Re: Direction et vente du club
Publié : 13 juin 2022, 21:46
C'est long....espérons un véritable dénouement avec le départ des 2 fossoyeurs
^^ ASSE - Allez les Verts ^^
https://www.poteaux-carres.com/forum/
Sur ce point je suis totalement d'accord. Mais tout de même, prendre un énorme risque dans une mission ultra compliquée, qui peut s'apparenter à un bourbier, je vois pas un coach en devenir à la renommée grandissante s'y risquer.Michel-Ange a écrit : ↑13 juin 2022, 21:07Sa première motivation est sans doute familiale.PtitLu a écrit : ↑13 juin 2022, 20:56C'est bien pour ça que je ne l'aurai pas du tout vu signer, sans qu'on lui est dit au préalable qu'il y a "99% de chance que la vente se fasse". Je ne le vois absolument pas accepter de revenir à Sainté, alors qu'il avait des propositions sûrement plus intéressantes (financièrement et sportivement) et avec la certitude, voir la demi certitude, que le club ne change pas dirigeants.Michel-Ange a écrit : ↑13 juin 2022, 20:48Il était impossible de lui donner cette garantie : tant que ce n'est pas signé, ce n'est pas signé.
Sans pour autant lui donner une vraie garantie ou une promesse, je suis quasi sûr qu'il y a eu une discussion à ce sujet.
Il y a une autre explication à ne pas écarter et que Battles est un être humain comme beaucoup de nous. A plus de 40 ans, et après avoir bourlingué, il aspire à un travail bien rémunéré près de chez lui pour privilégier son bien être et celui de sa famille plutôt que d'aller à Nantes ou Lille pour 3 fois plus. Et aujourd'hui, il préfère signer à 20 kilomètres de chez lui plutôt qu'à 500, même avec un triumvirat trop faible à la direction pour garantir que le vieux sénile ne reviendra pas foutre sa merde après 3 victoires.Couramiaud Poitevin a écrit : ↑13 juin 2022, 20:55Donc Battles est complêtement zinzin : il a signé sans garantie, et ceci alors même qu'il ne peut pas blairer la direction actuelle, qu'il vient de quitter un club en milieu de saison pour désaccord avec les propriétaires, et qu'il avait d'autres propositions alléchantes ? C'est complètement absurde.Michel-Ange a écrit : ↑13 juin 2022, 20:48Il était impossible de lui donner cette garantie : tant que ce n'est pas signé, ce n'est pas signé.
La seule explication c'est qu'une promesse de vente (ou protocole d'accord) a bien été signée, et que nous sommes donc entre cette signature et la signature de l'acte de session définitif.
Etape 8 Négocier le protocole d’accord
Suite logique des négociations, le protocole d'accord est l'acte qui formalise votre entente avec le cédant. Il représente l'acte juridique le plus important de l'opération de reprise car il traite généralement tous les points de la négociation, un à un. Il constitue un engagement définitif dont les seules réserves sont des conditions clairement stipulées en son sein.
Entre la signature du protocole d'accord et celle de l'acte de cession proprement dit, il ne se passera que quelques semaines.
https://bpifrance-creation.fr/moment-de ... tape-etape
A moins d'un problème caché apparaissant au dernier moment, la vente est faite. Battles a forcément fait inclure dans son contrat une clause de rupture au cas improbable ou la vente ne se ferait pas, tout simplement.
Ou que Lions est en vacances...Michel-Ange a écrit : ↑13 juin 2022, 21:35 Bon, après, il n'y a pour le moment aucune rumeur négative sur la vente, donc on peut supposer que les choses suivent leur cours.
Tu fais bien de préciser que ce n'est pas le cas de nous tousWert a écrit : ↑13 juin 2022, 23:31Il y a une autre explication à ne pas écarter et que Battles est un être humain comme beaucoup de nous. A plus de 40 ans, et après avoir bourlingué, il aspire à un travail bien rémunéré près de chez lui pour privilégier son bien être et celui de sa famille plutôt que d'aller à Nantes ou Lille pour 3 fois plus. Et aujourd'hui, il préfère signer à 20 kilomètres de chez lui plutôt qu'à 500, même avec un triumvirat trop faible à la direction pour garantir que le vieux sénile ne reviendra pas foutre sa merde après 3 victoires.Couramiaud Poitevin a écrit : ↑13 juin 2022, 20:55Donc Battles est complêtement zinzin : il a signé sans garantie, et ceci alors même qu'il ne peut pas blairer la direction actuelle, qu'il vient de quitter un club en milieu de saison pour désaccord avec les propriétaires, et qu'il avait d'autres propositions alléchantes ? C'est complètement absurde.Michel-Ange a écrit : ↑13 juin 2022, 20:48Il était impossible de lui donner cette garantie : tant que ce n'est pas signé, ce n'est pas signé.
