Re: Mercato été 2025 [Fin le 1er septembre à 20h]
Publié : 02 sept. 2025, 10:37
^^ ASSE - Allez les Verts ^^
https://www.poteaux-carres.com/forum/
Tu n'es pas sérieux là , rassure moi ... sinon, c'est gravelatornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13 Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.
Pas oublier qu'on a "un ticket de 6+1 M€ sur Ekwah" et qu'apparemment, on a pas l'intention de céder !!!
Mais tu as toujours le choix.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Pourquoi il pourrait passer en joker ? J'ai pas compris
Hmmm, c'est quand même pas du tout ça.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
"Les joueurs sont des esclaves" avait déclaré Kopa en 1963latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13 Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.
Bien sûr. Tu as le choix de ne pas te faire confisquer ton passeport. Tu as le choix de ne pas te faire enfermer seul dans une pièce à 16 ans par Galtier et Bernès pour que tu changes d'agent. Tu as le choix de ne pas prendre la piqouze de vitamines du docteur. Tu as le choix de pas vivre loin de ta famille à 14 ans dans un endroit ou 99% des gens pensent qu'il y a trop de noirs là d'où tu viens. Tu as le choix que ton club fasse courir le bruit qu'ils t'ont prolongé malgré ta grosse blessure alors qu'en fait ils t'ont juste filé une licence amateur. Tu as le choix qu'on t'interdise de jouer juste parce que tu as brandi un drapeau algérien. Tu as le choix de signer à l'Atlético de Madrid où personne ne te veut alors que tu voulais rester. Tu as le choix de ne pas prolonger sans que ton club intervienne pour t'empêcher d'être sélectionné en équipe de france espoirs.Marée verte a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:57Mais tu as toujours le choix.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Rien ne t'oblige à signer dans tel ou tel club. Tu peux rester jouer dans ton village où la ville la plus proche ou le club de ton cœur. Tu peux choisir de signer 1 an ou même de jouer gratuitement.
Tu peux aussi décider de rester amateur.
D'autres par contre n'ont pas le choix que de se lever chaque matin pour aller trimer pour un petit salaire.
Ben j’en suis pas si sûr.Couramiaud Poitevin a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:07"Les joueurs sont des esclaves" avait déclaré Kopa en 1963latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13 Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.
C'était vrai à l'époque "À cette époque, les joueurs signent avec leur club un contrat "à vie". Pendant cette période, le club dispose de son joueur à sa guise, décide de ses transferts sans son accord".
https://www.huffingtonpost.fr/sport/art ... 95600.html
mais c'est fini, cette période. Ekwa n'était pas obligé d'accepter le prêt avec OA à l'ASSE. A ce moment là, il a choisi "l’endroit où il a souhaité travailler, avec qui, pour quelle durée".
L'absence de VAR a bon dos. Les téléspectateurs l'ont la VAR. Il va falloir faire pression sur le corps arbitral. Une très très grosse pression.fredleVERT a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:13 Stassin qui n'aime pas le jeu rugueux va pouvoir mettre une nouvelle corde à son arc en ligue2.
L'absence de VAR est quand même préjudiciable pour nous.
J'espère qu'il va pas se faire briser les jambes.
Rien que ça : Lorsqu’un salarié en CDD obtient un CDI, il dispose d’un droit spécifique de rupture anticipée. Donc non, c’est pas tout à fait « logé à la même enseigne ». On compare des choux et des carottes là. Tu sais bien que comparer un contrat pro et un contrat de salarié lambda n’a rien à voir.Galcian a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:00Hmmm, c'est quand même pas du tout ça.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Les joueurs signent un CDD. Comme tous les employés en CDD de France, il est très compliqué de le rompre à l'initiative d'une seule partie. Ils ne sont pas logés à une enseigne différente des autres.
Lorsqu'ils signent ce CDD, ils sont libres de leur choix. Ils négocient la durée, l'employeur et le salaire, comme tout un chacun. Ils peuvent ensuite changer d'avis, mais ils se sont engagés, comme tous les autres salariés en CDD.
Ton employeur, enfin, ne contrôle pas ton avenir plus qu'un autre. Ils peut négocier avec un autre employeur une indemnité pour accepter la rupture du CDD au profit d'un concurrent, mais sans l'accord de l'employé pour signer chez ce nouvel employeur, il ne se passera rien.
Donc non, les joueurs de foot sont logés tout à fait à la même enseigne que n'importe qui dans le même cadre juridique.
Il pouvait refuser. Peut être qu'il était tricard à Sunderland ? On voit bien que ça carrière part en sucette, qu'il puisse être recruté à 16 ans, c'est vraiment tôt.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:19Ben j’en suis pas si sûr.Couramiaud Poitevin a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:07"Les joueurs sont des esclaves" avait déclaré Kopa en 1963latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13 Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.
