^^ ASSE - Allez les Verts ^^
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C'est une bonne chose, c'est certain, mais c'est quand même dramatique de traîner des casseroles aussi grosses. Je n'ose imaginer les conséquences quand kilmer va s'intéresser aux activités de Gégé Fernandez sur le continent africain. J'assume de ne pas avoir employé le conditionnel. On sait à peu près tous que ça finira par arriver et que ça sera sans doute bien moche.
Oui, étonné c'est un meilleur mot.Jean Sans Terre a écrit : ↑Aujourd’hui, 09:02Pas étonné, tu veux dire ?
Rien d'étonnant, en effet. Un mec dégueu.
Imaginez que c'est votre fille qui est en stage et que son vieux patron grivois (qui pourrait être son grand-père) se permette de tirer sur son décolleté en faisant ce genre de commentaire. Maintenant imaginez encore que c'est de la "pudibonderie"...Faiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:06Donc - en supposant que les faits soient avérés - tirer sur les vêtements d'une femme pour mieux observer son décolleté tout en commentant "c'est les gorges de l'Ardèche", c'est pas si grave selon toi ? Et dire que ça l'est ça relève de la "pudibonderie" ?NomDeStade a écrit : ↑Aujourd’hui, 09:32 Mais les blagues lourdes sur les décolletés, faut quand même arrêter la pudibonderie aussi.
Prends le temps de répondre - si jamais tu réponds - ça t'évitera de dire une nouvelle connerie.
Je suis d'accord avec ça.Faiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:06Donc - en supposant que les faits soient avérés - tirer sur les vêtements d'une femme pour mieux observer son décolleté tout en commentant "c'est les gorges de l'Ardèche", c'est pas si grave selon toi ? Et dire que ça l'est ça relève de la "pudibonderie" ?NomDeStade a écrit : ↑Aujourd’hui, 09:32 Mais les blagues lourdes sur les décolletés, faut quand même arrêter la pudibonderie aussi.
Prends le temps de répondre - si jamais tu réponds - ça t'évitera de dire une nouvelle connerie.
Je ne suis pas à l'aise avec ton dernier paragraphe. Un comportement sexiste est un comportement sexiste, même si tu appelles ça un commentaire de beauf, ce qui ne correspond à rien juridiquement parlant. Profiter de son statut pour imposer des comportements sexistes a des subordonnées c'est du harcèlement. Évidemment, on ne parle pas de viol, on est d'accord, mais ça n'est pas admissible pour autant.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:50Je suis d'accord avec ça.Faiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:06Donc - en supposant que les faits soient avérés - tirer sur les vêtements d'une femme pour mieux observer son décolleté tout en commentant "c'est les gorges de l'Ardèche", c'est pas si grave selon toi ? Et dire que ça l'est ça relève de la "pudibonderie" ?NomDeStade a écrit : ↑Aujourd’hui, 09:32 Mais les blagues lourdes sur les décolletés, faut quand même arrêter la pudibonderie aussi.
Prends le temps de répondre - si jamais tu réponds - ça t'évitera de dire une nouvelle connerie.
Et les tirages de cheveux, les baisers volés... C'est assez terrifiant. D'autant plus dans le cadre d'un rapport patron / employés.
Si c'est avéré, on est à un autre niveau que des petites allusions ou des commentaires de beauf (qui peuvent être problématiques hein, mais je trouve qu'on a souvent trop tendance à mélanger et à ne pas hiérarchiser les choses de manière proportionnée).
Nous sommes tout à fait d’accord.Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:33Quoi qu'il en soit, même des commentaires sur les décolletés ne sont pas admissibles, de manière générale vis à vis d'une personne avec laquelle tu n'entretiens pas de relation personnelle et encore plus entre un dirigeant et ses subordonnées. On n'est plus au moyen âge.Fabulo a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:27 Tu n’as pas du lire le potin dédié à cette histoire. Nous sommes loin de quelques remarques de mauvais goûts.
Je serai surpris que les gens réagissent comme ça à cause des blagues graveleuses sur un décolleté. On parle là de commentaires du genre « tu n’es pas encore passée sous le bureau ? » … c’est proprement immonde quand tu es le boss, et si il l’a vraiment dit, il le savait pertinemment.
