Le druide a écrit : ↑16 juin 2022, 23:40
Hamouma :
"C’est difficile de parler d’un coach quand il n’est plus là. Claude avait des qualités et des défauts comme moi j’en ai. Il a une approche différente du football que Pascal. C’est vrai que je me retrouve avec Pascal parce qu’il est très proche des joueurs, j’ai besoin d’avoir cette proximité et je pense que ça fait du bien au groupe. Le club avait aussi besoin de créer un électrochoc dans le groupe et je pense que le message passe plutôt bien. Il faut continuer à s’accrocher derrière ce discours et ce collectif car il n’y a que ça qui va nous sortir de cette mauvaise passe [...] C’est vrai que sur les matchs avec Claude on n'est jamais passé très loin des victoires… Il y avait toujours cette bascule qu’on n'arrivait pas à faire. Il y a eu des matchs où on a été malchanceux. Je trouve que ce que fait Pascal depuis qu’il est arrivé, ça a créé une unité collective. Que ça soit n’importe qui qui joue, on est tous dans le même bateau. Il n’y a que le collectif qui fera qu’on s’en sortira et je pense qu’il nous a fait prendre conscience de ça, qu’il fallait être une équipe"
Bouanga :
« J’ai eu des moments compliqués avec Claude Puel que le public ne comprenait pas forcément. C’est important d’avoir un entraîneur qui te fait vraiment confiance. Je n’ai pas envie de le décevoir. Quand je me sens aimé, je peux mourir sur le terrain. » Et à lui d'ajouter : « J’avais un mal-être en moi. Je dribblais quand il ne fallait pas, je ne prenais pas les bons un contre un… Mes proches ne me reconnaissaient plus. Ils m’ont dit : « Si tu ne joues pas ton football, plus personne ne croira en toi » ».
Et
" Il m’a toujours fait confiance. J’ai essayé de rendre à chaque fois une belle copie. Offensivement ça ne marchait pas mais défensivement j’étais là, je courais pour l’équipe. J’ai essayé de me mettre au service du collectif vu qu’individuellement ça ne marchait pas, surtout devant le but. Donc j’ai essayé de défendre comme un chien », a indiqué le joueur des Verts.
Avant de poursuivre : « Il me conseillait sur des choses et notamment sur le fait qu’il fallait que je redevienne le Denis d’avant, en faisant des choses simples et en tuant devant le but. Je ne sais pas ce qu’il se passait mais c’était très difficile. Je me posais même des questions. Quand tu loupes un truc que tu ne dois pas louper, ça te reste dans la tête. C’est vrai que j’ai du mal à passer à autre chose. Maintenant, c’est différent, quand tu fais une passe ou que tu marques un but, c’est plus facile de prendre le match d’après correctement. »
Perrin :
Dans un entretien accordé ce samedi au Parisien, Loïc Perrin est revenu sur les raisons de l'échec de Claude Puel. « Qu’est qui ne marchait plus ? Les résultats clairement. Des mauvaises passes, ça arrivé à n’importe quel entraineur. On a eu un cruel manque de chance sur certains matchs. Les prestations étaient plutôt bonnes, voire très bonnes » a expliqué le coordinateur sportif de l’ASSE. « Un ballon qui rentre ou qui tape un poteau, ça change tout parfois. A un moment donné, on avait le record en termes de poteaux en Europe, il fallait ce choc psychologique ».
Clément :
"Je ne sais pas comment je suis perçu par mes joueurs. Je ne veux pas croire que c’est parce que j’ai été pro que ça se passe bien. Ce serait dommage. J’aime croire que c’est ce que je fais au quotidien. On voit ce qui est arrivé avec Claude Puel. L’idée n’est pas de lui tirer dessus mais je pense qu’au bout d’un moment ce type de management ne fonctionne plus. Il faut discuter, échanger, passer du temps, prendre un café avec les gars… »
M'Vila
.«Claude Puel, c'est un bon coach mais peut-être pas avec les bonnes manières. Il veut que tout le monde aille dans son sens».
«Il n'est pas proche des joueurs comme on a connu. Et c'est ça qu'on aime. Tu peux marcher à côté de lui sans qu'il te parle. Rien. (...) Ce que je regrette en championnat c'est qu'on a un putain de groupe qui vit super bien, mais il y a un truc qui ne va pas. L'an passé, le groupe vit bien et on va en Ligue Europa. Comment je l'explique ? Ce sont les choix du coach», a-t-il justifié.
«Il y a eu beaucoup de chamboulements. Et puis il y a un président qui va dire 'A', un qui va dire 'B'... On m'avait prévenu pour Sainté, comment ça se passait ici
En bonus, Debuchy :
"Il est plus ouvert qu’avant ! Quand il est arrivé à Sainté, c’était le même que j’avais quitté à Lille. Mais après les six premiers mois, il a changé un peu d’approche avec les joueurs, plus de dialogue, plus de discussion. On a échangé pas mal, il venait plus vers moi. Mais malgré tout, ce n’est pas un coach très proche de ses joueurs, c’est son mode de fonctionnement et il faut l’accepter. Mais être ouvert et proche de son groupe, c’est bien aussi. Le management de Jean-Louis Gasset est totalement différent ! C’est le jour et la nuit entre les deux ! Jean-Louis, j’ai vécu des moments incroyables avec lui. J’aimais sa façon de voir le football, sa façon de manager une équipe… Avec le coach Puel, je n’ai pas eu de soucis à titre personnel. Quand j’avais des choses à dire, je les disais et on a beaucoup échangé la dernière saison. Il faut savoir s’adapter. »
Merci Pat11 d'arrêter de dire de la merde. À part Mignot, aucun ne dit haïr Puel, ou quelque chose dans ce sens.
A ce niveau de déformation, cest pathologique.
Ne pas arriver à différencier "je préfère tel entraîneur que untel " et "untel est la pire personne ayant jamais entrainé et est responsable de la mort du club", ya vraiment un soucis psychologique.
Je l'ai jamais fait sur aucun forum, même avec CP, même avec Jacques le Vert... Mais ta névrose obsessionnelle te fait inaugurer ma liste des ignorés.