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Vu qu'il n'est toujours pas mort, on va continuer ici

Il y a Elie Cester, mort à 76 ans . Ancien international de rugby , deuxième ligne qui formait autour des années 70 un bel attelage avec JP Bastiat. Il me semble qu'il jouait à Valence.
Il a été capitaine du quinze de France.

Elie Cester, 74 ans, ancien international (35 selections) et même capitaine, 2ème ligne du Stade de Toulousain et de Valence, décédé dans la ntuit de lundi à mardi

ozzy a écrit : , 74 ans, ancien international (35 selections) et même capitaine, 2ème ligne du Stade de Toulousain et de Valence, décédé dans la ntuit de lundi à mardi

Oh ptain le café, chaque mardi mardi matin à Valence place des clercs, dans le bar le Twickenham dans les années 90 à Valence, avant les cours, un beau bb. Rip Mr

Oui, une vraie onde de choc à Valence. Tout le monde le connaissait.

cedric26 a écrit :

ozzy a écrit : , 74 ans, ancien international (35 selections) et même capitaine, 2ème ligne du Stade de Toulousain et de Valence, décédé dans la ntuit de lundi à mardi

Oh ptain le café, chaque mardi mardi matin à Valence place des clercs, dans le bar le Twickenham dans les années 90 à Valence, avant les cours, un beau bb. Rip Mr

oui beaucoup passé de temps au pub Twickenham pendant mes études
Et avec comme souvenir impérissable quand il nous rendait la monnaie avec ses énormes doigts à essayer de faire glisser péniblement quelques centimes de ses toutes petites coupelles !!!

Adieu Mister Cester !

L'épopée du VS en 1978 . Demi-finale a Toulouse contre les Jaunards .Les joueurs du VS qui viennent nous accueillir a la gare de Valence , nous les supporters du VS , apres le quart de final.

repose en paix Le Grand.

bubs a écrit :Il y a Elie Cester, mort à 76 ans .

ozzy a écrit :Elie Cester, 74 ans, ancien international (35 selections)

il avait quel age au final ?

aissopic a écrit :

bubs a écrit :Il y a Elie Cester, mort à 76 ans .

ozzy a écrit :Elie Cester, 74 ans, ancien international (35 selections)

il avait quel age au final ?

C'est comme Rimbaud, ça dépend quand.

Vermeer a écrit :

aissopic a écrit :

bubs a écrit :Il y a Elie Cester, mort à 76 ans .

ozzy a écrit :Elie Cester, 74 ans, ancien international (35 selections)

il avait quel age au final ?

C'est comme Rimbaud, ça dépend quand.

il est peut être mort 2 fois...

Zacharie Noah, père de Yannick et grand-père de Joakim, est décédé dimanche à Yaoundé à l'âge de 79 ans. Défenseur élégant, il avait remporté la Coupe de France avec Sedan en 1961

epopee76 a écrit :Zacharie Noah, père de Yannick et grand-père de Joakim, est décédé dimanche à Yaoundé à l'âge de 79 ans. Défenseur élégant, il avait remporté la Coupe de France avec Sedan en 1961

Défenseur élégant, défenseur élégant...tu l'as vu jouer pour dire ça. Pour avoir vu plusieurs fois le Sedan de cette époque je peux te dire que les sedanais ce n'étaient ni des poètes, ni des joueurs de luth. Avec le Nîmes de Kader Firoud, c'était l'équipe la plus physique et la plus "saignante" de Division 1.

Arcade a écrit :

epopee76 a écrit :Zacharie Noah, père de Yannick et grand-père de Joakim, est décédé dimanche à Yaoundé à l'âge de 79 ans. Défenseur élégant, il avait remporté la Coupe de France avec Sedan en 1961

Défenseur élégant, défenseur élégant...tu l'as vu jouer pour dire ça. Pour avoir vu plusieurs fois le Sedan de cette époque je peux te dire que les sedanais ce n'étaient ni des poètes, ni des joueurs de luth. Avec le Nîmes de Kader Firoud, c'était l'équipe la plus physique et la plus "saignante" de Division 1.

C'est juste une retranscription , rien de personnel là-dedans.

