TitusPullo77]

http://www.leprogres.fr/sports/2012/09/ ... gique-acwl" onclick="window.open(this.href);return false;

Pubalgie, ligaments croisés du genou, rien n’a épargné Yoann Andreu ces deux dernières années où il a passé plus de temps entre les mains des kinés et des chirurgiens que sur le terrain. A force de caractère, le jeune espoir stéphanois, âgé de 23 ans, est sorti de ce tunnel bien noir pour revoir le jour et son avenir autrement qu’en pointillés.

En fin de contrat avec l’ASSE en juin dernier, les dirigeants et le staff technique du club lui ont donné un coup de pouce en l’autorisant à suivre la préparation avec le groupe professionnel. Christophe Galtier lui a même fait disputer quelques bouts de matches amicaux, qui lui ont redonné confiance en même temps qu’ils éveillaient l’intérêt de quelques clubs en quête de joueurs revanchards.

Le Lille Olympique fut de ceux-là. Pas pour compenser l’éventuel départ de Mathieu Debuchy, plutôt pour consolider l’effectif du Royal Mouscron Perulvez, un club de D2 belge que le LOSC parraine depuis novembre dernier. Dans le cadre de ce partenariat qui s’est renforcé cette saison, via le prêt de jeunes joueurs formés au LOSC, Yoann Andreu s’est vu proposer un contrat d’une saison avec Mouscron.

Parti début août de Saint-Etienne, il a rejoint le Nord avec la ferme intention de redonner vie à une carrière qui avait quasiment pris naissance … en Belgique, il y a quatre ans, lorsqu’Alain Perrin l’avait lancé dans le grand bain européen face à FC Bruges, en Europa League (1 -1).

Comment le Bressan d’origine qui fit ses classes à l’USOA Valence a-t-il vécu cette arrivée dans le Nord ? « J’ai été agréablement surpris » lance-t-il comme pour tordre le cou aux clichés. « J’habite une commune, Fretin, où a grandi Mathieu Debuchy. C’est situé juste entre le centre d’entraînement du LOSC, à Luchin, et Lille. C’est parfait. Sinon, on se rend en Belgique une fois par semaine pour faire plaisir aux supporters du club, dont certains n’ont pas trop apprécié que Lille devienne partenaire, et pour les matches bien sûr. Le stade est pas mal, il y a 10 000 places environ. C’est assez chaud.»

Le reste du temps, en vertu du partenariat avec Lille, les joueurs de Mouscron disposent des installations ultra modernes du domaine de Luchin : « On a des conditions d’entraînement extraordinaires. En plus, on bénéficie de leur staff médical » s’extasie Yoann Andreu qui mesure sa chance d’être si bien tombé. « Je ne voulais pas m’enterrer. C’est grâce à Lille et à l’agent de Kevin Mirallas que cela a pu se faire. Je suis content car au fil des semaines, je retrouve des sensations. Ça faisait longtemps que je n’avais pas eu cette forme ! J’ai un an pour me relancer. Je me bouge. En plus, on bosse bien. »

Cela sous la houlette d’un entraîneur français, Arnaud Dos Santos, promu à la tête de l’équipe cette saison : « Lille voudrait bien que le club monte en D1 belge cette saison, voire la prochaine. » La mayonnaise est en train de prendre entre joueurs belges, français ex-joueurs de Lens et Wasquehal principalement et les jeunes de Lille. Yoann Andreu veut apporter sa pierre à un édifice en reconstruction : « D’abord, j’ai dû attendre d’être qualifié. J’ai fait 20 minutes le premier match et ce week-end, j’ai joué 90 minutes. Au poste d’arrière gauche : « A Droite ou gauche, peu importe. » Mouscron a décroché le nul face à l’Antwerp (1-1). L’envie est là, énorme, de replonger dans le bain du football de haut niveau. « Le niveau se situe entre le National et la Ligue 2. Nous, nous avons le niveau Ligue 2. On base notre jeu sur la circulation du ballon. Pour le moment, nous sommes 3 es. »

[patavo 26]

But de Mirallas pour Everton, pour une victoire 0-3 à Swansea.

[patavo 26]

Ouverture du score de Postiga avec Saragosse face à Osasuna.

