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Le texte utilise le peut et non le doit, la récupération des arrêts de jeu est donc au bon vouloir de l'arbitre. Dans l'absolu, il peut donc même décider de ne pas accorder des arrêts de jeu dans un match encore "ouvert". Bien entendu dans ce cas, il supportera la pression et le jugement médiatique, mais comme dit par Pitch, l'arbitre est seul maître à bord.3. Récupération des arrêts de jeu
L’arbitre peut prolonger chaque période pour compenser les arrêts de jeu occasionnés par :
• les remplacements ;
• l’évaluation de la blessure et/ou le transport de joueurs blessés hors du terrain ;
• les manœuvres visant à perdre du temps délibérément ;
• les sanctions disciplinaires ;
• les arrêts de jeu de nature médicale autorisés par le règlement de la compétition, comme par exemple les « pauses de récupération » (d’une minute maximum) et les « pauses de rafraîchissement » (90 secondes à 3 minutes) ;
• les vérifications et analyses effectuées dans le cadre de l’assistance vidéo à l’arbitrage ;
• toute autre cause, y compris tout retard important dans la reprise du jeu (par exemple célébration d’un but).
Le quatrième arbitre doit indiquer le minimum de temps additionnel décidé par l’arbitre à la fin de la dernière minute de chaque période. L’arbitre peut augmenter le temps additionnel, mais pas le réduire. L’arbitre ne peut pas compenser une erreur de chronométrage survenue en première période en modifiant la durée de la seconde période.
Seule obligation dès l'instant que son temps additionnel est annoncé par le quatrième arbitre, il doit le faire jouer a minima, mais il a le droit de l'augmenter, on se sent si bien dans la douceur d'une soirée marseillaise qu'on ne voudrait jamais quitter le vélodrome