Claude Puel
Êtes-vous satisfait ou frustré après ce match nul ?
À chaud, je dirais qu'on repart frustrés parce que j'ai la sensation qu'on aurait pu prendre 3 points avec plus de conviction et de meilleurs déplacements. On a eu énormément de possibilités en première période, en réussissant à jouer dans le dos de cette équipe dijonnaise. Avec plus de technique et de maîtrise dans le dernier geste, on doit tuer le match. En seconde période, on a poussé et leur gardien détourne même un ballon sur le poteau après un très beau mouvement collectif. En tout cas, on a réalisé un match solide, bien structuré, en défendant ensemble.
Justement votre équipe n'a pas encaissé de but.
Il n'y a pas de secret. Quand on ne recule pas et qu'on resserre les lignes, on empêche l'adversaire de développer son jeu et on récupère plus de ballons. Notre équipe a été difficile à jouer, comme face à Lille. L'état d'esprit est là. Il manque encore de la justesse, du relâchement et de l'agressivité pour marquer. On doit passer des paliers.
Il faut tenter. Il n'y a pas de questions à se poser dans les vingt derniers mètres. On a de quoi ouvrir la marque.
C'est-à-dire ?
Il faut tenter. Il n'y a pas de questions à se poser dans les vingt derniers mètres. On a de quoi ouvrir la marque. Hélas, on n'est pas assez attaquants dans nos déplacements. Sur nos centres, on doit jaillir et ne pas attendre que le ballon arrive dans les pieds ou sur la tête.
Ce deuxième match consécutif sans défaite va-t-il encore redonner plus de confiance à votre groupe ?
La confiance se construit petit à petit. C'était important d'aborder ce match en étant acteurs. On l'avait déjà été contre Lille. Aujourd'hui, on s'est encore montrés volontaires et déterminés. Il faut aborder les quatre derniers matches de l'année 2020 en restant dans cette lignée.
L'arbitre vous a semble-t-il privé d'un penalty après une charge sur Denis Bouanga dans la surface. C'est aussi votre avis?
Je n'ai pas revu le ralenti, mais Denis (Bouanga) prend une grosse béquille et ne peut pas jouer le ballon. Chacun jugera, je ne veux pas épiloguer sur cette action.
Source ASSE.FR
Conférence de presse après Auxerre - ASSE
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Re: Conférence de presse d'après match ASSE - Angers
Claude Puel
Quelle analyse faîtes-vous de cette rencontre ?
Je considère qu’on méritait les trois points. Jessy (Moulin) nous a maintenus dans le match sur leurs occasions. En face, leur gardien a effectué davantage d’arrêts. En première mi-temps, j’étais satisfait, surtout face à une équipe bien organisée et très difficile à affronter. Il fallait faire le jeu pour annihiler leurs contres. Malgré tout, on a eu des opportunités en première mi-temps. On les a gâchées par précipitation. En deuxième mi-temps, j’ai demandé à mes joueurs d’éviter leurs transitions et d’être plus relâchés dans les zones de finition. C’était mieux mais on n’a pas eu la réussite escomptée.
Ce troisième match consécutif sans défaite vous fait-il penser que vous êtes sur la bonne voie ?
On est déçus car ce n’est qu’un point à domicile. Mais, on a été présents et acteurs. Mon équipe bataille et donne tout. C'est avec l’état d’esprit affiché ce soir qu'on sortira la tête de l'eau. C’est bien de voir des joueurs entrer et se procurer des occasions. L’état d’esprit et la mentalité sont bons.
Malheureusement, la victoire vous échappe encore.
Il nous manque des points. Le bilan n’est pas suffisant. On se met dans une situation où on veut forcer la décision. Parfois maladroitement. Contre Dijon, on n’a pas assez frappé au but mais on était bien présents. Ce soir, on a beaucoup plus entrepris. La confiance, il faut aller chercher, et on y arrivera avec ce caractère-là. Et, dans le jeu, il faut être capable de faire des différences. Dijon et Angers forment deux gros blocs qui veulent contrer. Tant qu’on n’arrive pas à forcer la décision, on peut prendre des contres. Dans la difficulté, on a répondu présent mais on est déçus car on ne prend pas les trois points.
Comment y remédier, notamment offensivement ?
En affichant cette volonté, cette envie de jouer encore plus juste car on est capable de faire bien mieux. On est solides car tout le monde participe. Il manque le dernier étage de la fusée : être capable de valider l’état d’esprit avec des buts. Il faut insister car on est dans la bonne démarche. On était crispés en première mi-temps alors qu’on avait des opportunités. Je nous ai sentis mieux en deuxième, avec des frappes d’Yvan Neyou ou Maxence Rivera. On était également présents sur les phases arrêtées, comme sur l’occasion de Timothée Kolodziejczak. La réussite va tourner. À la condition de garder le même état d’esprit. J’ai trouvé notre banc très présent. Les entrants ont apporté de la spontanéité et pris des initiatives. On va aller chercher les points qui nous manquent.
ASSE.FR
Quelle analyse faîtes-vous de cette rencontre ?
Je considère qu’on méritait les trois points. Jessy (Moulin) nous a maintenus dans le match sur leurs occasions. En face, leur gardien a effectué davantage d’arrêts. En première mi-temps, j’étais satisfait, surtout face à une équipe bien organisée et très difficile à affronter. Il fallait faire le jeu pour annihiler leurs contres. Malgré tout, on a eu des opportunités en première mi-temps. On les a gâchées par précipitation. En deuxième mi-temps, j’ai demandé à mes joueurs d’éviter leurs transitions et d’être plus relâchés dans les zones de finition. C’était mieux mais on n’a pas eu la réussite escomptée.
Ce troisième match consécutif sans défaite vous fait-il penser que vous êtes sur la bonne voie ?
On est déçus car ce n’est qu’un point à domicile. Mais, on a été présents et acteurs. Mon équipe bataille et donne tout. C'est avec l’état d’esprit affiché ce soir qu'on sortira la tête de l'eau. C’est bien de voir des joueurs entrer et se procurer des occasions. L’état d’esprit et la mentalité sont bons.
Malheureusement, la victoire vous échappe encore.
Il nous manque des points. Le bilan n’est pas suffisant. On se met dans une situation où on veut forcer la décision. Parfois maladroitement. Contre Dijon, on n’a pas assez frappé au but mais on était bien présents. Ce soir, on a beaucoup plus entrepris. La confiance, il faut aller chercher, et on y arrivera avec ce caractère-là. Et, dans le jeu, il faut être capable de faire des différences. Dijon et Angers forment deux gros blocs qui veulent contrer. Tant qu’on n’arrive pas à forcer la décision, on peut prendre des contres. Dans la difficulté, on a répondu présent mais on est déçus car on ne prend pas les trois points.
Comment y remédier, notamment offensivement ?
En affichant cette volonté, cette envie de jouer encore plus juste car on est capable de faire bien mieux. On est solides car tout le monde participe. Il manque le dernier étage de la fusée : être capable de valider l’état d’esprit avec des buts. Il faut insister car on est dans la bonne démarche. On était crispés en première mi-temps alors qu’on avait des opportunités. Je nous ai sentis mieux en deuxième, avec des frappes d’Yvan Neyou ou Maxence Rivera. On était également présents sur les phases arrêtées, comme sur l’occasion de Timothée Kolodziejczak. La réussite va tourner. À la condition de garder le même état d’esprit. J’ai trouvé notre banc très présent. Les entrants ont apporté de la spontanéité et pris des initiatives. On va aller chercher les points qui nous manquent.
ASSE.FR
Re: Conférence de presse d'après match ASSE - Angers
Claude Puel
Êtes-vous plus frustré que déçu après avoir vu votre équipe gâcher beaucoup d'occasions ?
On ressent beaucoup de frustration. Aujourd’hui (dimanche), on a fait une excellente entame avec l’ouverture du score. Ensuite, je considère qu’on est fautifs d’avoir laissé Nîmes revenir dans le match. On a des situations, pas mal de situations même. Ce match peut être plié au bout d’un quart d’heure. Cela n’a pas été le cas car on n’a pas fait front. Bravo à Nîmes qui y a cru jusqu’au bout et n'a pas volé son point. Notre adversaire a été dangereux. Ses contres pouvaient faire très mal, mais on les a bien aidés à revenir dans le match.
Comment ?
Ce qui m’embête le plus, c’est l’égalisation. On n’a pas le droit de concéder un but très vite après avoir ouvert la marque, en sachant en plus qu’on peut tuer le match derrière. C’était un peu la même chose à Bordeaux, où on a la balle de 2-0. On a des sautes de concentration. Lors des minutes qui suivent un but marqué, on doit redoubler d’efforts car l’adversaire veut reprendre le fil. On a tendance à se relâcher dans ce genre de situations. On l’a payé cash. C’est beaucoup de déception. Il y a eu de bonnes choses, des situations et des occasions qui auraient dû mieux se terminer pour nous. On n’a pas le temps de s’appesantir sur ce nul car on joue à nouveau dans trois jours à Monaco. On n’est pas en vacances.
Avez-vous compris toutes les décisions de l'arbitre? Il siffle un penalty en faveur de Nïmes alors qu'Harold Moukoudi ne semble pas faire faute. Par ailleurs, le carton jaune adressé à Romain Hamouma pour simulation paraît très sévère...
