Un film à voir ?................ou à éviter

[riflebird]

Tu mets Nebraska si haut ? J'y étais allé avec beaucoup d'espoir, et puis j'en étais ressorti en me disant que même le ciné indé américain finissait par tourner en rond...

Faudrait que je fasse une rétrospective, mais parmi ceux que tu ne cites pas, Mommy et Boyhood ont une petite place à se faire

Malgré les bonnes critiques, je n'ai pas du tout accroché sur Mommy.
Étant dans l'exploitation je vois beaucoup de films mais j'ai raté Boyhood...
Quant à Nebraska j'ai vraiment eu un coup cœur et ça m'a rappelé des souvenirs.
Bon après les classements de ce genre c'est plus qu'aléatoire et cette année je reste un peu sur ma faim. Ce qui est sur, à mon humble avis, c'est que c'est l'année Matthew McConaughey. Entre les 2 films au top de ma liste et true detective, il a vraiment casser la baraque.

[Ulysse42]

Mon top 3 serais :
1 The Grand Budapest Hotel
2 Dallas Buyers Club
3 12 years a slave

Mais je n'ai pas été au cinéma beaucoup non plus, dans mes à voir, il y a Boyhood et Birdman

[gavroche]

A évitez absolument "Cours sans te retourner", c'est le conseil à donner aux cinéphiles qui veulent éviter les sempiternelles jérémiades tribales qui visent à enfoncer dans vos crânes de piafs que, shouina oblige, vous devez accepter le peuple élu comme le peuple de l'avant-garde (propos de Manuel le chimique, éternellement attaché à Israël, quand même ! quand même !) comme la caste oligarchique qui vous mène vers le glorieux capitalisme mondialisé triomphant et le grand Israël dominant tous les méchants terroristes qu'il aura contribué à financer en sous-main. Dormez-bien goyim.

[thieu-thieu]

Dragons
Dragons 2
Equalizer

[Alcom]

Arte diffuse Les Enfants Loups, Ame & Yuki ce soir à 20h50.



Film d'animation bien sympathique que j'avais vu au cinéma à sa sortie (2012).
Il prend les thèmes souvent repris dans le style japonais, mélant ainsi culture japonaise, écologie et thème de société dans mes souvenirs. J'avais passé un bon moment.

[Friteuse]

Vu Hunger Games 3 (partie 1).
Malgré une salle pitoyable, des gamins pénibles derrière et un mauvais pressentiment vu que j'avais déjà eu du mal avec le livre, c'est clairement un très bon film. Je pourrai difficilement raconter plus sans spoiler, mais les acteurs sont convaincants (surtout Philip Seymour Hoffman) et le film faisait un joli écho à un cours d'histoire de ce matin sur les totalitarismes.
À voir donc.

[TitusPullo77]

Vu Hunger Games 3 (partie 1).
Malgré une salle pitoyable, des gamins pénibles derrière et un mauvais pressentiment vu que j'avais déjà eu du mal avec le livre, c'est clairement un très bon film. Je pourrai difficilement raconter plus sans spoiler, mais les acteurs sont convaincants (surtout Philip Seymour Hoffman) et le film faisait un joli écho à un cours d'histoire de ce matin sur les totalitarismes.
À voir donc.

+1
Par contre, tu as beau le savoir, que c'est gonflant un film sans fin

[Friteuse]

Vu Hunger Games 3 (partie 1).
Malgré une salle pitoyable, des gamins pénibles derrière et un mauvais pressentiment vu que j'avais déjà eu du mal avec le livre, c'est clairement un très bon film. Je pourrai difficilement raconter plus sans spoiler, mais les acteurs sont convaincants (surtout Philip Seymour Hoffman) et le film faisait un joli écho à un cours d'histoire de ce matin sur les totalitarismes.
À voir donc.