C'était vrai à l'époque "À cette époque, les joueurs signent avec leur club un contrat "à vie". Pendant cette période, le club dispose de son joueur à sa guise, décide de ses transferts sans son accord".
https://www.huffingtonpost.fr/sport/art ... 95600.html
mais c'est fini, cette période. Ekwa n'était pas obligé d'accepter le prêt avec OA à l'ASSE. A ce moment là, il a choisi "l’endroit où il a souhaité travailler, avec qui, pour quelle durée".
Galcian a raison. Il fait un juste parallèle entre les contrats des joueurs et les CDD des employés, pour expliquer le fonctionnement d'un contrat avec ses avantages et ses conséquences, qui sont identiques pour les 2 parties.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:36Rien que ça : Lorsqu’un salarié en CDD obtient un CDI, il dispose d’un droit spécifique de rupture anticipée. Donc non, c’est pas tout à fait « logé à la même enseigne ». On compare des choux et des carottes là. Tu sais bien que comparer un contrat pro et un contrat de salarié lambda n’a rien à voir.Galcian a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:00Hmmm, c'est quand même pas du tout ça.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Les joueurs signent un CDD. Comme tous les employés en CDD de France, il est très compliqué de le rompre à l'initiative d'une seule partie. Ils ne sont pas logés à une enseigne différente des autres.
Lorsqu'ils signent ce CDD, ils sont libres de leur choix. Ils négocient la durée, l'employeur et le salaire, comme tout un chacun. Ils peuvent ensuite changer d'avis, mais ils se sont engagés, comme tous les autres salariés en CDD.
Ton employeur, enfin, ne contrôle pas ton avenir plus qu'un autre. Ils peut négocier avec un autre employeur une indemnité pour accepter la rupture du CDD au profit d'un concurrent, mais sans l'accord de l'employé pour signer chez ce nouvel employeur, il ne se passera rien.
Donc non, les joueurs de foot sont logés tout à fait à la même enseigne que n'importe qui dans le même cadre juridique.
C'est un peu encore léger au milieu, oui, quoique les titulaires tiennent la route en terme de niveau au moins et que Gadegbeku en jeune est intéressant sur ses premières prestations. C'est dommage aussi qu'Eymard ne souhaite pas prolonger car ça aurait été la saison idoine pour lui !NomDeStade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:57 Merci FdT pour cette synthèse.
Au final, on a un groupe large, peut-être même un tout petit peu trop. J'aurais pas vu d'un mauvais oeil le prêt de Old, qui aurait été gagnant pour tout le monde à mon sens.
Au milieu, on va souhaiter un retour rapide de Bouchouari quand même, sinon on est peu juste compte tenu de la situation d'Ekwah.
C'est une bonne remarque.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:36Rien que ça : Lorsqu’un salarié en CDD obtient un CDI, il dispose d’un droit spécifique de rupture anticipée. Donc non, c’est pas tout à fait « logé à la même enseigne ». On compare des choux et des carottes là. Tu sais bien que comparer un contrat pro et un contrat de salarié lambda n’a rien à voir.Galcian a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:00Hmmm, c'est quand même pas du tout ça.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Les joueurs signent un CDD. Comme tous les employés en CDD de France, il est très compliqué de le rompre à l'initiative d'une seule partie. Ils ne sont pas logés à une enseigne différente des autres.
Lorsqu'ils signent ce CDD, ils sont libres de leur choix. Ils négocient la durée, l'employeur et le salaire, comme tout un chacun. Ils peuvent ensuite changer d'avis, mais ils se sont engagés, comme tous les autres salariés en CDD.
Ton employeur, enfin, ne contrôle pas ton avenir plus qu'un autre. Ils peut négocier avec un autre employeur une indemnité pour accepter la rupture du CDD au profit d'un concurrent, mais sans l'accord de l'employé pour signer chez ce nouvel employeur, il ne se passera rien.
Donc non, les joueurs de foot sont logés tout à fait à la même enseigne que n'importe qui dans le même cadre juridique.
Vous me rappelez la durée légale d’un CDD en France ?Robert Bidochon a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:41Galcian a raison. Il fait un juste parallèle entre les contrats des joueurs et les CDD des employés, pour expliquer le fonctionnement d'un contrat avec ses avantages et ses conséquences, qui sont identiques pour les 2 parties.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:36Rien que ça : Lorsqu’un salarié en CDD obtient un CDI, il dispose d’un droit spécifique de rupture anticipée. Donc non, c’est pas tout à fait « logé à la même enseigne ». On compare des choux et des carottes là. Tu sais bien que comparer un contrat pro et un contrat de salarié lambda n’a rien à voir.Galcian a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:00Hmmm, c'est quand même pas du tout ça.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Les joueurs signent un CDD. Comme tous les employés en CDD de France, il est très compliqué de le rompre à l'initiative d'une seule partie. Ils ne sont pas logés à une enseigne différente des autres.
Lorsqu'ils signent ce CDD, ils sont libres de leur choix. Ils négocient la durée, l'employeur et le salaire, comme tout un chacun. Ils peuvent ensuite changer d'avis, mais ils se sont engagés, comme tous les autres salariés en CDD.