Je n’ai pas revu les images. Depuis mon banc, j’ai eu la sensation qu’il n’y avait pas de geste illicite de la part de Harold Moukoudi. De là où j’étais placé, ça me semble sévère. Je n’ai pas compris cette décision mais je regarderai à nouveau les images. Pareil pour l’action sur Romain (Hamouma). Il fait un dribble, il est dans le cheminement de son action. Je ne comprends pas le carton car il n’y a pas de plongeon. Malgré tout, je ne veux pas que l’on se retranche derrière l’arbitrage car on doit faire beaucoup mieux.
Comment expliquez-vous le manque d'efficacité de votre équipe ?
Avoir des situations est déjà une bonne chose. Mais on était moins bien structurés qu’à Bordeaux. Nos équilibres n’ont pas été bons. À la perte du ballon, on n’était pas assez compacts. Après la pause, on s’est exposés car on a poussé. Nîmes possède beaucoup de joueurs de vitesse qui prennent les espaces. Leur jeu direct nous a mis en difficulté. On pouvait à la fois marquer et prendre un but en fin de rencontre. Notre match a été fait de haut et de bas. Peut-être que c’est la fatigue qui veut ça. Je le répète : il y a beaucoup de déception et on ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes. L’adversaire n’a pas lâché parce qu’on ne l’a pas assez mis en difficulté.
Lorsque Nîmes a pris l’avantage, on a senti votre équipe animée par une grande volonté d'aller chercher l’égalisation.
On a toujours eu ces bonnes intentions. Mais, il y a eu des moments de match qu’on n’a pas su gérer. C’est une rencontre qu’on entame bien, au cours de laquelle on peut faire rapidement le break. C’est intéressant de se procurer des occasions, mais c’est encore plus intéressant de prendre trois points. En les pressant plus haut, on a maintenu le rythme. Bien sûr qu’il y a de bonnes choses, des occasions, un super but d’Arnaud Nordin... Tout ça, c’est bien. Mais, on est à domicile et on n’a pas valorisé notre bon résultat à Bordeaux.
Arnaud Nordin vient de marquer son deuxième but en deux matches. Est-il en train de franchir un palier?
Il progresse, dans le jeu et face au but. Ce serait bien que tous ensemble on l'accompagne.
Denis Bouanga peut-il marcher dans les pas d'Arnaud Nordin?
Denis traverse une période difficile mais reviendra plus fort. À Monaco, on aura besoin de Denis pour aller chercher un résultat.
Pouvez-vous nous donner des nouvelles de Wahbi Khazri, sorti en cours de match ?
Il souffre d’une blessure aux adducteurs et ne sera sans doute pas présent lors du prochain match.
Asse.fr
Êtes-vous plus frustré que déçu après avoir vu votre équipe gâcher beaucoup d'occasions ?
On ressent beaucoup de frustration. Aujourd’hui (dimanche), on a fait une excellente entame avec l’ouverture du score. Ensuite, je considère qu’on est fautifs d’avoir laissé Nîmes revenir dans le match. On a des situations, pas mal de situations même. Ce match peut être plié au bout d’un quart d’heure. Cela n’a pas été le cas car on n’a pas fait front. Bravo à Nîmes qui y a cru jusqu’au bout et n'a pas volé son point. Notre adversaire a été dangereux. Ses contres pouvaient faire très mal, mais on les a bien aidés à revenir dans le match.
Comment ?
Ce qui m’embête le plus, c’est l’égalisation. On n’a pas le droit de concéder un but très vite après avoir ouvert la marque, en sachant en plus qu’on peut tuer le match derrière. C’était un peu la même chose à Bordeaux, où on a la balle de 2-0. On a des sautes de concentration. Lors des minutes qui suivent un but marqué, on doit redoubler d’efforts car l’adversaire veut reprendre le fil. On a tendance à se relâcher dans ce genre de situations. On l’a payé cash. C’est beaucoup de déception. Il y a eu de bonnes choses, des situations et des occasions qui auraient dû mieux se terminer pour nous. On n’a pas le temps de s’appesantir sur ce nul car on joue à nouveau dans trois jours à Monaco. On n’est pas en vacances.
Avez-vous compris toutes les décisions de l'arbitre? Il siffle un penalty en faveur de Nïmes alors qu'Harold Moukoudi ne semble pas faire faute. Par ailleurs, le carton jaune adressé à Romain Hamouma pour simulation paraît très sévère...
Je n’ai pas revu les images. Depuis mon banc, j’ai eu la sensation qu’il n’y avait pas de geste illicite de la part de Harold Moukoudi. De là où j’étais placé, ça me semble sévère. Je n’ai pas compris cette décision mais je regarderai à nouveau les images. Pareil pour l’action sur Romain (Hamouma). Il fait un dribble, il est dans le cheminement de son action. Je ne comprends pas le carton car il n’y a pas de plongeon. Malgré tout, je ne veux pas que l’on se retranche derrière l’arbitrage car on doit faire beaucoup mieux.
Comment expliquez-vous le manque d'efficacité de votre équipe ?
Avoir des situations est déjà une bonne chose. Mais on était moins bien structurés qu’à Bordeaux. Nos équilibres n’ont pas été bons. À la perte du ballon, on n’était pas assez compacts. Après la pause, on s’est exposés car on a poussé. Nîmes possède beaucoup de joueurs de vitesse qui prennent les espaces. Leur jeu direct nous a mis en difficulté. On pouvait à la fois marquer et prendre un but en fin de rencontre. Notre match a été fait de haut et de bas. Peut-être que c’est la fatigue qui veut ça. Je le répète : il y a beaucoup de déception et on ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes. L’adversaire n’a pas lâché parce qu’on ne l’a pas assez mis en difficulté.
Lorsque Nîmes a pris l’avantage, on a senti votre équipe animée par une grande volonté d'aller chercher l’égalisation.
On a toujours eu ces bonnes intentions. Mais, il y a eu des moments de match qu’on n’a pas su gérer. C’est une rencontre qu’on entame bien, au cours de laquelle on peut faire rapidement le break. C’est intéressant de se procurer des occasions, mais c’est encore plus intéressant de prendre trois points. En les pressant plus haut, on a maintenu le rythme. Bien sûr qu’il y a de bonnes choses, des occasions, un super but d’Arnaud Nordin... Tout ça, c’est bien. Mais, on est à domicile et on n’a pas valorisé notre bon résultat à Bordeaux.
Arnaud Nordin vient de marquer son deuxième but en deux matches. Est-il en train de franchir un palier?
Il progresse, dans le jeu et face au but. Ce serait bien que tous ensemble on l'accompagne.
Denis Bouanga peut-il marcher dans les pas d'Arnaud Nordin?
Denis traverse une période difficile mais reviendra plus fort. À Monaco, on aura besoin de Denis pour aller chercher un résultat.
Pouvez-vous nous donner des nouvelles de Wahbi Khazri, sorti en cours de match ?
Il souffre d’une blessure aux adducteurs et ne sera sans doute pas présent lors du prochain match.
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Dernière modification par squaty le 20 déc. 2020, 19:07, modifié 1 fois.
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Re: Conférence de presse de Claude Puel
C'est le Squaty ShowFaiseur de Tresses a écrit : ↑04 oct. 2020, 14:09 @squaty
Je vois pas l'intérêt de créer le thread si on ne peut pas commenter. Les déclarations du coach sont normalement résumées dans les potins déjà.
Dehors les croque-morts !
Re: Conférence de presse d'après match Monaco - ASSE
Claude Puel
Ressentez-vous le même sentiment de frustration ce soir que dimanche dernier face à Nîmes?
Évidemment ! On a encore perdu deux points, comme à Dijon ou face à Angers et Nîmes. Le point négatif, c'est de ne pas capitaliser. Le contenu de nos matchs vaut plus que des nuls. Hormis notre rencontre face à Lille (1-1), on doit chaque fois prendre les trois points. J'espère qu'on va bien récupérer pendant les fêtes pour revenir avec les mêmes intentions, dans le jeu et l'état d'esprit. On a fait preuve de caractère pour revenir dans la partie après avoir encaissé le premier but. Même à 11 contre 11, on a pris l'ascendant sur cette équipe. Hélas, on a concédé deux buts "casquettes". Le premier ressemble à celui encaissé contre Nîmes. On n'a pas retenu la leçon. Sur le deuxième, c'est une série d'approximations qui permet à Monaco de marquer. Il y a de la déception dans le vestiaire, pour les joueurs et le staff, car tout le monde s'arrache.
L' état d'esprit qui anime le groupe depuis plusieurs semaines constitue-t-il l'une de vos principales satisfactions?
Défendre ensemble, jouer en bloc, vouloir marquer, déclencher des frappes... Les bonnes intentions sont là mais on doit concrétiser et être plus efficaces dans les deux surfaces. Encore une fois, j'ai l'impression qu'on a vendangé et c'est un sentiment très désagréable.
Que vous a-t-il manqué en seconde période pour l'emporter ?
Il fallait éviter de prendre un but sur un dégagement. Encaisser un but sur la seule situation de Monaco en 45 minutes, c'est inadmissible. Si on veut être compétitifs, on ne peut pas prendre des buts comme ça. On a été très solides et on a récupéré des ballons. On a des situations qu'on peut mieux négocier même si le gardien a effectué de très beaux arrêts. On a très mal géré la supériorité numérique en début de seconde période. C'est difficile de jouer face à une équipe en infériorité numérique. On a essayé de forcer la décision jusqu'au bout.
Pourquoi avez-vous titularisé Kévin Monnet-Paquet qui a peu joué ces dernières semaines ?