La seule explication c'est qu'une promesse de vente (ou protocole d'accord) a bien été signée, et que nous sommes donc entre cette signature et la signature de l'acte de session définitif.
Etape 8 Négocier le protocole d’accord
Suite logique des négociations, le protocole d'accord est l'acte qui formalise votre entente avec le cédant. Il représente l'acte juridique le plus important de l'opération de reprise car il traite généralement tous les points de la négociation, un à un. Il constitue un engagement définitif dont les seules réserves sont des conditions clairement stipulées en son sein.
Entre la signature du protocole d'accord et celle de l'acte de cession proprement dit, il ne se passera que quelques semaines.
https://bpifrance-creation.fr/moment-de ... tape-etape
A moins d'un problème caché apparaissant au dernier moment, la vente est faite. Battles a forcément fait inclure dans son contrat une clause de rupture au cas improbable ou la vente ne se ferait pas, tout simplement.
La signature de Battles ne préfigure en rien la vente du club. on en sait rien.
Il y a aussi la vente de la société commerciale qui potentiellement pouvait rapporté 33 millions sur deux ans et qui va rapporter 8 ou 16,5 en cas de remontée immédiate. Il y a donc déjà surement un deficit 2021/2022 à combler, plus élevé que si on s'était maintenu. Donc sans repreneur et sans vente de joueurs "bankable", sans diminution de al masse salariale (malgré les départs des fdc), le mercato dans le sens des arrivées sera limité.
A priori, l'ASSE va bien toucher 16,5 M, payé en deux ans.civod42 a écrit : ↑14 juin 2022, 08:05Il y a aussi la vente de la société commerciale qui potentiellement pouvait rapporter 33 millions sur deux ans et qui va rapporter 8 ou 16,5 en cas de remontée immédiate. Il y a donc déjà surement un deficit 2021/2022 à combler, plus élevé que si on s'était maintenu. Donc sans repreneur et sans vente de joueurs "bankable", sans diminution de al masse salariale (malgré les départs des fdc), le mercato dans le sens des arrivées sera limité.
Edit : le passage DNCG nous en apprendra un peu plus (ou pas)
Beaucoup de gens croyent que Caiazzo a repris le club en L2. Ne pas oublié que sa prise officielle etait en juin d memoire, les des etaient deja jetté et le club remontait deja avant sa reprise.Wert a écrit : ↑13 juin 2022, 19:00
Et surtout, je pense qu'il mesure comme nous la difficulté qu'ils auraient à refaire monter le club, sans moyens, mais aussi avec Romeyer sur place et un organigramme gangrené par des années de primauté du clientélisme et du relationnel sur la compétence.
Non seulement, il risque de ne jamais voir le club remonté, mais de continuer sa chute. Rien qu'avec une dizaine de millions de la vente, il a de quoi ne plus jamais remettre les pieds à Saint-Etienne.
L'autre c'est différent. Il n'existe que par le club qui a longtemps alimenté son égo. Aujourd'hui le miroir est cassé, mais la tentation de le réparer pour sauver son image, dans un climat de déni de ses responsabilités entretenu par sa cour, est à mon avis un facteur de risque non négligeable.
En principe les acheteurs ont accès à bien plus d’informations que la DNCG, ils n’ont aucun intérêt à attendre l’avis de la DNCG vu que si ils rachètent, les perspectives budgétaires seront très différentes. C’est pour ça que lorsqu’il y a eu des rachat de club précédemment au cours de l’intersaison, les potentiels acheteurs venaient présenter leur projet de budget à la DNCG.
Un prof qui donne la leçon sur la mécanique des cessions d'entreprises en s'appuyant sur un article de Mediapart : celle ci, elle va me faire la journéeCouramiaud Poitevin a écrit : ↑13 juin 2022, 21:01Puisque personne n'est foutu d'essayer de comprendre comment se réalise la cession d'une entreprise, ce que j'ai déjà expliqué 2 fois et qu'on trouve partout sur internet, voici un exemple concret, tiré d'un article récent de Médiapart, qui explique comment la cession de l'entreprise de Gérald Dahan a capoté.ggspirit a écrit : ↑13 juin 2022, 20:57 Apparemment personne ne sais ce qu'il se passe. Ni Molina , ni Nanard Lions, ni Toubache, ni aucun twitos. Tout est suppositions.