De plus, plusieurs des faits relatés concernent des contacts physiques. Cela irait bien au-delà de la simple beaufitude.
J'ai toujours pensé que le refus de RR et sa clique de laisser le club était en grande partie aux cadavres dissimulés dans les placards. On risque d'en apprendre des vertes et des pas mures dans les années à venir. Et je comprends que ça grinçait des dents quand les nouveaux propriétaires faisaient des audits de partout.Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:44C'est une bonne chose, c'est certain, mais c'est quand même dramatique de traîner des casseroles aussi grosses. Je n'ose imaginer les conséquences quand kilmer va s'intéresser aux activités de Gégé Fernandez sur le continent africain. J'assume de ne pas avoir employé le conditionnel. On sait à peu près tous que ça finira par arriver et que ça sera sans doute bien moche.
Sur ces sujets il faudrait bloquer les commentaires. Entre les masculinistes qui pullulent sur les réseaux et le profil boomer des personnes sur Facebook il était presque certain que ça allait déborder. Je me range donc dans le camp de Meta.meta_42 a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55 A titre indicatif, J’insiste auprès des modos : sur Facebook les commentaires sont vraiment à vomir : a remettre en cause le timing, la validité des accusations, les “ ah ! Mais moi je l’ai croisé une fois il m’est rien arrivé “, “pourquoi elles ont pas parlé avant”, “comme par hasard ça sort que maintenant…”.
Ça donne pas une image très réelle de nos échanges et ça entache p2 je trouve…
Si vous voulez vous rendre compte par vous même du “ niveau “ des débats : https://www.facebook.com/share/p/19WZfo ... tid=wwXIfrNeidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:58Sur ces sujets il faudrait bloquer les commentaires. Entre les masculinistes qui pullulent sur les réseaux et le profil boomer des personnes sur Facebook il était presque certain que ça allait déborder. Je me range donc dans le camp de Meta.meta_42 a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55 A titre indicatif, J’insiste auprès des modos : sur Facebook les commentaires sont vraiment à vomir : a remettre en cause le timing, la validité des accusations, les “ ah ! Mais moi je l’ai croisé une fois il m’est rien arrivé “, “pourquoi elles ont pas parlé avant”, “comme par hasard ça sort que maintenant…”.
Ça donne pas une image très réelle de nos échanges et ça entache p2 je trouve…
Je n'ai jamais dit que c'était admissible (par contre, je ne suis pas sûr que ça rentre dans la notion juridique de harcèlement, mais qu'importe ici).Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55
Je ne suis pas à l'aise avec ton dernier paragraphe. Un comportement sexiste est un comportement sexiste, même si tu appelles ça un commentaire de beauf, ce qui ne correspond à rien juridiquement parlant. Profiter de son statut pour imposer des comportements sexistes a des subordonnées c'est du harcèlement. Évidemment, on ne parle pas de viol, on est d'accord, mais ça n'est pas admissible pour autant.
Oui, là on n'est pas sur le potin de Parasar par exemple, histoire de faire un lien avec un autre problème de décolleté qu'on a eu. Dans ce cas là, c'est au pire une blague de mauvais goût ou simplement plus en raccord avec l'évolution de la société. Mais sur le principe ça ne concerne personne directement et ça reste juste une blague. Là on est carrément sur autre chose, ce qui est décrit n'est ni plus ni moins qu'une agression.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:50Je suis d'accord avec ça.Faiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:06Donc - en supposant que les faits soient avérés - tirer sur les vêtements d'une femme pour mieux observer son décolleté tout en commentant "c'est les gorges de l'Ardèche", c'est pas si grave selon toi ? Et dire que ça l'est ça relève de la "pudibonderie" ?NomDeStade a écrit : ↑Aujourd’hui, 09:32 Mais les blagues lourdes sur les décolletés, faut quand même arrêter la pudibonderie aussi.
Prends le temps de répondre - si jamais tu réponds - ça t'évitera de dire une nouvelle connerie.
Et les tirages de cheveux, les baisers volés... C'est assez terrifiant. D'autant plus dans le cadre d'un rapport patron / employés.
Si c'est avéré, on est à un autre niveau que des petites allusions ou des commentaires de beauf (qui peuvent être problématiques hein, mais je trouve qu'on a souvent trop tendance à mélanger et à ne pas hiérarchiser les choses de manière proportionnée).