J'avais besoin de trouver un équilibre avec l'enchaînement des matches mais quelqu'un qui puisse travailler sur le côté. A l'entraînement, Kévin m'a convaincu qu'il était prêt. Il a mis de l'intensité dans son jeu et fait preuve du caractère. Je n'ai pas hésité à le faire débuter aujourd'hui car il l'a mérité. Il a réussi un très bon match.
Quel bilan faites-vous après quatre mois de compétition ?
C'est une première partie de saison compliquée. On a très bien démarré car on avait une équipe équilibrée. Après on a été très malheureux. On a perdu des joueurs, sur blessure, à cause du Covid-19 ou en fin de mercato. On a eu jusqu'à 8 défenseurs indisponibles. Il a fallu lancer des jeunes qui n'avaient pas encore joué avec la réserve. On a perdu confiance dans notre jeu, offensivement et défensivement. Avec le retour de certains, comme (Harold) Moukoudi, (Mathieu) Debuchy et (Miguel) Trauco, on a retrouvé une assise défensive, repris confiance et réussi des matches pleins. C'est ce cap qu'il faut garder.
Vous avez six points d'avance sur le club barragiste. Est-ce préoccupant ?
Bien sûr. Il faut construire son championnat en prenant le maximum de points dans les matches qu'on maîtrise. Quand on voit le contenu de nos rencontres et qu'on n'est pas récompensés, on sait qu'on devra batailler. On s'accroche et cet état d'esprit me plaît.
Asse.fr
Ressentez-vous le même sentiment de frustration ce soir que dimanche dernier face à Nîmes?
Évidemment ! On a encore perdu deux points, comme à Dijon ou face à Angers et Nîmes. Le point négatif, c'est de ne pas capitaliser. Le contenu de nos matchs vaut plus que des nuls. Hormis notre rencontre face à Lille (1-1), on doit chaque fois prendre les trois points. J'espère qu'on va bien récupérer pendant les fêtes pour revenir avec les mêmes intentions, dans le jeu et l'état d'esprit. On a fait preuve de caractère pour revenir dans la partie après avoir encaissé le premier but. Même à 11 contre 11, on a pris l'ascendant sur cette équipe. Hélas, on a concédé deux buts "casquettes". Le premier ressemble à celui encaissé contre Nîmes. On n'a pas retenu la leçon. Sur le deuxième, c'est une série d'approximations qui permet à Monaco de marquer. Il y a de la déception dans le vestiaire, pour les joueurs et le staff, car tout le monde s'arrache.
L' état d'esprit qui anime le groupe depuis plusieurs semaines constitue-t-il l'une de vos principales satisfactions?
Défendre ensemble, jouer en bloc, vouloir marquer, déclencher des frappes... Les bonnes intentions sont là mais on doit concrétiser et être plus efficaces dans les deux surfaces. Encore une fois, j'ai l'impression qu'on a vendangé et c'est un sentiment très désagréable.
Que vous a-t-il manqué en seconde période pour l'emporter ?
Il fallait éviter de prendre un but sur un dégagement. Encaisser un but sur la seule situation de Monaco en 45 minutes, c'est inadmissible. Si on veut être compétitifs, on ne peut pas prendre des buts comme ça. On a été très solides et on a récupéré des ballons. On a des situations qu'on peut mieux négocier même si le gardien a effectué de très beaux arrêts. On a très mal géré la supériorité numérique en début de seconde période. C'est difficile de jouer face à une équipe en infériorité numérique. On a essayé de forcer la décision jusqu'au bout.
Pourquoi avez-vous titularisé Kévin Monnet-Paquet qui a peu joué ces dernières semaines ?
J'avais besoin de trouver un équilibre avec l'enchaînement des matches mais quelqu'un qui puisse travailler sur le côté. A l'entraînement, Kévin m'a convaincu qu'il était prêt. Il a mis de l'intensité dans son jeu et fait preuve du caractère. Je n'ai pas hésité à le faire débuter aujourd'hui car il l'a mérité. Il a réussi un très bon match.
Quel bilan faites-vous après quatre mois de compétition ?
C'est une première partie de saison compliquée. On a très bien démarré car on avait une équipe équilibrée. Après on a été très malheureux. On a perdu des joueurs, sur blessure, à cause du Covid-19 ou en fin de mercato. On a eu jusqu'à 8 défenseurs indisponibles. Il a fallu lancer des jeunes qui n'avaient pas encore joué avec la réserve. On a perdu confiance dans notre jeu, offensivement et défensivement. Avec le retour de certains, comme (Harold) Moukoudi, (Mathieu) Debuchy et (Miguel) Trauco, on a retrouvé une assise défensive, repris confiance et réussi des matches pleins. C'est ce cap qu'il faut garder.
Vous avez six points d'avance sur le club barragiste. Est-ce préoccupant ?
Bien sûr. Il faut construire son championnat en prenant le maximum de points dans les matches qu'on maîtrise. Quand on voit le contenu de nos rencontres et qu'on n'est pas récompensés, on sait qu'on devra batailler. On s'accroche et cet état d'esprit me plaît.
Asse.fr
Re: Conférence de presse d'avant match ASSE - PSG
Claude Puel
Dans quel état d’esprit êtes-vous après ce match nul face à Paris (1-1) ?
Je suis satisfait. On est dans la continuité des six matches précédents: beaucoup de solidarité, une bonne structure d'équipe, des intentions de jeu et la volonté de porter le danger chez l’adversaire. On a eu des situations en première mi-temps, mais on n’a pas toujours su bien gérer des contres. On ne récupérait pas assez vite le ballon. Paris commençait à nous user avec de bons mouvements. On a rectifié à la pause, en étant plus agressifs et ambitieux. On a pris l’ascendant. On s'est alors créé des occasions durant notre temps fort. C'est dommage de ne pas avoir concrétisé. Il y a eu un petit manque de justesse dans le dernier geste. Ensuite, Paris a rééquilibré les débats en faisant entrer des joueurs frais. Les deux équipes ont poussé. On est partagé entre deux sentiments. D'un côté, le comportement général de l'équipe est un vrai motif de satisfaction. Mais on ressent encore un petit peu de frustration car on a la sensation qu’on peut obtenir un meilleur résultat. Il ne faut pas être trop gourmand. On est sur une bonne passe en termes d’investissement même si on n’est pas totalement récompensés. Il faut continuer comme cela.
Qu’est-ce qui vous manque pour transformer ces bonnes prestations en victoires ?
Gardons déjà cette écoute et cette concentration quand on a ou pas le ballon. On a des bases plus solides et on se procure davantage d’occasions. Il faut valoriser ces bonnes prestations en étant plus efficaces. C’est le dernier effort à fournir, tout en gardant nos atouts : cohésion, force et ambition dans le jeu.
Lucas Gourna a rayonné au milieu de terrain. Comment jugez-vous son match?
À l’image de tous ses partenaires, il progresse. Un jeune joueur acquiert de la maturité grâce au temps de jeu qu'on lui donne. C’est son cas. Au départ, quand on lance un jeune, il y a toujours des choses à corriger. Il faut insister. C’est ce qu’on a fait avec toute une génération car il n’est pas le seul. Tous les jeunes progressent. Ils apprennent dans la difficulté. Malgré des contre-performances, ils restent pros, consciencieux et à l’écoute. Ils sont récompensés quand ils font des matches comme celui de ce soir. Ils représentent le futur de l’ASSE.
Mauricio Pocchetino, le nouvel entraîneur parisien, a été élogieux à votre égard lors de sa conférence de presse d'avant-match. Quel regard portez-vous sur son arrivée au PSG?
J’apprécie Mauricio. Chaque fois qu’on s’est croisés, on a partagé de bons moments. J’aime ce qu’il demande à ses équipes. C’est un entraîneur qui est arrivé à performer jusqu’en finale de Ligue des Champions avec toute une génération. J’apprécie également son staff, mesuré et francophone. Je lui souhaite le meilleur pour la suite. Je suis content de le retrouver dans notre championnat.
ASSE.FR
Dans quel état d’esprit êtes-vous après ce match nul face à Paris (1-1) ?
Je suis satisfait. On est dans la continuité des six matches précédents: beaucoup de solidarité, une bonne structure d'équipe, des intentions de jeu et la volonté de porter le danger chez l’adversaire. On a eu des situations en première mi-temps, mais on n’a pas toujours su bien gérer des contres. On ne récupérait pas assez vite le ballon. Paris commençait à nous user avec de bons mouvements. On a rectifié à la pause, en étant plus agressifs et ambitieux. On a pris l’ascendant. On s'est alors créé des occasions durant notre temps fort. C'est dommage de ne pas avoir concrétisé. Il y a eu un petit manque de justesse dans le dernier geste. Ensuite, Paris a rééquilibré les débats en faisant entrer des joueurs frais. Les deux équipes ont poussé. On est partagé entre deux sentiments. D'un côté, le comportement général de l'équipe est un vrai motif de satisfaction. Mais on ressent encore un petit peu de frustration car on a la sensation qu’on peut obtenir un meilleur résultat. Il ne faut pas être trop gourmand. On est sur une bonne passe en termes d’investissement même si on n’est pas totalement récompensés. Il faut continuer comme cela.
Qu’est-ce qui vous manque pour transformer ces bonnes prestations en victoires ?
Gardons déjà cette écoute et cette concentration quand on a ou pas le ballon. On a des bases plus solides et on se procure davantage d’occasions. Il faut valoriser ces bonnes prestations en étant plus efficaces. C’est le dernier effort à fournir, tout en gardant nos atouts : cohésion, force et ambition dans le jeu.
Lucas Gourna a rayonné au milieu de terrain. Comment jugez-vous son match?
