ASSE - poteaux-carres.com

StephVert a écrit : ↑10 juil. 2024, 16:34 Je viens d'apprendre un truc, opération de la clavicule, un trou dans le poumon, ne pas courir pendant 3 mois et hop tu gagnes une étape et tu peux gagner le Tour...

StephVert a écrit : ↑10 juil. 2024, 16:34 Je viens d'apprendre un truc, opération de la clavicule, un trou dans le poumon, ne pas courir pendant 3 mois et hop tu gagnes une étape et tu peux gagner le Tour...

StephVert a écrit : ↑10 juil. 2024, 16:43 Je ne comprends toujours pas pourquoi Martinez n'est pas arrêté. Et même pour une hypothétique étape, je trouve que le jeux n'en vaut pas la chandelle

NomDeStade a écrit : ↑10 juil. 2024, 16:30 Sacré duo quand même.

Mais entre celui qui n'a pas couru depuis 3 mois, se remet du graves blessures, et qui court comme à la première heure (enfin non ), et l'autre qui enchaîne les 2 grands tours et qui est encore capable de mettre le feu de partout..

ForeverGreen a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:23 Au général, plus l'écrémage se fait, et plus ça ne ressemble à rien. Derrière les 4 costauds, t'as 5 équipiers, 1 leader et 2 mecs dont les meilleurs places sur un GT sont respectivement 16ème d'un Giro (il y a 5 ans) et 22ème d'un Giro.

Avec Bilbao qui craque, malade, les coureurs à moins dans les 10' pour jouer le Top10, outre Ciccone et Gee dont j'ai rappelé le maigre pédigrée sur 3 semaines (ce sont de bons grimpeurs, mais pas des mecs en mesure de viser le Top10, normalement), ce sont Gall, Buitrago (normalement n°3 de son équipe), Healy ( ), Cras et Romo (et, allez, Mas, mais qui est désormais derrière son équipier). C'est lunaire. S. Yates est à 12'18" du Top10, Martin à 13', Meintjes à 18'19", Carapaz à 30'13", Lutsenko à 1h27'8", Gaudu à 1h27'42".

Y a intérêt à ce que Vinggo ne tue pas trop vite la lutte pour le jaune, parce que la souvent excitante lutte pour les accessits risque de ne ressembler à rien (voire ne quasiment pas exister, si Ciccone et Gee ne tiennent pas la distance et qu'il n'y a plus que des équipiers dans ces eaux-là).

Alcom a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:29

ForeverGreen a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:23 Au général, plus l'écrémage se fait, et plus ça ne ressemble à rien. Derrière les 4 costauds, t'as 5 équipiers, 1 leader et 2 mecs dont les meilleurs places sur un GT sont respectivement 16ème d'un Giro (il y a 5 ans) et 22ème d'un Giro.

Avec Bilbao qui craque, malade, les coureurs à moins dans les 10' pour jouer le Top10, outre Ciccone et Gee dont j'ai rappelé le maigre pédigrée sur 3 semaines (ce sont de bons grimpeurs, mais pas des mecs en mesure de viser le Top10, normalement), ce sont Gall, Buitrago (normalement n°3 de son équipe), Healy ( ), Cras et Romo (et, allez, Mas, mais qui est désormais derrière son équipier). C'est lunaire. S. Yates est à 12'18" du Top10, Martin à 13', Meintjes à 18'19", Carapaz à 30'13", Lutsenko à 1h27'8", Gaudu à 1h27'42".

Y a intérêt à ce que Vinggo ne tue pas trop vite la lutte pour le jaune, parce que la souvent excitante lutte pour les accessits risque de ne ressembler à rien (voire ne quasiment pas exister, si Ciccone et Gee ne tiennent pas la distance et qu'il n'y a plus que des équipiers dans ces eaux-là).

C'est ce qui arrive quand 4 équipes concentrent tous les meilleurs coureurs du circuit. Pas étonné pour ma part.
Je pensais même qu'il y aurait plus d'UAE dans le top 10.