+1
Par contre, tu as beau le savoir, que c'est gonflant un film sans fin

Marketing, tout ça... Mais au final, est-ce qu'on peut vraiment la reprocher à un film très gros budget dont c'est l'essence, quand tout le reste (et pas seulement les performances graphiques) est assuré parfaitement ?
D'autant plus que contrairement à Harry Potter ou Divergente dont le morcellement me laisse présager le pire, je doute qu'on puisse résumer le tome 3 en moins de 3h (surtout dans les fauteuils pourris du Royal), durée à partir de laquelle le public ne tient plus, et reconstituer son atmosphère comme c'est le cas dans le film.

[___]

Pas une année exceptionnelle de ciné pour ma part, moins de séances, beaucoup de films ratés et quelques déceptions. Une impression assez nette de début d’année meilleure que de fin d’année. Peut-être qu'à force, je deviens trop exigeant et je m'emballe moins.

Plutôt que de faire un classement habituel où tu ne sais pas pourquoi tu mets l’un au dessus de l’autre, un regroupement par catégories plus ou moins fournies avec classement alphabétique.


Catégorie « Best Of » : ceux qui resteront, ma bonne dame
Boyhood
Dallas Buyers Club
Mommy
Only Lovers Felt Alive


Catégorie « Pas à se taper le cul par terre, mais quand même ». Là aussi, de l’éclectique. Steve McQueen m’a plus convaincu avec ses précédents films que celui-ci.
Ida
Des chevaux et des hommes
My Sweet Pepperland
Philomena
Sils Maria
Tom à la ferme
Twelve years a slave
La vie rêvée de Walter Mitty


Catégorie « Comme un air de déjà vu, mais c’est pas grave parce que c’est bon ».
The Grand Budapest Hotel
Magic in the Moonlight

Ben ouais, Woody Allen et Wes Anderson ne se renouvellent pas beaucoup, mais ça serait dommage de s’en priver. Xavier Dolan échappe à ça grâce à Tom à la Ferme, atypique, et au fait que je suis trop jaloux de ce que ce mec fait à son âge le salaud.


Catégorie « film français » : Une ribambelle de films français de bonne facture cette année, dans de la comédie plus ou moins loufoque et/ou sentimentale, de l’adaptation de théâtre et de BD, et de l’expérimental. Et même un film d’animation musical. Exception culturelle française, t’as de bons côtés. Cocorico.
Bird People
Diplomatie
Jack et la mécanique du cœur
Lulu femme nue
Les Grandes Ondes
Near Death Experience
Pas son genre
La ritournelle
Tristesse Club


Catégorie « C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures sauces »
Playtime
La main au collet
Wake On Fright

C’est un plaisir, parfois, que de revoir de vieux films dans une salle. Puis tu fais des rencontres, y avait Catherine Deneuve dans la salle quand je suis allé voir Wake in Fright , dont je recommande le bouquin d’origine au passage (Kenneth Cook, « Cinq matins de trop » en VF)

[riflebird]

Un peu HS mais bon...c'est important à mes yeux.


L'affaire "Interview" qui secoue le monde du cinéma outre atlantique.

Rappel des faits:

Rogen-Franco, duo bien connu des amateurs de comédies déjantées (et dont je suis grand fan) font un film pour Sony Pictures dans lequel 2 journalistes americains sont commandités par la CIA pour assassiner le leader nord-coréen Kim-Jong-Un.
Un mois avant avant sa sortie américaine prévue pour Noël Sony est victime d'un hacking sans précédent (vol de programmes, emails, données personnelles etc...) qui serait l'œuvre de "cyber-warriors" nord-coréens.
La semaine dernière, ces mêmes hackers, menacent les exploitants qui programmeraient ce film et leur spectateurs.
Une puis deux compagnies américaines annoncent leur refus de le projeter et finalement Sony annule sa sortie en salles et sur les plateformes VOD.
Hollywood et l'Amérique s'émeuvent devant la capitulation du géant japonais.


