Parce qu'il faut bien comprendre que ce qui se joue aujourd'hui, au niveau des droit TV, c'est que CANAL , qui sous louait 2 matchs de L1 le week end à Bein Sport, qui eux ne sont plus intéressés pour diffuser de la L1 et même du football.
Chercheraient donc à retourner le bébé du lot 3 ( ou 4?), des 2 matchs pourri du Week end, surpayé à l'époque 330 millions d'euros à cause de l'offre mirobolante et hallucinante de MediaPro.
Sauf que Mediapro a n'est pas en mesure de payer, ce qui rend aux yeux de Canal et de Bein, caduque le contrat signé à ce montant pour ce Lot 3.
Ce qui veut dire que Canal a payé de ses droits durant l'automne, mais ne compte plus payer et donc diffuser à compter du 5 février.
Sauf que la Ligue de football, a remis sur le marché, les droits TV de MediaPro. ( donc les lots avec les tous 80% des matchs de L1).
Mais ne compte pour le moment pas, renégocier, ceux que Beiin Sous loue à Canal, et que Canal paye.
Et vue Canal ne compte plus payer
Et que Bolloré aurait déclaré qu'il souhaitait les voir le supplier dans une mare de sang.
Et que la relation entre la Ligue et Canal est excécrable depuis MediaPro, je dirai que c'est extrémement compliqué et délicat , et je trouve que la Ligue , au lieu de tout remettre à plat et de tout tenter pour pacifier la situation avec ce qui est probablement son unique "sauveur Canal".
Fait comme si un miracle allait arriver, en remettant sur la table uniquement les Lots de MediaPro, et en ignorant Canal ( et Bein qui est d'accord avec Canal).
En tout cas j'ai l'impression qu'on cours tout droit vers une catastrophe.
Et je vois pas un Gafam comme Amazon venir se faire chier à prendre un gros risque en les droits de l1.
Tout au plus ils payeront pr 3 matchs du PSG et basta.
Mais je trouve absolument lunaire que les présidents de Ligue 1 et notamment par l'intermédiaire du président de Reims considérent comme ACQUIS , l'argent qui a été négocié à l'époque sur le Lot 3 avec CANAL. ALors que Canal et bein ont déjà annoncé qu'ils descendaient le rideau à compter du 5 février.
Allo la terre ?