À l’image de tous ses partenaires, il progresse. Un jeune joueur acquiert de la maturité grâce au temps de jeu qu'on lui donne. C’est son cas. Au départ, quand on lance un jeune, il y a toujours des choses à corriger. Il faut insister. C’est ce qu’on a fait avec toute une génération car il n’est pas le seul. Tous les jeunes progressent. Ils apprennent dans la difficulté. Malgré des contre-performances, ils restent pros, consciencieux et à l’écoute. Ils sont récompensés quand ils font des matches comme celui de ce soir. Ils représentent le futur de l’ASSE.
Mauricio Pocchetino, le nouvel entraîneur parisien, a été élogieux à votre égard lors de sa conférence de presse d'avant-match. Quel regard portez-vous sur son arrivée au PSG?
J’apprécie Mauricio. Chaque fois qu’on s’est croisés, on a partagé de bons moments. J’aime ce qu’il demande à ses équipes. C’est un entraîneur qui est arrivé à performer jusqu’en finale de Ligue des Champions avec toute une génération. J’apprécie également son staff, mesuré et francophone. Je lui souhaite le meilleur pour la suite. Je suis content de le retrouver dans notre championnat.
ASSE.FR
Re: Conférence de presse d'après match Strasbourg - ASSE
Laurent Huard
On a le sentiment qu'on ne peut rien reprocher à vos joueurs ce soir.
Vous le remarquez, nous aussi. On est plutôt fiers de ce qu'ils ont fait. Le coach avait bien préparé ce match jusqu'à la toute dernière séance d'hier. Le groupe a été dans la continuité des entraînements effectués tout au long de la semaine. Notre préparation a été très sérieuse malgré les événements. On est déçus pour les joueurs car ils méritaient mieux vu leur prestation. Même s'il nous a manqué un peu de réussite dans les derniers mètres, on a maîtrisé le jeu. Hélas, comme à Reims, on subit des faits de jeu qui changent la physionomie du match. Deux mains dans la surface ne sont pas sifflées alors qu'elles sont consécutives à des fautes techniques et qu'elles permettent aux joueurs concernés de maîtriser le ballon. Par ailleurs, sur l'action qui précède le but de Strasbourg, il y a faute sur Jessy (Moulin) quand il est en l'air. On me donne plusieurs interprétations, mais ce sont des faits de jeu qui ont de lourdes conséquences. On subit comme tout le monde la pandémie, mais subir en plus ces faits de jeu nous pénalise lourdement.
Malgré le contexte, on a gardé la même ligne directrice, les mêmes idées de jeu et la même exigence. La situation était déjà très spéciale, on n'a pas voulu en rajouter. Le coach s'est concentré sur le jeu et le groupe. J'ai été son relais.
Comment avez-vous préparé ce match dans un contexte inédit, alors que le groupe était privé de nombreux joueurs et de l'ensemble de son staff technique ?
Le coach avait tout prévu jusqu'à la causerie. Les joueurs avaient la structure, ils savaient ce qu'ils avaient à faire. Les jeunes se sont bien intégrés. Sept des onze joueurs qui ont débuté le match sont d'ailleurs issus du centre de formation. Malgré le contexte, on a gardé la même ligne directrice, les mêmes idées de jeu et la même exigence. La situation était déjà très spéciale, on n'a pas voulu en rajouter. Le coach s'est concentré sur le jeu et le groupe. J'ai été son relais. Les joueurs n'ont pas été perturbés plus que ça. Claude Puel avait cadré et préparé tout l'avant-match. On n'allait pas inventer quelque chose cet après-midi. Au contraire, il fallait renforcer les joueurs dans ce qu'ils savent bien faire depuis quelques semaines. Ils reprennent confiance. Nous aurions voulu qu'ils soient récompensés car tous les ingrédients d'une bonne performance ont été mis dans ce match : intelligence de jeu, abnégation, envie et engagement. On pensait qu'on pouvait relever ce challenge. On ne s'est pas présenté en victime. On a été audacieux dans le jeu à l'image des jeunes que le coach a vu évoluer ces dernières semaines et lui ont apporté satisfaction ce soir.
Le milieu de terrain était justement formé de trois jeunes joueurs formés au club, Lucas Gourna, Aïmen Moueffek et Baptiste Gabard, qui découvrait la Ligue 1 Uber Eats. C'est un symbole?
Lucas Gourna, Aïmen Moueffek et Baptiste Gabard ont beaucoup donné au cœur du jeu. Ils ont fait preuve de beaucoup de justesse et ont été intelligents dans l'utilisation du ballon. Ils travaillent bien avec le groupe pro et progressent.
Le Derby s'approche avec beaucoup d'incertitudes. Serez-vous prêts ?
Chaque chose en son temps. On sait ce que représente un Derby mais il est encore trop tôt pour en parler. Aujourd'hui on a laissé beaucoup d'énergie et de concentration dans cette rencontre. On a montré aux supporters qu'on ne lâche pas dans la difficulté, on s'accroche et on propose du jeu. Ce sera la ligne de conduite que le staff gardera cette semaine.
On a le sentiment qu'on ne peut rien reprocher à vos joueurs ce soir.
Vous le remarquez, nous aussi. On est plutôt fiers de ce qu'ils ont fait. Le coach avait bien préparé ce match jusqu'à la toute dernière séance d'hier. Le groupe a été dans la continuité des entraînements effectués tout au long de la semaine. Notre préparation a été très sérieuse malgré les événements. On est déçus pour les joueurs car ils méritaient mieux vu leur prestation. Même s'il nous a manqué un peu de réussite dans les derniers mètres, on a maîtrisé le jeu. Hélas, comme à Reims, on subit des faits de jeu qui changent la physionomie du match. Deux mains dans la surface ne sont pas sifflées alors qu'elles sont consécutives à des fautes techniques et qu'elles permettent aux joueurs concernés de maîtriser le ballon. Par ailleurs, sur l'action qui précède le but de Strasbourg, il y a faute sur Jessy (Moulin) quand il est en l'air. On me donne plusieurs interprétations, mais ce sont des faits de jeu qui ont de lourdes conséquences. On subit comme tout le monde la pandémie, mais subir en plus ces faits de jeu nous pénalise lourdement.
Malgré le contexte, on a gardé la même ligne directrice, les mêmes idées de jeu et la même exigence. La situation était déjà très spéciale, on n'a pas voulu en rajouter. Le coach s'est concentré sur le jeu et le groupe. J'ai été son relais.
Comment avez-vous préparé ce match dans un contexte inédit, alors que le groupe était privé de nombreux joueurs et de l'ensemble de son staff technique ?
Le coach avait tout prévu jusqu'à la causerie. Les joueurs avaient la structure, ils savaient ce qu'ils avaient à faire. Les jeunes se sont bien intégrés. Sept des onze joueurs qui ont débuté le match sont d'ailleurs issus du centre de formation. Malgré le contexte, on a gardé la même ligne directrice, les mêmes idées de jeu et la même exigence. La situation était déjà très spéciale, on n'a pas voulu en rajouter. Le coach s'est concentré sur le jeu et le groupe. J'ai été son relais. Les joueurs n'ont pas été perturbés plus que ça. Claude Puel avait cadré et préparé tout l'avant-match. On n'allait pas inventer quelque chose cet après-midi. Au contraire, il fallait renforcer les joueurs dans ce qu'ils savent bien faire depuis quelques semaines. Ils reprennent confiance. Nous aurions voulu qu'ils soient récompensés car tous les ingrédients d'une bonne performance ont été mis dans ce match : intelligence de jeu, abnégation, envie et engagement. On pensait qu'on pouvait relever ce challenge. On ne s'est pas présenté en victime. On a été audacieux dans le jeu à l'image des jeunes que le coach a vu évoluer ces dernières semaines et lui ont apporté satisfaction ce soir.
Le milieu de terrain était justement formé de trois jeunes joueurs formés au club, Lucas Gourna, Aïmen Moueffek et Baptiste Gabard, qui découvrait la Ligue 1 Uber Eats. C'est un symbole?
Lucas Gourna, Aïmen Moueffek et Baptiste Gabard ont beaucoup donné au cœur du jeu. Ils ont fait preuve de beaucoup de justesse et ont été intelligents dans l'utilisation du ballon. Ils travaillent bien avec le groupe pro et progressent.
Le Derby s'approche avec beaucoup d'incertitudes. Serez-vous prêts ?
Chaque chose en son temps. On sait ce que représente un Derby mais il est encore trop tôt pour en parler. Aujourd'hui on a laissé beaucoup d'énergie et de concentration dans cette rencontre. On a montré aux supporters qu'on ne lâche pas dans la difficulté, on s'accroche et on propose du jeu. Ce sera la ligne de conduite que le staff gardera cette semaine.
Re: Conférence de presse d'après match Strasbourg - ASSE
Pour info
Critiquée pour son silence autour du match à #Strasbourg,
@ASSEofficiel
organise une conférence de presse ce mardi avec Claude #Puel. Le #Derby aussi sera abordé. Le manager des Verts, positif au #COVID19, la fera en visioconférence #RCSAASSE #ASSEOL
Critiquée pour son silence autour du match à #Strasbourg,
@ASSEofficiel
organise une conférence de presse ce mardi avec Claude #Puel. Le #Derby aussi sera abordé. Le manager des Verts, positif au #COVID19, la fera en visioconférence #RCSAASSE #ASSEOL
Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? .............vive l'ardeche.................