[Gonzalo Ramirez]

Sako fait 2 passes décisives, une sur coup-franc, une autre sur corner, à croire qu'on était vraiment mauvais de la tête

[aissopic]

Sako fait 2 passes décisives, une sur coup-franc, une autre sur corner, à croire qu'on était vraiment mauvais de la tête

je pense que nous etions en effet faible sur cpa offensif,brandao va peut etre ameliorer cela,car les tireus nous les avons depuis quelque temps deja (payet,battles,hamouma,nicolita..)

[osvaldopiazzolla]

Sako fait 2 passes décisives, une sur coup-franc, une autre sur corner, à croire qu'on était vraiment mauvais de la tête

je pense que nous etions en effet faible sur cpa offensif,brandao va peut etre ameliorer cela,car les tireus nous les avons depuis quelque temps deja (payet,battles,hamouma,nicolita..)

sako, gradel, ghoulam...

[osvaldopiazzolla]

Sako fait 2 passes décisives, une sur coup-franc, une autre sur corner, à croire qu'on était vraiment mauvais de la tête

Mardi il joue à Chelsea en coupe de la ligue.

[robbyherbin]

But Paulao

[osvaldopiazzolla]

un potin pour olaf

baky et guirane jouaient l'un contre l'autre ce week end, tous les deux titulaires. baky a gagné.

[Manu63]

But Paulao

Très beau coup de tête qui a donné la victoire au Betis, bon début de saison pour le club andalou.

[/video]

[old_side]

Rivière à Toulouse, c'est de pire en pire apparemment, et selon mes infos en direct du stadium. Il a tout raté samedi soir, et en est presque relegué au rang de 3e attaquant...

[LeForezLibre]

Julien Perrin a marqué le 3ème but strasbourgeois lors de la victoire 3-0 contre Montceau qui replace Strasbourg 3ème de son groupe de CFA.

[robbyherbin]

Wolverhampton s'est fait éclaté 6/0 par Chelsea.

[José]

Wolverhampton s'est fait éclaté 6/0 par Chelsea.

Baky n'était pas sur la feuille de match.

[ange vert]

Nestor Subiat, des pieds aux papilles

Du maillot de l’équipe nationale à la promotion des vins argentins, itinéraire d’un joueur souvent en voyage

Il nous a filé rancard à l’œnothèque de Leytron. En Valais. Forcément, on aurait envie de dire. Il n’est pas venu tout seul. Son épouse Natacha est là aussi. Non qu’il l’emmène en balade; elle compte pour beaucoup dans la nouvelle expérience vers laquelle la passion du vin l’a poussé. Ensemble, ils ont récemment décidé de distribuer des nectars argentins par l’intermédiaire d’un ami importateur, et d’en proposer des dégustations. L’Argentine; ses valeurs, ses produits, son caractère; sa terre, sa musique, sa danse. Nestor Subiat aime que tout cela puisse se ressentir en quelques gorgées.

Il se lève, va chercher deux bouteilles parmi celles qu’il aime faire découvrir aux papilles d’ici. Il y a le Norton Privada; un assemblage corsé de cabernet sauvignon, de malbec et de merlot. Il y a aussi un vin de Luigi Bosca, Espagnol émigré en Argentine à la fin du XIXe siècle. Pour Nestor Subiat, ce n’est pas tant l’histoire qui importe que le voyage.

L’homme, d’ailleurs, bouge beaucoup. Il a un pied-à-terre à Buenos Aires (où il passe trois à cinq mois par an), un domicile à Vaison-la-Romaine (dans les Côtes du Rhône) et d’autres points de chute à Annemasse et à Châtel-Saint-Denis (où il dispense chaque année des camps de football à des jeunes). De quoi entretenir un «petit stock de bouteilles». «Mais mon père, qui n’est plus là depuis quelques semaines, avait lui une magnifique cave avec beaucoup de vieux bordeaux», sourit Natacha. Transmission de passion.

Troisième mi-temps

Nestor Subiat a autrefois joué à Lugano, à Grasshopper, à Bâle, à Lucerne. Il a aussi porté à quelques reprises le maillot de l’équipe de Suisse. Alors déjà, il affectionnait le vin. «Il arrosait nos troisièmes mi-temps après la bière qui nous désaltérait, se marre-t-il. On n’avait pas besoin de se mettre minable, mais on aimait les bonnes choses. Alors, quelques excellentes bouteilles y passaient. On se faisait goûter de très bons vins, de toutes sortes, français, espagnols, italiens, chiliens, argentins. Je n’étais de loin pas le seul passionné. Par exemple, il y avait Christophe Bonvin (qui travaille désormais dans le milieu) ou Christophe Ohrel. Mais d’autres aussi.»