La seule chose officielle, c ’était l’annonce prévue le 12 Juin.
L'annonce n'ayant pas eu lieu, il est clerc qu'il y a un os dans le potage.
Un autre litige s’est noué autour de la péniche-spectacle au printemps 2021. À cette époque, Gérald Dahan cherche acquéreur pour la SCI Berthelot (le vrai nom de l’humoriste), qui possède la péniche et les deux sociétés qu’elle a à son bord : la SAS Trognes Company (qui possède la salle de spectacle) et la SAS L’Entracte (le restaurant).
Une promesse de vente est signée le 24 avril pour un montant de 335 000 euros. Les acquéreurs – cinq associés issus d’une même famille - commencent à solliciter les banques pour obtenir des emprunts. « Malgré nos nombreuses demandes, il ne nous a pas fourni à temps les documents (comme les bilans comptables) demandés par les banques afin d’obtenir les crédits dans un délai de deux mois. Il avait toujours une excuse », affirme Thierry Neyraud, qui a déposé une plainte pour escroquerie et abus de confiance en juillet 2021, classée sans suite par le parquet de Paris en septembre 2021.
Une semaine avant la fin de l’échéance de la promesse de vente, les avocats des acquéreurs avaient envoyé un courrier à Gérald Dahan pour casser la vente, estimant que « l’acte de promesse ainsi que les conditions dans lesquelles il a été consenti étaient particulièrement contestables ». Les conseils pointaient notamment le fait que les documents demandés « ont été fournis tardivement » et dénonçaient « des incohérences dans la structure financière de la société ». Deux banques ont attesté par courrier avoir été saisies par les acquéreurs, « mais ne pas avoir réceptionné l’ensemble des documents nécessaires à une prise de décision sur leur demande de crédit ».
Malgré cela, début juillet, trois chèques libellés par les deux filles de Thierry Neyraud au moment de la promesse de vente aux noms de Gérald Dahan, de son épouse et de sa mère, associés au sein de la SCI, sont encaissés, pour un montant de 16 000 euros. Deux autres chèques, signés à l’ordre des deux autres associés de Gérald Dahan au même moment, ne sont eux pas débités.
https://www.mediapart.fr/journal/france ... arnaqueurs
La pleine lune est toujours annonciatrice de changements.... Ça devrait etre officialisé sous peu donc ! A moins que ça soit la nouvelle lune, et là on va attendre encore. Mais ça avance.... ou pasAsse of Spades a écrit : ↑13 juin 2022, 17:46Faut tenir compte de l'heure de Dubaï, dans une heure Bernard sera au lit.Nr14 a écrit : ↑13 juin 2022, 17:40forezien73 a écrit : ↑13 juin 2022, 17:33J'en ai vu des arguments pour se raccrocher aux branches mais de là à regarder l'horaire aux states un jour après une prétendue annonce le 12/06 qui tombait un dimanche....![]()
On va décrocher et attendre![]()
tout va bien je patiente, j'avais envie de la faire celle là.
La fenêtre de tir est réduite.
Il fait une offre au printemps 2003 qui est refusée.oblooblo2000 a écrit : ↑14 juin 2022, 08:33Beaucoup de gens croyent que Caiazzo a repris le club en L2. Ne pas oublié que sa prise officielle etait en juin d memoire, les des etaient deja jetté et le club remontait deja avant sa reprise.Wert a écrit : ↑13 juin 2022, 19:00
Et surtout, je pense qu'il mesure comme nous la difficulté qu'ils auraient à refaire monter le club, sans moyens, mais aussi avec Romeyer sur place et un organigramme gangrené par des années de primauté du clientélisme et du relationnel sur la compétence.
Non seulement, il risque de ne jamais voir le club remonté, mais de continuer sa chute. Rien qu'avec une dizaine de millions de la vente, il a de quoi ne plus jamais remettre les pieds à Saint-Etienne.
L'autre c'est différent. Il n'existe que par le club qui a longtemps alimenté son égo. Aujourd'hui le miroir est cassé, mais la tentation de le réparer pour sauver son image, dans un climat de déni de ses responsabilités entretenu par sa cour, est à mon avis un facteur de risque non négligeable.
On peut donc dire qu il ont recuperer le club en L1 et l auront bien pourri jusqu a l os. Ils peuvent remercier le cache misere qu a ete Galtier pendant de nombreuses années.