Questions et répercussions:

En 1940, Chaplin sort "le Dictateur" un chef d'œuvre de comédie qui moque Hitler et Mussolini, au pouvoir dans leur pays respectifs et qui plongent l'Europe dans l'abîme. Bien sur "l'interview qui tue" ne boxe pas dans la même catégorie, il parait même que c'est assez mauvais mais peu importe, Chaplin aurait il pu sortir son film aujourd'hui? Probablement non
A t'on le droit de se foutre de la gueule de gens susceptibles?
Oui mais faut faire gaffe. En 40, Hitler ne pouvait rien contre Chaplin, aujourd'hui avec la globalisation, la "technologisation" on peut, à distance, voler, vandaliser et au final paralyser des personnes physiques ou morales. C'est une atteinte intolérable à la liberté d'expression et à la liberté tout court...et ce n'est que le début.
La "cyber-guerre" est et sera de plus en plus importante dans nos vies du niveau personnel jusqu'à celui des États en passant par les entreprises. C'est un effet pervers de la "technologisation" qui pourtant nous offre tant de bénédictions comme l'accès au savoir immédiat ou P² par exemple...
Il faut s'y préparer et lutter pour être libre comme on a lutter physiquement contre ceux qui voulaient nous asservir.

Pour revenir à "l'interview", je comprends la réaction des exploitants, étant moi même à mon humble niveau dans la partie.
Le cinéma est aujourd'hui entièrement digitalisé, je ne courrais pas le risque de voir mon business paralysé par des hackers sans visages. La menace est beaucoup plus dangereuse que les problèmes de sécurité qu'on peut rencontrer habituellement dans notre industrie qui a pourtant vocation d'apporter des émotions aux gens de façon simple, pas chère et conviviale.

Soutien aux exploitants américains qui ont pris une décision difficile en responsabilité par rapport à leurs spectateurs, personnels et actionnaires.

Cartons jaunes à ceux qui balancent leur opinion dans les médias et réseaux sociaux sans réfléchir à ces responsabilités. Même si sur le fond, ils ont très certainement raison.

Carton jaune à Sony pour avoir sous estimer l'impact du projet sur les nord-coréens.

En espérant que la situation ne s'envenime pas et que le peuple du dictateur ne paye pas, au final, les pots cassés de cette triste affaire.

[___]

Plus tu t'appuies sur une infrastructure technique importante, plus tu dépends d'elle, et plus tu es vulnérable. C'est le revers de la médaille. Il y a un roman excellent qui décrit ça, c'est Ravage de Barjavel. Un jour, l'électricité disparait, et c'est le chaos. Alors que nos ancêtres "attardés" survivaient très bien sans...

Avec Internet et l'informatique, c'est pareil. On est dépendants à Internet, ce qui nous rend totalement vulnérables de ce côté-là. Là, tu parles de l'exploitation de films... Ca ne changera pas la face du monde. Mais imaginons qu'il s'agisse des serveurs du ministère de la défense de je ne sais quel pays possédant la bombe !

D'ailleurs, juste pour dire : "technologie" (et "technologisation" par conséquent ), ça ne veut pas dire grand chose, en dehors de "discours sur la technique". Le mot technologie serait approprié pour désigner une science dont l'objet serait l'étude des phénomènes techniques ; il ne l'est pas pour appréhender la technique en elle-même.
Ce qui est d'ailleurs assez révélateur sur le fait que la technique et son progrès sont des mythes, peut-être les derniers qui tiennent dans nos sociétés. D'où la crispation et l'opacité de ses choses considérées comme naturelles, et dont le moindre critique, même modéré, est taxé de vouloir revenir à la caverne...

[Timick]

Dans l'affaire du film "Interview", au vu des premières images, je pense plutôt que ce sont des hackers cinéphiles qui se sont dits qu'il fallait faire quelque chose et qu'on ne pouvait décemment pas laisser sortir un tel navet.

[Tylith]

C'est vrai que le Dictateur n'a eu aucune difficulté à sortir à l'époque et que ,outre le régime nazi, les états unis et hollywood n'ont pas du tout tout fait pour qu'il ne voit jamais le jour.

