Re: GEOFFROY GUICHARD II : arrêtez les!
Publié : 11 nov. 2009, 09:26
Lu ce matin dans L'Alsace :
Euro 2016 : Strasbourg va être fixé aujourd’hui
Le conseil fédéral de la Fédération Française de Football annoncera cet après-midi le nom des 12 villes retenues pour la candidature de la France à l’organisation de l’Euro 2016. Le dossier strasbourgeois, porté par la ville et la CUS, a de fortes chances de se faire une place au soleil.
Le suspense va prendre fin aujourd’hui à partir de 16 h. Après les désistements de Nantes en septembre, de Rennes dernièrement et du stade des Hauts-de-Seine à Colombes, abandonné en début de semaine par la FFF qui juge le dossier non conforme au cahier des charges de l’UEFA, l’étau se resserre sérieusement. Par la force des choses, le conseil fédéral désignera les 12 villes de la candidature française parmi les 14 toujours en lice (1) sans, pour le moment, faire la distinction entre les 9 titulaires et les 3 remplaçants. La capitale alsacienne possède donc toutes les chances d’être retenue lors de ce premier écrémage, ce qu’espère Serge Oehler, adjoint aux sports de la ville de Strasbourg. « Je n’imagine pas une seconde que nous ne soyons pas choisis. Surtout que Strasbourg est la seule ville qui a organisé des événements avec le grand public pour faire connaitre sa candidature. Nous avons d’ailleurs rencontré une forte adhésion des citoyens, ce qui a été fortement apprécié par la fédération. »
Depuis l’échec d’Hammerson et de son projet Eurostadium, la transformation du stade de la Meinau, qui verra sa capacité d’accueil portée à 36 000 places assises - contre 29 000 actuellement - pour un coût évalué à 160 millions d’euros, est la pierre centrale de la candidature alsacienne. « Nous avons un bon dossier stade et notre réflexion porte sur la durée. On veut faire de la Meinau un lieu de vie qui sera utilisé ensuite pour d’autres manifestations que les matches du Racing. En plus, le stade est très proche du centre ville, il y a une grande facilité d’accès avec notamment un tram déjà en fonction, ce sont des atouts assez importants », poursuit Serge Oehler.
La capitale de l’Europe, forte de son image et de sa place au centre de l’Europe, a mis en avant tous ses atouts comme le précise encore l’adjoint aux sports : « Nous possédons toutes les infrastructures pour accueillir et réussir une épreuve de cette envergure. Hôtellerie, commerces, restauration, dessertes aériennes, ferroviaires et routières. »
« Tu sais Albert, tu peux toujours compter sur moi »
Ce que confirme avec son enthousiasme habituel, Albert Gemmrich, le président de la Ligue d’Alsace de Football : « Tout le monde en Alsace fait son maximum pour faire partie des villes pour l’Euro 2016. Après avoir raté la Coupe du Monde en 1998, ça serait désolant de ne pas être présent. La LAFA s’est également engagée auprès de la ville et de la CUS en communiquant à travers son site internet. J’ai eu Michel Platini (le président de l’UEFA) au téléphone en fin de semaine dernière à qui j’ai demandé si je pouvais compter sur lui. Il a marqué un temps d’arrêt et il m’a dit : tu sais Albert, tu peux toujours compter sur moi. » Le dossier de candidature français devra être remis à l’UEFA le 15 février prochain. La FFF ne devra pas se tromper dans ses choix car avec la concurrence de l’Italie, de la Turquie et du duo Norvège-Suède, la lutte promet d’être rude jusqu’à la décision finale le 27 mai 2010.
Olivier Arnal
(1) Strasbourg, Nancy, Metz, Montpellier, Nice, Marseille, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Toulouse, Bordeaux, Paris (Parc des Princes) et Saint-Denis (Stade de France).
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Euro 2016 : Strasbourg va être fixé aujourd’hui
Le conseil fédéral de la Fédération Française de Football annoncera cet après-midi le nom des 12 villes retenues pour la candidature de la France à l’organisation de l’Euro 2016. Le dossier strasbourgeois, porté par la ville et la CUS, a de fortes chances de se faire une place au soleil.
Le suspense va prendre fin aujourd’hui à partir de 16 h. Après les désistements de Nantes en septembre, de Rennes dernièrement et du stade des Hauts-de-Seine à Colombes, abandonné en début de semaine par la FFF qui juge le dossier non conforme au cahier des charges de l’UEFA, l’étau se resserre sérieusement. Par la force des choses, le conseil fédéral désignera les 12 villes de la candidature française parmi les 14 toujours en lice (1) sans, pour le moment, faire la distinction entre les 9 titulaires et les 3 remplaçants. La capitale alsacienne possède donc toutes les chances d’être retenue lors de ce premier écrémage, ce qu’espère Serge Oehler, adjoint aux sports de la ville de Strasbourg. « Je n’imagine pas une seconde que nous ne soyons pas choisis. Surtout que Strasbourg est la seule ville qui a organisé des événements avec le grand public pour faire connaitre sa candidature. Nous avons d’ailleurs rencontré une forte adhésion des citoyens, ce qui a été fortement apprécié par la fédération. »
Depuis l’échec d’Hammerson et de son projet Eurostadium, la transformation du stade de la Meinau, qui verra sa capacité d’accueil portée à 36 000 places assises - contre 29 000 actuellement - pour un coût évalué à 160 millions d’euros, est la pierre centrale de la candidature alsacienne. « Nous avons un bon dossier stade et notre réflexion porte sur la durée. On veut faire de la Meinau un lieu de vie qui sera utilisé ensuite pour d’autres manifestations que les matches du Racing. En plus, le stade est très proche du centre ville, il y a une grande facilité d’accès avec notamment un tram déjà en fonction, ce sont des atouts assez importants », poursuit Serge Oehler.
La capitale de l’Europe, forte de son image et de sa place au centre de l’Europe, a mis en avant tous ses atouts comme le précise encore l’adjoint aux sports : « Nous possédons toutes les infrastructures pour accueillir et réussir une épreuve de cette envergure. Hôtellerie, commerces, restauration, dessertes aériennes, ferroviaires et routières. »
« Tu sais Albert, tu peux toujours compter sur moi »
Ce que confirme avec son enthousiasme habituel, Albert Gemmrich, le président de la Ligue d’Alsace de Football : « Tout le monde en Alsace fait son maximum pour faire partie des villes pour l’Euro 2016. Après avoir raté la Coupe du Monde en 1998, ça serait désolant de ne pas être présent. La LAFA s’est également engagée auprès de la ville et de la CUS en communiquant à travers son site internet. J’ai eu Michel Platini (le président de l’UEFA) au téléphone en fin de semaine dernière à qui j’ai demandé si je pouvais compter sur lui. Il a marqué un temps d’arrêt et il m’a dit : tu sais Albert, tu peux toujours compter sur moi. » Le dossier de candidature français devra être remis à l’UEFA le 15 février prochain. La FFF ne devra pas se tromper dans ses choix car avec la concurrence de l’Italie, de la Turquie et du duo Norvège-Suède, la lutte promet d’être rude jusqu’à la décision finale le 27 mai 2010.
Olivier Arnal
(1) Strasbourg, Nancy, Metz, Montpellier, Nice, Marseille, Saint-Etienne, Lyon, Lille, Lens, Toulouse, Bordeaux, Paris (Parc des Princes) et Saint-Denis (Stade de France).
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