Le problème, c’est qu’étant donné la présomption d’innocence, on ne peut pas qualifier RR de délinquant sexuel. Ce sera à la justice de le condamner selon ce qu’elle estime être des faits criminels ou non (au sens large). En attendant, notre seul option c’est de commenter le comportement et l’attitude qu’il avait au club. Donc oui RR était à minima un beauf. Ça n’empêche pas d’attendre la décision de justice et de le co ́damner si les faits sont avérés et répréhensibles.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:04Je n'ai jamais dit que c'était admissible (par contre, je ne suis pas sûr que ça rentre dans la notion juridique de harcèlement, mais qu'importe ici).Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55
Je ne suis pas à l'aise avec ton dernier paragraphe. Un comportement sexiste est un comportement sexiste, même si tu appelles ça un commentaire de beauf, ce qui ne correspond à rien juridiquement parlant. Profiter de son statut pour imposer des comportements sexistes a des subordonnées c'est du harcèlement. Évidemment, on ne parle pas de viol, on est d'accord, mais ça n'est pas admissible pour autant.
Je dis que même si on parle de comportements qui doivent être corrigés et bannis autant que possible, une blague de beauf n'est pas une main aux fesses et encore moins un viol. A force de traiter toutes ces choses de manière égale, on tend à banaliser le pire. Ce qui ne signifie pas qu'il ne faut rien dire sur le patron qui fait des blagues salaces à ses employées.
Bref, je disais juste ça car j'estime qu'un cap a été franchi dans la gravité des actes reprochés, vu ce qu'on apprend dans le dernier potin.
Et des enfants..cedric26 a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:04 Ben même ici cela risque de tourner au vinaigre,
Mais bon comme dit inconnuvert bla bla et bla…
Mais pour moi, lui et comme pour Le Breton,…. Ils ont « pu » avoir des propos et des gestes qui étaient plus que courant ds les années 60/80 voir même plus et que maintenant….
Mais rien que de voir mon département et son expression arggllll…..
Sinon cela me fait penser au diffusion que remette télématin et les reportages des années 60-80, perlant des femmes, par des hommes… tu te dis cela maintenant, cela passe pas à la tv…..
Des remarques répétées et inappropriées sur le physique d'une personne, c'est du harcèlement, peu importe le ton utilisé, même si on le fait avec le sourire et que ça peut faire marrer certaines personnes.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:04Je n'ai jamais dit que c'était admissible (par contre, je ne suis pas sûr que ça rentre dans la notion juridique de harcèlement, mais qu'importe ici).Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55
Je ne suis pas à l'aise avec ton dernier paragraphe. Un comportement sexiste est un comportement sexiste, même si tu appelles ça un commentaire de beauf, ce qui ne correspond à rien juridiquement parlant. Profiter de son statut pour imposer des comportements sexistes a des subordonnées c'est du harcèlement. Évidemment, on ne parle pas de viol, on est d'accord, mais ça n'est pas admissible pour autant.
Je dis que même si on parle de comportements qui doivent être corrigés et bannis autant que possible, une blague de beauf n'est pas une main aux fesses et encore moins un viol. A force de traiter toutes ces choses de manière égale, on tend à banaliser le pire. Ce qui ne signifie pas qu'il ne faut rien dire sur le patron qui fait des blagues salaces à ses employées.
Bref, je disais juste ça car j'estime qu'un cap a été franchi dans la gravité des actes reprochés, vu ce qu'on apprend dans le dernier potin.
T'as plus de femmes que de masculinistes qui le défendent en commentaires, pour le coup...Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:58Sur ces sujets il faudrait bloquer les commentaires. Entre les masculinistes qui pullulent sur les réseaux et le profil boomer des personnes sur Facebook il était presque certain que ça allait déborder. Je me range donc dans le camp de Meta.meta_42 a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55 A titre indicatif, J’insiste auprès des modos : sur Facebook les commentaires sont vraiment à vomir : a remettre en cause le timing, la validité des accusations, les “ ah ! Mais moi je l’ai croisé une fois il m’est rien arrivé “, “pourquoi elles ont pas parlé avant”, “comme par hasard ça sort que maintenant…”.