Re: Conférence de presse d'après match Strasbourg - ASSE
Claude Puel : "Une situation ubuesque"
Confiné depuis son test positif au Covid-19, Claude Puel est revenu en visioconférence, ce mardi, sur la situation hors norme dans lequel s'est retrouvé son groupe, décimé par le absences, avant le déplacement à Strasbourg avant d'évoquer la préparation tout aussi particulière du Derby.
Comment allez-vous ?
Je suis un peu fatigué mais je n’ai pas de symptômes importants. J’ai effectué un nouveau test hier pour voir où j’en étais. Rester confiné n’est jamais évident mais il faut prendre en compte cette maladie et faire très attention. Je reste actif et toujours en relation avec mon staff qui est épaulé par Laurent Huard (responsable technique du Centre de formation), Aurélien Rémoué et et Jean-François Bedenik (préparateur physique et entraîneur des gardiens). C’est un peu particulier comme mode de fonctionnement.
Comment avez-vous vécu le match face à Strasbourg dimanche dernier ?
Par procuration. J’étais en contact avec le staff sur place pour initier les changements et donner le discours à tenir mais il y avait un décalage de 45 secondes entre ce j’entendais et ce que je voyais. C’était très particulier d’être en direct sans avoir les images en temps réel. Quoi qu’il en soit, je tiens à féliciter les joueurs, le staff et le club dans la manière de gérer sportivement et médiatiquement la situation. Tout le monde a gardé le cap et quand on voit le match, la motivation et l’investissement de tous, c’est magnifique et superbe malgré cette situation ubuesque qui nous a très fortement pénalisés.
Pouvez-vous revenir sur le déroulement de cette semaine particulière ?
Nous avons eu plusieurs cas de Covid-19 à déplorer. Des séries de tests ont été réalisés tout au long de la semaine. Régulièrement, de nouveaux cas apparaissaient. On a même dû annuler la conférence de presse prévue le vendredi car la situation était exceptionnelle et exponentielle. On était dans l'incertitude. Il fallait trouver des solutions et s’adapter sans cesse. J'ai moi-même été déclaré positif le samedi, ce qui a compliqué les échanges. Bien évidemment, nous avons informé les autorités, le médecin de la FFF référent et l’Agence Régionale de Santé. Tout le monde était au courant de notre situation : un cluster de 10 joueurs et les 8 membres du staff contaminés, soit 18 personnes. La situation était grotesque. Il ne s’agissait plus de football, il fallait jouer coûte que coûte. C’était ubuesque, on a même reçu un appel de notre adversaire pour nous intimer de respecter le règlement.
Tout le monde a été extraordinaire dans sa manière de gérer cette situation sur le terrain et en coulisses.
L’équité n’a pas été respectée selon vous ?
Je ne le pense pas. Dès le début de saison, j’avais dit que se poserait ce genre de problèmes entre les équipes car il n’y a pas de mansuétude entre clubs, tout le monde est dans la compétition. Mais la semaine dernière, il n’était pas question de s’apitoyer sur notre sort. Stigmatiser cette situation n’était pas la bonne manière d’accompagner la jeune équipe qui allait jouer contre Strasbourg. On a dû prendre toutes ces considérations en compte. Les joueurs, le staff et le club ont dû s’adapter d’heure en heure. On a été jusqu’au bout pour respecter le règlement et gérer cette situation complètement dingue. Tout le monde a été extraordinaire dans sa manière d'aborder cette situation, sur le terrain et en coulisses.
Comment expliquer l’apparition de ce foyer de contamination au sein du club ?
C’est difficile à dire. Avant le début du championnat et l’instauration du protocole sanitaire, l’ASSE a été précurseur dans la mise en place de mesures. On a été très vigilants, on a anticipé mais on ne peut passavoir d’où provient la première contamination. On peut attraper ce virus, en faisant les courses, en touchant des objets, en croisant une personne… C’est tellement aléatoire qu’on ne peut pas se prononcer. Si un ou deux éléments ont été au contact du virus, tout peut aller très vite.
Comment allez-vous organiser la préparation du Derby dans ces conditions ?
Quand un joueur est positif, il est doit rester isolé chez lui pendant sept jours. Après cet isolement, il peut reprendre une activité physique individuelle conditionnée par un test d’effort pour contrôler son état cardiaque. A partir de là, on doit donc y aller progressivement et proposer un programme à la carte à chaque joueur. Une fois ces deux périodes de sept jours passés, il peut reprendre l’entraînement collectif et être disponible pour une convocation.
A distance, comment pouvez-vous préparer votre groupe ?
Je vais suivre cette semaine comme j’ai suivi le match à Strasbourg. Même cloitré, en isolement, je suis en connexion continue avec mon staff et les dirigeants du club pour donner les meilleures réponses. Les échanges sont constants notamment sur la programmation, le contenu et le débriefing des séances. C’est un casse-tête quotidien mais il faut s’adapter.
On ne peut pas souhaiter que d’autres joueurs tombent malades simplement pour qu’on puisse reporter le Derby mais on est au cœur de la problématique. On impose aux clubs de disputer les matches à tout prix...
Sur le mercato aussi ?
Il faut mettre en corrélation la volonté de recruter et les possibilités réelles de le faire. Je ne sais pas si on aura la possibilité de recruter un élément intéressant en raison de finances que nous savons très difficiles mais on se veut actifs. Le recrutement dépendra des données économiques et de l’apport qu’est capable de fournir l’éventuelle recrue. C’est pour ça que je me concentre avant tout sur mon effectif. L’essentiel est d’abord de récupérer un effectif sain pour disputer nos prochains matches.
Songez-vous à demander un report du Derby ?
Il ne s’agit pas de demander de dérogation. On a fait des démarches avant le match contre Strasbourg en prévenant toutes les autorités mais partout, on nous a intimés de jouer vr match. A partir du moment où il y a un gardien disponible et qu’on ne dépasse pas les dix cas de Covid chez les joueurs, le règlement est explicite : on est obligés de jouer. C’était le cas contre Strasbourg, ça sera le cas contre Lyon malgré les six joueurs qui seront toujours indisponibles et quatre autres qui seront en manque d’entraînement car leur reprise collective aura eu lieu la veille ou le jour du match. Ajoutez à cela un staff professionnel réduit qui retrouvera progressivement le Centre sportif Robert-Herbin au cours de la semaine, c’est une préparation complètement dingue qu'on a commencé pour un Derby qu’on sera forcés de jouer. On ne peut pas souhaiter que d’autres joueurs tombent malades simplement pour qu’on puisse reporter le Derby mais on est au cœur de la problématique. On impose aux clubs de disputer les matches à tout prix, de jouer un championnat pour garantir des revenus économiques au football alors que le diffuseur principal Médiapro s’est retiré. Je pose la question : est-ce que c’est souhaitable ou viable ? Faut-il fermer les yeux sur l’aspect sanitaire, sur la prévention ?
Dans quel état d’esprit le staff et les joueurs sont-ils à l’approche du Derby ?
Quand je regarde le contenu de nos dix derniers matches, je constate que, malgré les aléas, on réalise des prestations de très bonne facture mais qu’on n’est pas récompensés au niveau comptable. On ne calcule pas, on est entreprenants, on donne tout. On progresse et on franchit des paliers. Alors actuellement, le staff confiné chez lui piaffe d’impatience et il en est de même pour les joueurs. C’est aussi le cas de ceux qui ne sont pas touchés par le virus. Ils ont envie d’en découdre. Certes, on connaît une vague mais il est hors de question de larmoyer sur la situation. On dénonce les faits mais, quelle que soit l’équipe alignée, notre motivation sera décuplée. On sera bien présents et on aura les bonnes réponses sur le terrain. L’avantage d’avoir de jeunes joueurs qui ont grandi à l’ASSE c’est qu'ils savent que ce que représente un Derby.
Confiné depuis son test positif au Covid-19, Claude Puel est revenu en visioconférence, ce mardi, sur la situation hors norme dans lequel s'est retrouvé son groupe, décimé par le absences, avant le déplacement à Strasbourg avant d'évoquer la préparation tout aussi particulière du Derby.
Comment allez-vous ?
Je suis un peu fatigué mais je n’ai pas de symptômes importants. J’ai effectué un nouveau test hier pour voir où j’en étais. Rester confiné n’est jamais évident mais il faut prendre en compte cette maladie et faire très attention. Je reste actif et toujours en relation avec mon staff qui est épaulé par Laurent Huard (responsable technique du Centre de formation), Aurélien Rémoué et et Jean-François Bedenik (préparateur physique et entraîneur des gardiens). C’est un peu particulier comme mode de fonctionnement.
Comment avez-vous vécu le match face à Strasbourg dimanche dernier ?
Par procuration. J’étais en contact avec le staff sur place pour initier les changements et donner le discours à tenir mais il y avait un décalage de 45 secondes entre ce j’entendais et ce que je voyais. C’était très particulier d’être en direct sans avoir les images en temps réel. Quoi qu’il en soit, je tiens à féliciter les joueurs, le staff et le club dans la manière de gérer sportivement et médiatiquement la situation. Tout le monde a gardé le cap et quand on voit le match, la motivation et l’investissement de tous, c’est magnifique et superbe malgré cette situation ubuesque qui nous a très fortement pénalisés.
Pouvez-vous revenir sur le déroulement de cette semaine particulière ?