Puis le temps a filé. Mais le goût est resté. En Argentine, des rencontres sur les chemins ont suffi à l’amplifier, avec des producteurs hospitaliers, pour lesquels le vin est propice à se parler, à manger, à s’aimer. «On y a découvert des gens formidables, raconte Nestor Subiat, de vrais artistes. Alors, on s’est dit qu’on avait envie de créer un échange.» Et son épouse de rire: «On a même réussi à enthousiasmer des Valaisans très conservateurs, alors on se dit que tout est possible.»

Lorsqu’ils franchissent l’Atlantique vers l’ouest, ils n’oublient pas, également, d’emmener «de la petite arvine, des vins suisses, des petits blancs français» pour les faire découvrir au-delà. «L’amitié, le partage, rassembler, rêver, voilà ce qui compte», résume Natacha. Nestor dit aimer «qu’on puisse faire comprendre le vin, le processus technique qui préside à sa confection. Et puis j’aime quand les gens viennent nous dire, à la fin d’une de nos dégustations: «Vous nous avez fait voyager!» En Amérique du Sud, en l’occurrence. Alors gagne la composante mystique. «Je suis très terrien moi, sourit Nestor Subiat. Tout ça sort de la terre argentine. La Pachamama, la Pachamama. Vous connaissez la Pachamama? La ­Terre-Mère. C’est la déesse de la terre chez les Amérindiens. Elle a donné du vin à la terre, et on la vénère encore aujourd’hui avec du vin.»

Au jour de sa fête, chacun se voit offrir un verre qu’il doit partager avec elle en déversant une rasade dans un trou qui symbolise sa bouche. «Vous avez vu Avatar? questionne encore Nestor Subiat. Eywa est une sorte de divinité qui évoque la Pachamama.»

La concurrence

Alors on se téléporte. Dans le Mendoza, en altitude, à 2000 ou 3000 mètres d’altitude. Là où le vin ne peut se nourrir que de nature. Là où naissent des assemblages uniques, parce que rien n’est figé dans le marbre. Là où la création l’emporte sur la science. «Les vins des pays émergents sont sans doute plus évolutifs dans la mesure où leurs producteurs ne se sont pas assis sur une réputation vieille de plusieurs décennies, estime Natacha. En France, par exemple, l’esprit de tradition suffit. En Argentine, non.» Comme le lâche Nestor Subiat, «les œnologues se tirent la bourre, il y a de la concurrence, ça bouge». Ça bouge comme lui, entre Argentine, France et Suisse; ça bouge à travers le monde, ça bouge en bouche.

Le football mène décidément à tout. Les rencontres avec les footballeurs aussi.

Thomas Dayer

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[Manu63]

Juste une petite question, est ce que quelqu'un sait quand sera mise en ligne l'itw de Sly MONSOREAU ? A-t-elle pu se faire ?
Merci d'avance.

[BLOC42]

perso je recherche des nouvelles de 2 anciens joueurs de l'ASSE nés en 93, Pierre-Yves Argaud et Mohamed Maouche. Merci d'avance...

[thieu-thieu]

Baky qui donne la victoire aux Wolf

[osvaldopiazzolla]

Baky qui donne la victoire aux Wolf

encore un coup franc de Baky. ça va finir par se voir, là, non?

[Naar]

Baky qui donne la victoire aux Wolf

encore un coup franc de Baky. ça va finir par se voir, là, non?

Faut dire qu'en L2 anglaise, les cages n'ont pas de poteaux.

[old_side]

T'es surpris que Sako est le niveau de D2 anglais OP ?

[osvaldopiazzolla]

T'es surpris que Sako est le niveau de D2 anglais OP ?

chaque journée où baky marque ou fait une passe décisive (c'est à dire toutes), vos sarcasmes s’éteignent petit à petit. à part une blessure, la proba que baky ne joue pas en premier league l'année prochaine (avec ou sans les wolves) est faible.

[TitusPullo77]

T'es surpris que Sako est le niveau de D2 anglais OP ?

chaque journée où baky marque ou fait une passe décisive (c'est à dire toutes), vos sarcasmes s’éteignent petit à petit. à part une blessure, la proba que baky ne joue pas en premier league l'année prochaine (avec ou sans les wolves) est faible.

+1
Bravo Baky

[DragØnvert43]

Danish aime ça !!!