Sinon la scène de l'interview ou le dictateur est assassiné tourne déjà sur internet. J'aimerais quand même que Seth Rogen qui a écrit quelques très bon scénarios de films comiques ne se transforme pas en un vulgaire Harold et Kumar.

[Ulysse42]

Ça y'est j'ai vu Boyhood et cela a été pour moi une grosse déception. Le concept est très sympa et les acteurs jouent bien, mais faire un film de 3h sur la vie d'un gosse à qui il n'arrive rien, comment dire, c'est assez vite chiant. J'ai eu l'impression de regarder un espèce de loft story version longue, où tu regardes des gens vivre leur vie somme toute assez banale. Ça m'a rappelé un peu A Serious Man des frères Cohen, où je n'avais pas accroché du tout non plus.

[secret funds]

L'interview qui tue est vraiment drôle. Sa scène d'ouverture suivie du plateau télé avec un rappeur blanc bien connu mettent les zygomatiques au travail et c'est parti pour 1h50 de grand n'importe quoi.

Vive le streaming libre!!

[Friteuse]

Vu Bilbo le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées il y a quelques jours.
Honnêtement, qu'est-ce qu'on peut dire sur ce film ? C'est un très bon blockbuster qui respecte bien le roman, mais j'ai pas l'impression qu'on puisse en dire plus. C'est très bien, mais c'est exactement ce à quoi je m'attendais et j'ai donc été un peu déçu : contrairement à Hunger Games 3 par exemple, qui a presque sû me donner l'impression de se construire une histoire propre et une ambiance propre.

[Ulysse42]

Vu récemment Bitter Moon, de Polanski, film très bien conduit, sur l'amour destructeur, même si j'ai toujours eu un peu de mal avec Emmanuelle Seigner. Kiss Kiss Bang Bang, aux dialogues savoureux et à l'histoire déjanté qui est vraiment très drôle. Et surtout, Crazy Heart, histoire d'une vieille légende de country music aux USA joué par l'excellentissime Jeff Bridges au sommet de son art

[Sorbiers]

Surtout ne pas oublier dans vos palmarès 2014 Whiplash.
Un rythme de folie pour ce film stressant à souhait et hyper prenant.
Chef d’œuvre!!!

[Friteuse]

Vu Cold in July.
45 excellentes premières minutes, un très bon thriller policier porté par Michael C. Hall. Mais au fil du film on a tendance à décrocher un peu, l'ambiance reste prenante mais l'histoire fait un peu n'importe quoi, le film paraît un peu long.
Ça reste bon, mais c'est dommage que l'histoire parte à ce point dans le décor. Ça aurait pu être un très bon film.

[VerttreV]

Encore 2-3 films à voir pour clôturer cette année 2014 et de délivrer les bons (et mauvais) points.
Et déjà s'avancent quelques films prometteurs et alléchants sur janvier 2015.

Mais avant tout ça, petite mise à jour sur le dernier trimestre 2014 avec avis très succincts :

Geronimo de Tony Gatlif : pas si mal cette histoire de Roméo et Juliette tournée à Sainté entre 2 communautés rivales (turque et gitane), avec Céline Sallette en arbitre/assistante sociale, mais pas totalement embarqué.

Mommy de Xavier Dolan : la critique enthousiaste m'a décidé à aller le voir, mais je ne peux pas dire que j'ai été aussi emballé. J'ai trouvé le film parfois touchant (notamment grâce à l'interprétation de Antoine-Olivier Pilon, même si j'ai aussi été parfois agacé), mais globalement j'ai trouvé le trait trop appuyé et le film trop dans l'outrance.

Gone girl de David Fincher : mouais. Beaucoup de longueurs et malgré la bonne facture globale du film, je n'ai pas trouvé l'intrigue très captivante. Malgré Ben Affleck et Rosamund Pike, plutôt bons. Pas mal mais je m'attendais à mieux. Beaucoup mieux.