Nous avons eu plusieurs cas de Covid-19 à déplorer. Des séries de tests ont été réalisés tout au long de la semaine. Régulièrement, de nouveaux cas apparaissaient. On a même dû annuler la conférence de presse prévue le vendredi car la situation était exceptionnelle et exponentielle. On était dans l'incertitude. Il fallait trouver des solutions et s’adapter sans cesse. J'ai moi-même été déclaré positif le samedi, ce qui a compliqué les échanges. Bien évidemment, nous avons informé les autorités, le médecin de la FFF référent et l’Agence Régionale de Santé. Tout le monde était au courant de notre situation : un cluster de 10 joueurs et les 8 membres du staff contaminés, soit 18 personnes. La situation était grotesque. Il ne s’agissait plus de football, il fallait jouer coûte que coûte. C’était ubuesque, on a même reçu un appel de notre adversaire pour nous intimer de respecter le règlement.
Tout le monde a été extraordinaire dans sa manière de gérer cette situation sur le terrain et en coulisses.
L’équité n’a pas été respectée selon vous ?
Je ne le pense pas. Dès le début de saison, j’avais dit que se poserait ce genre de problèmes entre les équipes car il n’y a pas de mansuétude entre clubs, tout le monde est dans la compétition. Mais la semaine dernière, il n’était pas question de s’apitoyer sur notre sort. Stigmatiser cette situation n’était pas la bonne manière d’accompagner la jeune équipe qui allait jouer contre Strasbourg. On a dû prendre toutes ces considérations en compte. Les joueurs, le staff et le club ont dû s’adapter d’heure en heure. On a été jusqu’au bout pour respecter le règlement et gérer cette situation complètement dingue. Tout le monde a été extraordinaire dans sa manière d'aborder cette situation, sur le terrain et en coulisses.
Comment expliquer l’apparition de ce foyer de contamination au sein du club ?
C’est difficile à dire. Avant le début du championnat et l’instauration du protocole sanitaire, l’ASSE a été précurseur dans la mise en place de mesures. On a été très vigilants, on a anticipé mais on ne peut passavoir d’où provient la première contamination. On peut attraper ce virus, en faisant les courses, en touchant des objets, en croisant une personne… C’est tellement aléatoire qu’on ne peut pas se prononcer. Si un ou deux éléments ont été au contact du virus, tout peut aller très vite.
Comment allez-vous organiser la préparation du Derby dans ces conditions ?
Quand un joueur est positif, il est doit rester isolé chez lui pendant sept jours. Après cet isolement, il peut reprendre une activité physique individuelle conditionnée par un test d’effort pour contrôler son état cardiaque. A partir de là, on doit donc y aller progressivement et proposer un programme à la carte à chaque joueur. Une fois ces deux périodes de sept jours passés, il peut reprendre l’entraînement collectif et être disponible pour une convocation.
A distance, comment pouvez-vous préparer votre groupe ?
Je vais suivre cette semaine comme j’ai suivi le match à Strasbourg. Même cloitré, en isolement, je suis en connexion continue avec mon staff et les dirigeants du club pour donner les meilleures réponses. Les échanges sont constants notamment sur la programmation, le contenu et le débriefing des séances. C’est un casse-tête quotidien mais il faut s’adapter.
On ne peut pas souhaiter que d’autres joueurs tombent malades simplement pour qu’on puisse reporter le Derby mais on est au cœur de la problématique. On impose aux clubs de disputer les matches à tout prix...
Sur le mercato aussi ?
Il faut mettre en corrélation la volonté de recruter et les possibilités réelles de le faire. Je ne sais pas si on aura la possibilité de recruter un élément intéressant en raison de finances que nous savons très difficiles mais on se veut actifs. Le recrutement dépendra des données économiques et de l’apport qu’est capable de fournir l’éventuelle recrue. C’est pour ça que je me concentre avant tout sur mon effectif. L’essentiel est d’abord de récupérer un effectif sain pour disputer nos prochains matches.
Songez-vous à demander un report du Derby ?
Il ne s’agit pas de demander de dérogation. On a fait des démarches avant le match contre Strasbourg en prévenant toutes les autorités mais partout, on nous a intimés de jouer vr match. A partir du moment où il y a un gardien disponible et qu’on ne dépasse pas les dix cas de Covid chez les joueurs, le règlement est explicite : on est obligés de jouer. C’était le cas contre Strasbourg, ça sera le cas contre Lyon malgré les six joueurs qui seront toujours indisponibles et quatre autres qui seront en manque d’entraînement car leur reprise collective aura eu lieu la veille ou le jour du match. Ajoutez à cela un staff professionnel réduit qui retrouvera progressivement le Centre sportif Robert-Herbin au cours de la semaine, c’est une préparation complètement dingue qu'on a commencé pour un Derby qu’on sera forcés de jouer. On ne peut pas souhaiter que d’autres joueurs tombent malades simplement pour qu’on puisse reporter le Derby mais on est au cœur de la problématique. On impose aux clubs de disputer les matches à tout prix, de jouer un championnat pour garantir des revenus économiques au football alors que le diffuseur principal Médiapro s’est retiré. Je pose la question : est-ce que c’est souhaitable ou viable ? Faut-il fermer les yeux sur l’aspect sanitaire, sur la prévention ?
Dans quel état d’esprit le staff et les joueurs sont-ils à l’approche du Derby ?
Quand je regarde le contenu de nos dix derniers matches, je constate que, malgré les aléas, on réalise des prestations de très bonne facture mais qu’on n’est pas récompensés au niveau comptable. On ne calcule pas, on est entreprenants, on donne tout. On progresse et on franchit des paliers. Alors actuellement, le staff confiné chez lui piaffe d’impatience et il en est de même pour les joueurs. C’est aussi le cas de ceux qui ne sont pas touchés par le virus. Ils ont envie d’en découdre. Certes, on connaît une vague mais il est hors de question de larmoyer sur la situation. On dénonce les faits mais, quelle que soit l’équipe alignée, notre motivation sera décuplée. On sera bien présents et on aura les bonnes réponses sur le terrain. L’avantage d’avoir de jeunes joueurs qui ont grandi à l’ASSE c’est qu'ils savent que ce que représente un Derby.
Re: Conférence de presse d'avant derby
Vivement la conf de presse de grand coach ...
Re: Conférence de presse d'après derby
Claude Puel
Quel est votre sentiment après cette défaite ?
C’est difficile à accepter. On est très déçus et en colère contre nous-mêmes. Malgré tout ce qui est arrivé ces quinze derniers jours, on espérait se situer à un autre niveau. On a très bien débuté les hostilités en se créant une superbe occasion. Ensuite, on a subi au lieu d’être conquérants. Et on a été punis. Tout ce qui fait notre force d’habitude, je ne l’ai pas vu aujourd’hui. On ne peut pas exister en concédant quatre buts sur des coups de pied arrêtés.
Votre équipe était-elle trop diminuée physiquement ?
Il est clair que nous n’avons pas pu réaliser une préparation normale. Des joueurs nous ont rejoint en cours de semaine, d’autres tout juste pour le match. On a été très perturbés. Mais même dans ce genre de situation, on espère toujours atteindre nos objectifs. Notre volonté était de débuter avec une équipe compacte et agressive, avant de faire entrer les éléments qui ne pouvaient pas disputer les 90 minutes. On n'a pas réussi à compenser, c’était trop dur. Beaucoup trop d’approximations nous ont mis dans une situation difficile. Pas de pressing, ni d'impact physique. On a été trop pauvres dans la récupération et on a du même coup été sevrés de ballons. On a offert des situations à un adversaire qui n’en demandait pas tant. Il nous a manqué trop de choses. On a couru dans le vide.
Sera-t-il difficile de se remettre psychologiquement de cette défaite ?
Ce sera un axe de travail dès la reprise de l’entraînement. C’est un match à oublier, il n’y a pas grand-chose à en retenir. On va bien travailler ensemble pour se reprendre. Des matches importants contre des adversaires nous attendent. Il faut retrouver une saine agressivité et de la qualité dans le jeu.
ASSE.FR
Quel est votre sentiment après cette défaite ?
C’est difficile à accepter. On est très déçus et en colère contre nous-mêmes. Malgré tout ce qui est arrivé ces quinze derniers jours, on espérait se situer à un autre niveau. On a très bien débuté les hostilités en se créant une superbe occasion. Ensuite, on a subi au lieu d’être conquérants. Et on a été punis. Tout ce qui fait notre force d’habitude, je ne l’ai pas vu aujourd’hui. On ne peut pas exister en concédant quatre buts sur des coups de pied arrêtés.
Votre équipe était-elle trop diminuée physiquement ?
Il est clair que nous n’avons pas pu réaliser une préparation normale. Des joueurs nous ont rejoint en cours de semaine, d’autres tout juste pour le match. On a été très perturbés. Mais même dans ce genre de situation, on espère toujours atteindre nos objectifs. Notre volonté était de débuter avec une équipe compacte et agressive, avant de faire entrer les éléments qui ne pouvaient pas disputer les 90 minutes. On n'a pas réussi à compenser, c’était trop dur. Beaucoup trop d’approximations nous ont mis dans une situation difficile. Pas de pressing, ni d'impact physique. On a été trop pauvres dans la récupération et on a du même coup été sevrés de ballons. On a offert des situations à un adversaire qui n’en demandait pas tant. Il nous a manqué trop de choses. On a couru dans le vide.
Sera-t-il difficile de se remettre psychologiquement de cette défaite ?
Ce sera un axe de travail dès la reprise de l’entraînement. C’est un match à oublier, il n’y a pas grand-chose à en retenir. On va bien travailler ensemble pour se reprendre. Des matches importants contre des adversaires nous attendent. Il faut retrouver une saine agressivité et de la qualité dans le jeu.
ASSE.FR
Re: Conférence de presse avant Nice - ASSE
Claude Puel
Comment l’après Derby a-t-il été vécu ?