Ça donne pas une image très réelle de nos échanges et ça entache p2 je trouve…
J'attendais la réponse de Nom de Stade mais puisqu'elle ne vient pas... pour moi il parlait simplement des blagues verbales en question quand il parlait de pudibonderie (et pas du reste, vous extrapoler ses dires). Et pour le coup, je pourrais le rejoindre éventuellement là-dessus mais il faudrait déjà savoir quel niveau d'intimité (ou plutôt quelle proximité) il avait avec les personnes concernées pour pouvoir juger. Parce que perso, si on s'envoit beaucoup de fions dans le style avec mes collègues que j'apprécie (hommes ou femmes), on ne se permettrait pas de le faire avec tous nos collègues. L'humour ne passe pas avec tout le monde, il faut savoir doser et savoir à qui on s'adresse (après, on est d'accord que l'humour de Romeyer est d'un autre temps...)Faiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:05Oui, là on n'est pas sur le potin de Parasar par exemple, histoire de faire un lien avec un autre problème de décolleté qu'on a eu. Dans ce cas là, c'est au pire une blague de mauvais goût ou simplement plus en raccord avec l'évolution de la société. Mais sur le principe ça ne concerne personne directement et ça reste juste une blague. Là on est carrément sur autre chose, ce qui est décrit n'est ni plus ni moins qu'une agression.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:50Je suis d'accord avec ça.Faiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:06Donc - en supposant que les faits soient avérés - tirer sur les vêtements d'une femme pour mieux observer son décolleté tout en commentant "c'est les gorges de l'Ardèche", c'est pas si grave selon toi ? Et dire que ça l'est ça relève de la "pudibonderie" ?NomDeStade a écrit : ↑Aujourd’hui, 09:32 Mais les blagues lourdes sur les décolletés, faut quand même arrêter la pudibonderie aussi.
Prends le temps de répondre - si jamais tu réponds - ça t'évitera de dire une nouvelle connerie.
Et les tirages de cheveux, les baisers volés... C'est assez terrifiant. D'autant plus dans le cadre d'un rapport patron / employés.
Si c'est avéré, on est à un autre niveau que des petites allusions ou des commentaires de beauf (qui peuvent être problématiques hein, mais je trouve qu'on a souvent trop tendance à mélanger et à ne pas hiérarchiser les choses de manière proportionnée).
Il me semble qu'il y a ici un aspect répétitif à prendre en compte. Certaines paroles et actes isolés peuvent "encore" (et certaine non) passer pour des blagues de mauvais gouts, mais leur répétition et systématisation par personne ayant autorité que décrit l'article va bien au delà. Elle génère un climat de travail insoutenable qui relève du harcèlement (d'ou la qualification juridique d'ailleurs)Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:16Des remarques répétées et inappropriées sur le physique d'une personne, c'est du harcèlement, peu importe le ton utilisé, même si on le fait avec le sourire et que ça peut faire marrer certaines personnes.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:04Je n'ai jamais dit que c'était admissible (par contre, je ne suis pas sûr que ça rentre dans la notion juridique de harcèlement, mais qu'importe ici).Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55
Je ne suis pas à l'aise avec ton dernier paragraphe. Un comportement sexiste est un comportement sexiste, même si tu appelles ça un commentaire de beauf, ce qui ne correspond à rien juridiquement parlant. Profiter de son statut pour imposer des comportements sexistes a des subordonnées c'est du harcèlement. Évidemment, on ne parle pas de viol, on est d'accord, mais ça n'est pas admissible pour autant.
Je dis que même si on parle de comportements qui doivent être corrigés et bannis autant que possible, une blague de beauf n'est pas une main aux fesses et encore moins un viol. A force de traiter toutes ces choses de manière égale, on tend à banaliser le pire. Ce qui ne signifie pas qu'il ne faut rien dire sur le patron qui fait des blagues salaces à ses employées.
Bref, je disais juste ça car j'estime qu'un cap a été franchi dans la gravité des actes reprochés, vu ce qu'on apprend dans le dernier potin.
Je suis justement mal à l'aise avec ce que tu as écrit parce qu'utiliser "blague de beauf" comme qualificatif tend, selon moi, à banaliser la chose, même si j'ai bien compris que tu ne cautionne pas ce genre s'agissement. J'ai simplement exprimé mon ressenti.