Pote aux notes a écrit : ↑10 juil. 2024, 20:47 Pogacar niveau tactique de course c'est quand même pas ça...il à laisser des forces totalement inutile aujourd'hui alors qu'il aurait pu attaquer beaucoup plus tard ...sans parler qu'il perd une bataille psychologique sur Vingegaard.
A trop vouloir attaquer il fais la même erreur que tout les ans et il le paye toujours a un moment où un autre ...ok ça donne du spectacle...certe

ForeverGreen a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:59

Alcom a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:29

ForeverGreen a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:23 Au général, plus l'écrémage se fait, et plus ça ne ressemble à rien. Derrière les 4 costauds, t'as 5 équipiers, 1 leader et 2 mecs dont les meilleurs places sur un GT sont respectivement 16ème d'un Giro (il y a 5 ans) et 22ème d'un Giro.

Avec Bilbao qui craque, malade, les coureurs à moins dans les 10' pour jouer le Top10, outre Ciccone et Gee dont j'ai rappelé le maigre pédigrée sur 3 semaines (ce sont de bons grimpeurs, mais pas des mecs en mesure de viser le Top10, normalement), ce sont Gall, Buitrago (normalement n°3 de son équipe), Healy ( ), Cras et Romo (et, allez, Mas, mais qui est désormais derrière son équipier). C'est lunaire. S. Yates est à 12'18" du Top10, Martin à 13', Meintjes à 18'19", Carapaz à 30'13", Lutsenko à 1h27'8", Gaudu à 1h27'42".

Y a intérêt à ce que Vinggo ne tue pas trop vite la lutte pour le jaune, parce que la souvent excitante lutte pour les accessits risque de ne ressembler à rien (voire ne quasiment pas exister, si Ciccone et Gee ne tiennent pas la distance et qu'il n'y a plus que des équipiers dans ces eaux-là).

C'est ce qui arrive quand 4 équipes concentrent tous les meilleurs coureurs du circuit. Pas étonné pour ma part.
Je pensais même qu'il y aurait plus d'UAE dans le top 10.

N'empêche, des Mas, Meintjes, S. Yates, Gaudu et Carapaz étaient capables de faire Top10, d'être à la bagarre avec des Landa ou A. Yates quand ceux qui se concentrent désormais sur 4 équipes étaient dans plein d'équipes différentes. Ce qui change, déjà, c'est qu'ils sont tous alignés en même temps (et sûrement qu'ils sont mieux gérés que quand Movistar mettait 3 leaders).

C'est aussi que tous ceux qui auraient pu lutter pour le Top10 passent à côté de leur Tour. Peut-être aussi que l'impression dès le départ que le podium est inaccessible a fait lâcher la lutte pour le général à certains, mais quand on voit Yates, Mas ou Meintjes tenter de s'accrocher aussi loin, ça donne pas la sensation de gars qui se laissent décrocher parce qu'ils ne jouent rien.

Parasar a écrit : ↑10 juil. 2024, 17:44 J'ai du mal avec le Tour des Français malgré les 3 belles étapes.
Au général, mon capitaine, c'est la bérézina. Bardouille, juste pour nous faire plaisir, glisse à la 42e place. Certes il l'avait annoncé, mais j'ai l'impression qu'à force d'accepter de perdre du temps, ben il se met dans une vilaine dynamique. Aujourd'hui certes il n'allait pas gagner vu la peignée qu'ont décidé de se mettre les leaders, mais il lâche bien tôt alors que c'était SON étape. Saura-t-il jouer la gagne sur une autre belle étape ?
Et on s'aperçoit qu'il est le seul à pouvoir viser un Top 10 donc quand il ne fait plus l'effort c'est le vide absolu derrière.

Old green a écrit : ↑10 juil. 2024, 20:53 La petite phrase d Evenpoel qui d entrée en interview balance aux journalistes "Désolé pour hier soir face à l Espagne".

La c est sur on les a définitivement traumatisés ces Belges. A noter la réponse tout en subtilité du journaliste. Oh c est pas grave les espagnols ont été meilleurs ils méritent leur victoire il faut savoir être fait play. Belle leçon de flegme et d humilité

Michel-Ange a écrit : ↑10 juil. 2024, 23:02

Old green a écrit : ↑10 juil. 2024, 20:53 La petite phrase d Evenpoel qui d entrée en interview balance aux journalistes "Désolé pour hier soir face à l Espagne".