Ça fait mal et c’est normal qu’on n’accepte pas ce genre de défaite, encore plus dans un Derby parce qu’on est des compétiteurs. Des explications, il y en a pas mal mais le constat c’est qu’on n’a pas été à la hauteur, surtout dans ce qu’on a dégagé comme comportement. La bonne volonté était là, mais elle était dispersée. On a couru après le ballon. C’était insuffisant de notre part. Cette semaine, on s’est appliqué à remettre les têtes à l’endroit. Maintenant, il faut repartir de l’avant, sur des bases solides, redresser la tête et répondre présent sur le terrain.
Quel est l'état d’esprit du groupe ?
Il est conscient de la situation. Jeunes et moins jeunes, tout le monde est uni pour batailler. Maintenant, il faut le montrer sur le terrain de manière cohérente.
Comprenez la colère des supporters ?
Nos supporters n’ont pas apprécié le Derby et c’est logique. Se montrer aussi passif dans un #Derby donne l'impression qu'on ne se bat pas, mais ce n'est pas le cas. C'est à nous d'effacer cette impression. Personne ne fait exprès d’avoir des manques. On est conscients des attentes de nos supporters et on comprend très bien ce qu’ils peuvent ressentir devant leur télé. C’est beaucoup de frustration accumulée et quelles que soient leurs actions, on doit les écouter. Maintenant, c’est à nous de montrer qu’on veut se sortir de cette situation.
Sur nos dix derniers matches, le Derby est le seul où on est vraiment passés au travers.
Comment expliquez-vous cette lourde défaite alors que les matches précédents avaient été porteurs d'espoirs ?
Depuis le début du championnat, aucun club n'a fait face à 10 cas de Covid-19 et 4 blessures. L'ASSE a été privée de 14 joueurs, c’est une réalité. Mais on n’est pas dans une continuité de mauvaises prestations. Sur nos dix derniers matches, le Derby est le seul où on est vraiment passés au travers. La marche était trop haute. Il faut qu’on reprenne le fil de notre jeu.
Avez-vous pu préparer le match contre Nice dans de meilleures conditions que le Derby ?
On a pu travailler un peu plus et un peu mieux. On a récupéré Mathieu Debuchy hier et Harold Moukoudi aujourd’hui. Stefan Bajic reprendra demain et d’autres a semaine prochaine. C’est une situation difficile mais elle est formatrice. On doit faire front.
Il faut sortir la tête de l’eau. Ce n’est pas en restant sur notre frustration qu’on pourra avancer.
Vous allez disputer trois matches en une semaine. Quel est le plus important ?
Tous les matches sont très importants. À chaque fois, on se concentre sur le prochain. Après les cas de Covid, on a tellement d’écarts physiques, de manques ou d’absences qu’il est impossible d’avoir une projection sur les trois matches. La situation l’empêche mais on doit apporter des réponses contre n’importe quel adversaire, c'est-à-dire reprendre les bases et travailler à ce que ce match n’impacte pas le prochain. Il faut regarder vers l’avant et sortir la tête de l’eau. Ce n’est pas en restant sur notre frustration ou en continuant à se morfondre qu’on pourra avancer.
Comment jugez-vous Nice, votre prochain adversaire ?
C’est une équipe en devenir qui se développe malgré l’absence de Dante. Il y a une similitude avec ce qu’on a vécu après le départ de Wesley Fofana mais Nice est un club qui dispose de très gros moyens pour pallier les absences. On s’attend à un match très difficile face à une équipe en convalescence.
Le mercato peut-il vous apporter de nouvelles solutions ?
Je ne souhaite pas commenter l’arrivée de joueurs tant qu’ils n'ont pas officiellement signé au club. Quoi qu’il en soit, je ne compte pas sur un joueur et je ne crois pas au sauveur. Ce qui nous sortira ce cette situation, c‘est la force du groupe.
ASSE.FR
Comment l’après Derby a-t-il été vécu ?
Ça fait mal et c’est normal qu’on n’accepte pas ce genre de défaite, encore plus dans un Derby parce qu’on est des compétiteurs. Des explications, il y en a pas mal mais le constat c’est qu’on n’a pas été à la hauteur, surtout dans ce qu’on a dégagé comme comportement. La bonne volonté était là, mais elle était dispersée. On a couru après le ballon. C’était insuffisant de notre part. Cette semaine, on s’est appliqué à remettre les têtes à l’endroit. Maintenant, il faut repartir de l’avant, sur des bases solides, redresser la tête et répondre présent sur le terrain.
Quel est l'état d’esprit du groupe ?
Il est conscient de la situation. Jeunes et moins jeunes, tout le monde est uni pour batailler. Maintenant, il faut le montrer sur le terrain de manière cohérente.
Comprenez la colère des supporters ?
Nos supporters n’ont pas apprécié le Derby et c’est logique. Se montrer aussi passif dans un #Derby donne l'impression qu'on ne se bat pas, mais ce n'est pas le cas. C'est à nous d'effacer cette impression. Personne ne fait exprès d’avoir des manques. On est conscients des attentes de nos supporters et on comprend très bien ce qu’ils peuvent ressentir devant leur télé. C’est beaucoup de frustration accumulée et quelles que soient leurs actions, on doit les écouter. Maintenant, c’est à nous de montrer qu’on veut se sortir de cette situation.
Sur nos dix derniers matches, le Derby est le seul où on est vraiment passés au travers.
Comment expliquez-vous cette lourde défaite alors que les matches précédents avaient été porteurs d'espoirs ?
Depuis le début du championnat, aucun club n'a fait face à 10 cas de Covid-19 et 4 blessures. L'ASSE a été privée de 14 joueurs, c’est une réalité. Mais on n’est pas dans une continuité de mauvaises prestations. Sur nos dix derniers matches, le Derby est le seul où on est vraiment passés au travers. La marche était trop haute. Il faut qu’on reprenne le fil de notre jeu.
Avez-vous pu préparer le match contre Nice dans de meilleures conditions que le Derby ?
On a pu travailler un peu plus et un peu mieux. On a récupéré Mathieu Debuchy hier et Harold Moukoudi aujourd’hui. Stefan Bajic reprendra demain et d’autres a semaine prochaine. C’est une situation difficile mais elle est formatrice. On doit faire front.
Il faut sortir la tête de l’eau. Ce n’est pas en restant sur notre frustration qu’on pourra avancer.
Vous allez disputer trois matches en une semaine. Quel est le plus important ?
Tous les matches sont très importants. À chaque fois, on se concentre sur le prochain. Après les cas de Covid, on a tellement d’écarts physiques, de manques ou d’absences qu’il est impossible d’avoir une projection sur les trois matches. La situation l’empêche mais on doit apporter des réponses contre n’importe quel adversaire, c'est-à-dire reprendre les bases et travailler à ce que ce match n’impacte pas le prochain. Il faut regarder vers l’avant et sortir la tête de l’eau. Ce n’est pas en restant sur notre frustration ou en continuant à se morfondre qu’on pourra avancer.
Comment jugez-vous Nice, votre prochain adversaire ?
C’est une équipe en devenir qui se développe malgré l’absence de Dante. Il y a une similitude avec ce qu’on a vécu après le départ de Wesley Fofana mais Nice est un club qui dispose de très gros moyens pour pallier les absences. On s’attend à un match très difficile face à une équipe en convalescence.
Le mercato peut-il vous apporter de nouvelles solutions ?
Je ne souhaite pas commenter l’arrivée de joueurs tant qu’ils n'ont pas officiellement signé au club. Quoi qu’il en soit, je ne compte pas sur un joueur et je ne crois pas au sauveur. Ce qui nous sortira ce cette situation, c‘est la force du groupe.
ASSE.FR
Re: Conférence de presse avant Nice - ASSE
Mathieu Debuchy
Comment te sens-tu aujourd’hui après avoir soigné une infection au Covid-19 ?
Le Covid-19 est un virus qui t’affecte. Au niveau du souffle, ça n’a pas été évident de reprendre les premiers jours mais je me sens mieux. Depuis hier (jeudi), je participe aux entraînements collectifs. Je suis prêt à jouer contre Nice.
Comment as-tu vécu le revers subi dans le Derby ?
Mal, d’autant que j’ai dû suivre le match devant la télé. Ç’a été une soirée très difficile pour l’équipe et encore plus pour moi. Perdre 0-5 dans un Derby, c’est une défaite qui marque. C’est dur à accepter et les premiers jours ont été difficiles mais, depuis hier (jeudi), je sens un groupe revanchard qui a envie de se relancer. Des matches très importants arrivent. On se doit d’avancer et d’oublier cette défaite même si elle va rester dans un coin de notre tête car il ne faut pas reproduire les mêmes erreurs.
On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs.
As-tu été touché par les reproches des supporters après le Derby ?
Je comprends leur sentiment. C’est une saison difficile pour eux. Les supporters ne peuvent pas assister à nos matches. C'est déjà une saison difficile à vivre pour eux. Et sur le match qu'ils attendent avec le plus d'impatience, on perd et sur un score de 5-0. Leur frustration est légitime. On doit relever la tête. Le foot a une place énorme à Sainté. Contre Lyon, on est passés à travers dans tous les domaines. On doit relever la tête et faire plus dans tous les domaines. Le groupe est uni et a envie de réagir.
Y a-t-il urgence selon toi ?
Je l’ai déjà dit, on ne doit pas attendre le mois de mars pour réagir. On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs. Il est nécessaire de s'appuyer sur un autre état d’esprit et des bases solides, en étant meilleur dans les trente derniers mètres tout en retrouvant notre solidité défensive.
