La différence entre l’Espagne et l’Italie réside, selon moi, dans l’existence en Espagne d’une culture tactique forte, structurée par la formation et nourrie par une société ouverte.Palmeiras a écrit : ↑17 nov. 2025, 22:08Intéressant.
Après, oui, c'est surprenant que ce grand pays de football quasiment aussi peuplé et aussi riche que nous, galère autant. L'évolution du football leur a fait mal quand meme...
Arrigo Sacchi disait il y a 20 ans, que l'Italie n'avait plus attaqué depuis l'empire romain en gros...apres, dans leur histoire, ils n'avaient fait que se défendre. Bon ca emprunté des raccourcis et l'analogie historique nest pas forcément raison...mais j'avais trouvé cela drôle et dans la culture footballistique par contre, l'Italie cetait d'abord une zquipe très forte en défense. Aujourd'hui l'évolution d'un jeu et des joueurs donnent la prime au jeu offensif , bien plus qu'avant...
Après, quand on compare avec l'Espagne, cest l'inverse. L'Espagne est incroyable car ils arrivent mettre en place un jeu collectif assez fou régulièrement alors que politiquement, on est sur un pays beaucoup plus chamboulé politiquement, dans sa cohésion interne (opposition catalogne Espagne na pas d'équivalent en France ou en Italie par exemple).
Pourquoi l'Italie n'arrive-t-elle pas à recomposer un collectif avec identité de jeu propre...
Les barrages sont pas gagnés pour eux...
Y a qui en plus de l'Irlande ?
Le paradoxe c'est que l'a sélection espagnole capitalise la formation et la culture tactique du Barça. Il n'y a pas un équivalent en Italie. Elle est la matrice de la sélection. Elle imprègne la formation dans d'autres clubs.
Je pense que l'Espagne évolue aussi davantage que l'Italie. C'est une société plus ouverte. Des jeunes comme Nico ou Lamine Yamal apportent des qualités de vitesse et de percussion qui viennent encore renforcer cet identité tactique. C'est au fond ce qui a permis à l'Espagne de sortir du Tiki Taka pour exploiter davantage la vitesse des joueurs de couloir et leurs qualités de percussion.