Ceux qui ont eu, malheureusement, à traiter des questions de harcèlement savent que cette notion n'est pas si claire juridiquement, qu'elle fait énormément appel au ressenti des personnes et que par conséquent elle est parfois très difficile à prouver. Les employeurs le savent et choisissent parfois d'y aller tout en sachant pertinemment qu'au bout du compte il faudra faire un chèque.
C'est pas parce qu'on bloque la possibilité de commenter derrière une publication qu'on est un censeur. Rien n'empêche aux défenseurs de Romeyer de commenter, mais ailleurs, afin que leurs "idées" ne soient pas associées à P2.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:18T'as plus de femmes que de masculinistes qui le défendent en commentaires, pour le coup...Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:58Sur ces sujets il faudrait bloquer les commentaires. Entre les masculinistes qui pullulent sur les réseaux et le profil boomer des personnes sur Facebook il était presque certain que ça allait déborder. Je me range donc dans le camp de Meta.meta_42 a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55 A titre indicatif, J’insiste auprès des modos : sur Facebook les commentaires sont vraiment à vomir : a remettre en cause le timing, la validité des accusations, les “ ah ! Mais moi je l’ai croisé une fois il m’est rien arrivé “, “pourquoi elles ont pas parlé avant”, “comme par hasard ça sort que maintenant…”.
Ça donne pas une image très réelle de nos échanges et ça entache p2 je trouve…
C'est juste une autre génération qui est sur facebook.
Et au delà de la question générationnelle, Romeyer aura toujours une image positive auprès d'une catégorie de supporters, quoi qu'il fasse, malheureusement. C'est assez fascinant.
Après, je ne serai jamais pour la censure tant que le propos n'est pas légalement condamnable.
Tout à fait, c'est ce que j'essayais d'exprimer. Merci.Wert a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:24Il me semble qu'il y a ici un aspect répétitif à prendre en compte. Certaines paroles et actes isolés peuvent "encore" (et certaine non) passer pour des blagues de mauvais gouts, mais leur répétition et systématisation par personne ayant autorité que décrit l'article va bien au delà. Elle génère un climat de travail insoutenable qui relève du harcèlement (d'ou la qualification juridique d'ailleurs)Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:16Des remarques répétées et inappropriées sur le physique d'une personne, c'est du harcèlement, peu importe le ton utilisé, même si on le fait avec le sourire et que ça peut faire marrer certaines personnes.martien a écrit : ↑Aujourd’hui, 11:04Je n'ai jamais dit que c'était admissible (par contre, je ne suis pas sûr que ça rentre dans la notion juridique de harcèlement, mais qu'importe ici).Neidzabez a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:55
Je ne suis pas à l'aise avec ton dernier paragraphe. Un comportement sexiste est un comportement sexiste, même si tu appelles ça un commentaire de beauf, ce qui ne correspond à rien juridiquement parlant. Profiter de son statut pour imposer des comportements sexistes a des subordonnées c'est du harcèlement. Évidemment, on ne parle pas de viol, on est d'accord, mais ça n'est pas admissible pour autant.
Je dis que même si on parle de comportements qui doivent être corrigés et bannis autant que possible, une blague de beauf n'est pas une main aux fesses et encore moins un viol. A force de traiter toutes ces choses de manière égale, on tend à banaliser le pire. Ce qui ne signifie pas qu'il ne faut rien dire sur le patron qui fait des blagues salaces à ses employées.
Bref, je disais juste ça car j'estime qu'un cap a été franchi dans la gravité des actes reprochés, vu ce qu'on apprend dans le dernier potin.
Je suis justement mal à l'aise avec ce que tu as écrit parce qu'utiliser "blague de beauf" comme qualificatif tend, selon moi, à banaliser la chose, même si j'ai bien compris que tu ne cautionne pas ce genre s'agissement. J'ai simplement exprimé mon ressenti.
Ceux qui ont eu, malheureusement, à traiter des questions de harcèlement savent que cette notion n'est pas si claire juridiquement, qu'elle fait énormément appel au ressenti des personnes et que par conséquent elle est parfois très difficile à prouver. Les employeurs le savent et choisissent parfois d'y aller tout en sachant pertinemment qu'au bout du compte il faudra faire un chèque.