Il faut être réaliste nos deux dirigeants ne sont pas au niveau et ne le seront jamais, il faut juste se souvenir du communiqué du 29 mai dernier, et du statisfecit fait à Soucasse et aux gens en place. Soucasse est un gestionnaire zélé mais il n'a pas la stature pour diriger un club comme l'asse.
Perrin travaille sans anticipation si ce n'est celle du transfert à moindre cout, sans vrai cellule de recrutement (le père Battles et Rustem interviennent en support) , c'est le système Romeyer qui perdure, pas d'idée, pas d'argent et pas de remise en cause.
Je pense qu'on a pas pris la mesure de la descente et que le financier est toujours actuellement plus important que le sportif, on fait le pari de galvauder le sportif et de ne commencer réelement la saison qu'après 7 matchs, les 6 matchs entre fin juillet et le 1er septembre. et les 3 points en moins.
On a voulu changé sur le terrain les hommes mais on a rien changé dans le fonctionnement du club et aucune remise en cause ne s'est fait et les dysfonctionnements perdurent toujours validés par nos 2 dirigeants iconoclastes et hors sol.
Perrin et Battles n'ont pas réussi à impulser une nouvelle dynamique car le club n'a pas fait sa mue et continue de se voir comme un club de ligue 1.
Notre recrutement se révele bancal, défensivement l'apport de Briancon, Giraudon et dans une moindre mesure Petrot pose question, on a absolument pas réglé le problème sur les cotés Palencia est très moyen et Silva ne semble pas apte à enchainer les matchs, Maçon joue à gauche comme piston et personne d'autres ne se détachent réellement, les gardiens c'est toujours l'arlesienne, on est incapable de trouver un vrai numero un depuis le départ de Ruffier, notre banc est peau de chagrin et aucun jeune ne rentre sereinement
Notre milieu est intéressant mais il ne peut régler tout nos manques. Krasso est suspendu à minima pour 2 matchs, on est face à toutes nos limites et toutes nos peurs et sans pilote à bord, Battles semble déjà désabusé, Perrin reste dans son perimètre et Soucasse enfermé dans un silence assourdissant et au dessus la médiocité stagne