Comment te sens-tu aujourd’hui après avoir soigné une infection au Covid-19 ?
Le Covid-19 est un virus qui t’affecte. Au niveau du souffle, ça n’a pas été évident de reprendre les premiers jours mais je me sens mieux. Depuis hier (jeudi), je participe aux entraînements collectifs. Je suis prêt à jouer contre Nice.
Comment as-tu vécu le revers subi dans le Derby ?
Mal, d’autant que j’ai dû suivre le match devant la télé. Ç’a été une soirée très difficile pour l’équipe et encore plus pour moi. Perdre 0-5 dans un Derby, c’est une défaite qui marque. C’est dur à accepter et les premiers jours ont été difficiles mais, depuis hier (jeudi), je sens un groupe revanchard qui a envie de se relancer. Des matches très importants arrivent. On se doit d’avancer et d’oublier cette défaite même si elle va rester dans un coin de notre tête car il ne faut pas reproduire les mêmes erreurs.
On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs.
As-tu été touché par les reproches des supporters après le Derby ?
Je comprends leur sentiment. C’est une saison difficile pour eux. Les supporters ne peuvent pas assister à nos matches. C'est déjà une saison difficile à vivre pour eux. Et sur le match qu'ils attendent avec le plus d'impatience, on perd et sur un score de 5-0. Leur frustration est légitime. On doit relever la tête. Le foot a une place énorme à Sainté. Contre Lyon, on est passés à travers dans tous les domaines. On doit relever la tête et faire plus dans tous les domaines. Le groupe est uni et a envie de réagir.
Y a-t-il urgence selon toi ?
Je l’ai déjà dit, on ne doit pas attendre le mois de mars pour réagir. On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs. Il est nécessaire de s'appuyer sur un autre état d’esprit et des bases solides, en étant meilleur dans les trente derniers mètres tout en retrouvant notre solidité défensive.
Re: Conférence de presse avant Nice - ASSE
Honnêtement, je n'attends pas de lui qu'il se mette à brailler et ce n'est pas en braillant qu'on s'en sortira.
Mais qu'est-ce que c'est lisse comme propos...
Mais qu'est-ce que c'est lisse comme propos...
Un abruti.
Re: Conférence de presse avant Nice - ASSE
C'est un bon garçon Debuchy, pas de vagues. Ses dires ne présentent aucun intérêt. Bonnes intentions naturellement attendues par les supporters.squaty a écrit : ↑29 janv. 2021, 18:08 Mathieu Debuchy
Comment te sens-tu aujourd’hui après avoir soigné une infection au Covid-19 ?
Le Covid-19 est un virus qui t’affecte. Au niveau du souffle, ça n’a pas été évident de reprendre les premiers jours mais je me sens mieux. Depuis hier (jeudi), je participe aux entraînements collectifs. Je suis prêt à jouer contre Nice.
Comment as-tu vécu le revers subi dans le Derby ?
Mal, d’autant que j’ai dû suivre le match devant la télé. Ç’a été une soirée très difficile pour l’équipe et encore plus pour moi. Perdre 0-5 dans un Derby, c’est une défaite qui marque. C’est dur à accepter et les premiers jours ont été difficiles mais, depuis hier (jeudi), je sens un groupe revanchard qui a envie de se relancer. Des matches très importants arrivent. On se doit d’avancer et d’oublier cette défaite même si elle va rester dans un coin de notre tête car il ne faut pas reproduire les mêmes erreurs.
On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs.
As-tu été touché par les reproches des supporters après le Derby ?
Je comprends leur sentiment. C’est une saison difficile pour eux. Les supporters ne peuvent pas assister à nos matches. C'est déjà une saison difficile à vivre pour eux. Et sur le match qu'ils attendent avec le plus d'impatience, on perd et sur un score de 5-0. Leur frustration est légitime. On doit relever la tête. Le foot a une place énorme à Sainté. Contre Lyon, on est passés à travers dans tous les domaines. On doit relever la tête et faire plus dans tous les domaines. Le groupe est uni et a envie de réagir.
Y a-t-il urgence selon toi ?
Je l’ai déjà dit, on ne doit pas attendre le mois de mars pour réagir. On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs. Il est nécessaire de s'appuyer sur un autre état d’esprit et des bases solides, en étant meilleur dans les trente derniers mètres tout en retrouvant notre solidité défensive.
Il devrait s'abstenir de débiter des banalités de circonstance.
Joue, joue bien et cela me satisfera amplement.
Re: Conférence de presse avant Nice - ASSE
En même temps si on lui temps un micro, il va pas faire des jonglesrocvert a écrit : ↑29 janv. 2021, 20:17C'est un bon garçon Debuchy, pas de vagues. Ses dires ne présentent aucun intérêt. Bonnes intentions naturellement attendues par les supporters.squaty a écrit : ↑29 janv. 2021, 18:08 Mathieu Debuchy
Comment te sens-tu aujourd’hui après avoir soigné une infection au Covid-19 ?
Le Covid-19 est un virus qui t’affecte. Au niveau du souffle, ça n’a pas été évident de reprendre les premiers jours mais je me sens mieux. Depuis hier (jeudi), je participe aux entraînements collectifs. Je suis prêt à jouer contre Nice.
Comment as-tu vécu le revers subi dans le Derby ?
Mal, d’autant que j’ai dû suivre le match devant la télé. Ç’a été une soirée très difficile pour l’équipe et encore plus pour moi. Perdre 0-5 dans un Derby, c’est une défaite qui marque. C’est dur à accepter et les premiers jours ont été difficiles mais, depuis hier (jeudi), je sens un groupe revanchard qui a envie de se relancer. Des matches très importants arrivent. On se doit d’avancer et d’oublier cette défaite même si elle va rester dans un coin de notre tête car il ne faut pas reproduire les mêmes erreurs.
On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs.
As-tu été touché par les reproches des supporters après le Derby ?
Je comprends leur sentiment. C’est une saison difficile pour eux. Les supporters ne peuvent pas assister à nos matches. C'est déjà une saison difficile à vivre pour eux. Et sur le match qu'ils attendent avec le plus d'impatience, on perd et sur un score de 5-0. Leur frustration est légitime. On doit relever la tête. Le foot a une place énorme à Sainté. Contre Lyon, on est passés à travers dans tous les domaines. On doit relever la tête et faire plus dans tous les domaines. Le groupe est uni et a envie de réagir.
Y a-t-il urgence selon toi ?
Je l’ai déjà dit, on ne doit pas attendre le mois de mars pour réagir. On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs. Il est nécessaire de s'appuyer sur un autre état d’esprit et des bases solides, en étant meilleur dans les trente derniers mètres tout en retrouvant notre solidité défensive.
Il devrait s'abstenir de débiter des banalités de circonstance.
Joue, joue bien et cela me satisfera amplement.
Grizzli fait aussi des chansons d'ours > https://toutemamusique.bandcamp.com
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Re: Conférence de presse avant Nice - ASSE
La différence c'est que debuchy se bat et est irréprochable alors ce qu'il dit au micro, on s 'en branle !!!rocvert a écrit : ↑29 janv. 2021, 20:17C'est un bon garçon Debuchy, pas de vagues. Ses dires ne présentent aucun intérêt. Bonnes intentions naturellement attendues par les supporters.squaty a écrit : ↑29 janv. 2021, 18:08 Mathieu Debuchy
Comment te sens-tu aujourd’hui après avoir soigné une infection au Covid-19 ?
Le Covid-19 est un virus qui t’affecte. Au niveau du souffle, ça n’a pas été évident de reprendre les premiers jours mais je me sens mieux. Depuis hier (jeudi), je participe aux entraînements collectifs. Je suis prêt à jouer contre Nice.
Comment as-tu vécu le revers subi dans le Derby ?
Mal, d’autant que j’ai dû suivre le match devant la télé. Ç’a été une soirée très difficile pour l’équipe et encore plus pour moi. Perdre 0-5 dans un Derby, c’est une défaite qui marque. C’est dur à accepter et les premiers jours ont été difficiles mais, depuis hier (jeudi), je sens un groupe revanchard qui a envie de se relancer. Des matches très importants arrivent. On se doit d’avancer et d’oublier cette défaite même si elle va rester dans un coin de notre tête car il ne faut pas reproduire les mêmes erreurs.
On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs.
As-tu été touché par les reproches des supporters après le Derby ?
Je comprends leur sentiment. C’est une saison difficile pour eux. Les supporters ne peuvent pas assister à nos matches. C'est déjà une saison difficile à vivre pour eux. Et sur le match qu'ils attendent avec le plus d'impatience, on perd et sur un score de 5-0. Leur frustration est légitime. On doit relever la tête. Le foot a une place énorme à Sainté. Contre Lyon, on est passés à travers dans tous les domaines. On doit relever la tête et faire plus dans tous les domaines. Le groupe est uni et a envie de réagir.
Y a-t-il urgence selon toi ?
Je l’ai déjà dit, on ne doit pas attendre le mois de mars pour réagir. On se doit de rebondir et il faut le faire rapidement car les matches s’enchaînent. En une semaine, on va jouer trois adversaires directs. Il est nécessaire de s'appuyer sur un autre état d’esprit et des bases solides, en étant meilleur dans les trente derniers mètres tout en retrouvant notre solidité défensive.
Il devrait s'abstenir de débiter des banalités de circonstance.
Joue, joue bien et cela me satisfera amplement.
tu veux qu'il fasse quoi de mieux ???
Romeyer, Caiazzo, dehors les imposteurs !!!