La c est sur on les a définitivement traumatisés ces Belges. A noter la réponse tout en subtilité du journaliste. Oh c est pas grave les espagnols ont été meilleurs ils méritent leur victoire il faut savoir être fait play. Belle leçon de flegme et d humilité

Il faut savoir que Remco a d'abord tenté une carrière dans le foot, il a même joué en équipe nationale (Belgique, donc) en U16.

NomDeStade a écrit : ↑10 juil. 2024, 21:18

ForeverGreen a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:59

Alcom a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:29

ForeverGreen a écrit : ↑10 juil. 2024, 18:23 Au général, plus l'écrémage se fait, et plus ça ne ressemble à rien. Derrière les 4 costauds, t'as 5 équipiers, 1 leader et 2 mecs dont les meilleurs places sur un GT sont respectivement 16ème d'un Giro (il y a 5 ans) et 22ème d'un Giro.

Avec Bilbao qui craque, malade, les coureurs à moins dans les 10' pour jouer le Top10, outre Ciccone et Gee dont j'ai rappelé le maigre pédigrée sur 3 semaines (ce sont de bons grimpeurs, mais pas des mecs en mesure de viser le Top10, normalement), ce sont Gall, Buitrago (normalement n°3 de son équipe), Healy ( ), Cras et Romo (et, allez, Mas, mais qui est désormais derrière son équipier). C'est lunaire. S. Yates est à 12'18" du Top10, Martin à 13', Meintjes à 18'19", Carapaz à 30'13", Lutsenko à 1h27'8", Gaudu à 1h27'42".

Y a intérêt à ce que Vinggo ne tue pas trop vite la lutte pour le jaune, parce que la souvent excitante lutte pour les accessits risque de ne ressembler à rien (voire ne quasiment pas exister, si Ciccone et Gee ne tiennent pas la distance et qu'il n'y a plus que des équipiers dans ces eaux-là).

C'est ce qui arrive quand 4 équipes concentrent tous les meilleurs coureurs du circuit. Pas étonné pour ma part.
Je pensais même qu'il y aurait plus d'UAE dans le top 10.

N'empêche, des Mas, Meintjes, S. Yates, Gaudu et Carapaz étaient capables de faire Top10, d'être à la bagarre avec des Landa ou A. Yates quand ceux qui se concentrent désormais sur 4 équipes étaient dans plein d'équipes différentes. Ce qui change, déjà, c'est qu'ils sont tous alignés en même temps (et sûrement qu'ils sont mieux gérés que quand Movistar mettait 3 leaders).

C'est aussi que tous ceux qui auraient pu lutter pour le Top10 passent à côté de leur Tour. Peut-être aussi que l'impression dès le départ que le podium est inaccessible a fait lâcher la lutte pour le général à certains, mais quand on voit Yates, Mas ou Meintjes tenter de s'accrocher aussi loin, ça donne pas la sensation de gars qui se laissent décrocher parce qu'ils ne jouent rien.

Après il y a quand même 2 phénomènes qui explosent tout aussi. Si tu les enleves, le classement serait bien plus resserré globalement.

ForeverGreen a écrit : ↑09 juil. 2024, 12:47

Parasar a écrit : ↑09 juil. 2024, 11:50 Vendredi, ils auront couru 13 étapes, dont 1 vraie de montagne (Galibier) et deux pour baroudeurs / grimpeurs (celle de demain et celle du 1er jour), mais 7 de plat, + le contre la montre + les deux "accidentées", celle du premier dimanche et les chemins blancs.
Je maintiens que c'est un peu trop plat à mon goût.

L'année du premier Tour que j'ai suivi, en 2004, c'est pas si loin, les 12 premiers jours de course, c'est 1 prologue, 1 CLM par équipe, 8 étapes de plat (dont 6 terminées au sprint, 2 remportées par l'échappée, dont la pourtant très favorable au peloton étape de Chartres où Voeckler prend le jaune), 2 étapes accidentées (et encore, je suis gentil, l'étape 11, c'est un 2ème catégorie à 65 km de l'arrivée et un 4ème catégorie à 15 km de la fin).

En vrai, je serai curieux de connaître l'ascension cumulée sur les 12 premiers jours de course respectifs mais je suis prêt à parier qu'on dépasse largement le double 20 ans plus tard.