Quand vient la nuit de Michael R. Roskam avec Tom Hardy, Noomi Rapace, James Gandolfini, Matthias Schoenaerts : malgré une distribution alléchante, le film ne décolle jamais vraiment. Une petite histoire baignant dans l'univers de petits truands. Manque d'envergure et de souffle.

'71 de Yann Demange avec Jack O'Connell notamment : film coup de poing, réalisation impeccable, film prenant et dur, violent et désenchanté. Bien.

Interstellar de Christopher Nolan avec Matthew McConaughey, Anne Hataway, Jessica Chastain, ... : j'y suis allé pour McConaughey et Chastain, mais voilà ils n'ont pas suffit. Très long, très confus, et assez chiant en fait. J'aurais su, j'aurais pas venu.

La French de Cédric Jimenez avec Jean Dujardin, Gilles Lellouche, Céline Sallette, etc... : Bonne réalisation (avec clins d'oeil à Scorsese ou Mann), bonne interprétation (notamment des 2 têtes d'affiche), bonne reconstitution, l'histoire se suit sans ennui, sans temps mort. Manque un petit "truc" peut-être, mais bien.

Timbuktu de Abderrahmane Sissako avec Ibrahim Ahmed dit Pino, Abel Jafri, Fatoumata Diawara, ... : plaidoyer contre l'absurdité de l'extrémisme religieux (et ses arrangements, et ses contradictions), entre scènes cocasses et poignantes. Parfois la poésie surgit (magnifique scène de jeu sans ballon), parfois c'est la violence insupportable qui éclabousse l'écran. Nécessaire mais exigeant.

Le Hobbit, la bataille des cinq armées de Peter Jackson : dernier volet de la trilogie. Volet essentiellement belliqueux, bien fait rien à dire, mais ça manque un peu d'émotion. Belle interprétation de Richard Armitage (aka Christophe Galtier) et Martin Freeman notamment.
Jolie scène finale avec la boucle bouclée.
ps : voir Legolas se pavaner dans les 2 derniers volets de cette trilogie, ça laisse quand même songeur...

[Danish]

J'ai vu "Malavita" de luc Besson hier
Vraiment pas mon truc ce genre de film. Et quelle image de la France ca donne

[dimi]

J'ai vu "Malavita" de luc Besson hier
Vraiment pas mon truc ce genre de film. Et quelle image de la France ca donne

malavita c'est le film avec deniro, en mafiosi qui se planque en france?

si c'est celui là , c'est bien moyen, je savais pas que c'est besson qui a fait ce film

[Danish]

J'ai vu "Malavita" de luc Besson hier
Vraiment pas mon truc ce genre de film. Et quelle image de la France ca donne

malavita c'est le film avec deniro, en mafiosi qui se planque en france?

si c'est celui là , c'est bien moyen, je savais pas que c'est besson qui a fait ce film

Oui c'est bien celui-là. Du sous-Besson en effet.

[dav78]

En même temps, Besson depuis l'époque Grand bleu, c'est devenu un peu beaucoup de la merde.
Depuis qu'il a monté EuropaCorp en fait.

[Friteuse]

J'ai vu "Malavita" de luc Besson hier
Vraiment pas mon truc ce genre de film. Et quelle image de la France ca donne

malavita c'est le film avec deniro, en mafiosi qui se planque en france?

si c'est celui là , c'est bien moyen, je savais pas que c'est besson qui a fait ce film

Oui c'est bien celui-là. Du sous-Besson en effet.

J'ai pas envie de juger Besson en lui-même (sur lequel il est devenu courant de taper) mais perso j'ai beaucoup apprécié ce film. Je le trouve assez fidèle à l'esprit du livre, De Niro est très bon et contrairement à vous j'ai trouvé assez vraie la façon, certes caricaturale, dont les français sont dépeints, notamment pour la scène du barbecue.