Ton employeur, enfin, ne contrôle pas ton avenir plus qu'un autre. Ils peut négocier avec un autre employeur une indemnité pour accepter la rupture du CDD au profit d'un concurrent, mais sans l'accord de l'employé pour signer chez ce nouvel employeur, il ne se passera rien.
Donc non, les joueurs de foot sont logés tout à fait à la même enseigne que n'importe qui dans le même cadre juridique.
osvaldopiazzolla a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:08Bien sûr. Tu as le choix de ne pas te faire confisquer ton passeport. Tu as le choix de ne pas te faire enfermer seul dans une pièce à 16 ans par Galtier et Bernès pour que tu changes d'agent. Tu as le choix de ne pas prendre la piqouze de vitamines du docteur. Tu as le choix de pas vivre loin de ta famille à 14 ans dans un endroit ou 99% des gens pensent qu'il y a trop de noirs là d'où tu viens. Tu as le choix que ton club fasse courir le bruit qu'ils t'ont prolongé malgré ta grosse blessure alors qu'en fait ils t'ont juste filé une licence amateur. Tu as le choix qu'on t'interdise de jouer juste parce que tu as brandi un drapeau algérien. Tu as le choix de signer à l'Atlético de Madrid où personne ne te veut alors que tu voulais rester. Tu as le choix de ne pas prolonger sans que ton club intervienne pour t'empêcher d'être sélectionné en équipe de france espoirs.Marée verte a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:57Mais tu as toujours le choix.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Rien ne t'oblige à signer dans tel ou tel club. Tu peux rester jouer dans ton village où la ville la plus proche ou le club de ton cœur. Tu peux choisir de signer 1 an ou même de jouer gratuitement.
Tu peux aussi décider de rester amateur.
D'autres par contre n'ont pas le choix que de se lever chaque matin pour aller trimer pour un petit salaire.
J'ai l'ai évoqué, comme Miladinovic, mais effectivement je ne l'ai pas mis dans le groupe à disposition car on ne sait pas si ou quand il pourra reprendre.
18 mois si je dis pas de conneries, mais ça reste un ajustement à la marge.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:48Vous me rappelez la durée légale d’un CDD en France ?Robert Bidochon a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:41Galcian a raison. Il fait un juste parallèle entre les contrats des joueurs et les CDD des employés, pour expliquer le fonctionnement d'un contrat avec ses avantages et ses conséquences, qui sont identiques pour les 2 parties.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:36Rien que ça : Lorsqu’un salarié en CDD obtient un CDI, il dispose d’un droit spécifique de rupture anticipée. Donc non, c’est pas tout à fait « logé à la même enseigne ». On compare des choux et des carottes là. Tu sais bien que comparer un contrat pro et un contrat de salarié lambda n’a rien à voir.Galcian a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:00Hmmm, c'est quand même pas du tout ça.latornade a écrit : ↑Aujourd’hui, 08:13Je ne sais pas si on peut parler de privilège quand on ne peut pas décider de choses aussi simples que l’endroit où l’on souhaite travailler, avec qui, pour quelle durée, et qu’une entité commerciale puisse entièrement contrôler ton avenir pendant de nombreuses années. Sacrées contreparties à ce privilège en tout cas. Enfin, personnellement, être traité comme de la matière première même pour des sommes rondelettes me laisserait un goût amer.Dr.Makaveli a écrit : ↑Aujourd’hui, 07:49 Le pseudo "deal" du mois d'août convenu - ou non - avec le joueur arrive à échéance et toujours pas de nounou pour le Pierrot. Y'en reste peu.
Dans le cas où il reste et revient, pas de place offerte d'office sinon rien de tel pour froisser un collectif, créer une jalousie et j'en passe.
Il devra faire ses preuves, ça passera par l'équipe réserve car à l'heure actuelle il n'est ni meilleur que ceux en place ni ne le mérite.
Ensuite on verra. Il a joué, il a perdu, faut aussi assumer. (On parle de privilège, tout autre salarié risquerait de ne plus être dans la même boîte)
Et s'il s'agit d'un problème personnel, d'une maladie, d'un décès ou dans le "registre", je serais le 1er à éditer comme je l'ai déjà dit. En attendant..
Les joueurs signent un CDD. Comme tous les employés en CDD de France, il est très compliqué de le rompre à l'initiative d'une seule partie. Ils ne sont pas logés à une enseigne différente des autres.
Lorsqu'ils signent ce CDD, ils sont libres de leur choix. Ils négocient la durée, l'employeur et le salaire, comme tout un chacun. Ils peuvent ensuite changer d'avis, mais ils se sont engagés, comme tous les autres salariés en CDD.
Ton employeur, enfin, ne contrôle pas ton avenir plus qu'un autre. Ils peut négocier avec un autre employeur une indemnité pour accepter la rupture du CDD au profit d'un concurrent, mais sans l'accord de l'employé pour signer chez ce nouvel employeur, il ne se passera rien.
Donc non, les joueurs de foot sont logés tout à fait à la même enseigne que n'importe qui dans le même cadre juridique.