Arcade a écrit :

epopee76 a écrit :Zacharie Noah, père de Yannick et grand-père de Joakim, est décédé dimanche à Yaoundé à l'âge de 79 ans. Défenseur élégant, il avait remporté la Coupe de France avec Sedan en 1961

Défenseur élégant, défenseur élégant...tu l'as vu jouer pour dire ça. Pour avoir vu plusieurs fois le Sedan de cette époque je peux te dire que les sedanais ce n'étaient ni des poètes, ni des joueurs de luth. Avec le Nîmes de Kader Firoud, c'était l'équipe la plus physique et la plus "saignante" de Division 1.

Raconte nous si tu l'as vu jouer !

Arcade a écrit :

epopee76 a écrit :Zacharie Noah, père de Yannick et grand-père de Joakim, est décédé dimanche à Yaoundé à l'âge de 79 ans. Défenseur élégant, il avait remporté la Coupe de France avec Sedan en 1961

Défenseur élégant, défenseur élégant...tu l'as vu jouer pour dire ça. Pour avoir vu plusieurs fois le Sedan de cette époque je peux te dire que les sedanais ce n'étaient ni des poètes, ni des joueurs de luth. Avec le Nîmes de Kader Firoud, c'était l'équipe la plus physique et la plus "saignante" de Division 1.

Les Crocodiles,
cette bande de jaloux qui nous ont fait perdre la Coupe d'Europe des Clubs Champions en 1976

ozzy a écrit :

Arcade a écrit :

epopee76 a écrit :Zacharie Noah, père de Yannick et grand-père de Joakim, est décédé dimanche à Yaoundé à l'âge de 79 ans. Défenseur élégant, il avait remporté la Coupe de France avec Sedan en 1961

Défenseur élégant, défenseur élégant...tu l'as vu jouer pour dire ça. Pour avoir vu plusieurs fois le Sedan de cette époque je peux te dire que les sedanais ce n'étaient ni des poètes, ni des joueurs de luth. Avec le Nîmes de Kader Firoud, c'était l'équipe la plus physique et la plus "saignante" de Division 1.

Raconte nous si tu l'as vu jouer !

Chiche ! La finale à Colombes en 61, était le dernier match où je l'ai vu jouer. Je garde d'ailleurs un très mauvais souvenir de cette finale, parce que j'étais en latérale, mais quasiment au ras du sol, ce qui fait que j'avais une vision très restreinte du match. De plus nous avions mon pote de l'époque et moi, juste derrière nous, une mégère nîmoise, avec une voix de crécelle, qui a hurlé tout le long du match, des Allez Nîmes à réveiller des morts. Le mal de crâne à la fin du match . Pour en revenir au père Noah (Zacharie), que j'avais vu auparavant au Parc, c'était un grand (pour l'époque) costaud, très difficile à passer balle au pied (t'avais intérêt à savoir esquiver ou sauter), et avec un très bon jeu de tête défensif. C'était un de ceux, derrière, qui "balançait" le moins de long ballons devant. Duguauguez (l'entraîneur emblématique de la grande époque sedanaise) ne plaisantait pas quant à l'engagement physique de son équipe. Equipe qui à cette époque était, comment dire, très rugueuse (les ardents ardennais !). On était loin du football champagne de Reims, du football très "élaboré" de Sainté/Snella en 57 (pour le 1er titre), ou de celui très plaisant (mais aussi très inconstant) du Racing (de Paris) avec Ujlaki à la baguette. Maintenant si ça ne te suffit pas, j'en ai des tonnes (des souvenirs), mais là nous ne sommes pas dans le bon sujet.

Impressionnant, cette mémoire !

ozzy a écrit :Impressionnant, cette mémoire !

Je dirais surtout sacrés parents visionnaires,
emmener son fils voir une finale de Coupe de France et supporter une équipe alors totalement inconnue,
même si c'était certainement moins cher que maintenant et qu'on pouvait emmener le pique-nique et le kilbus, chapeau bas

Matrick a écrit :

ozzy a écrit :Impressionnant, cette mémoire !

Je dirais surtout sacrés parents visionnaires,
emmener son fils voir une finale de Coupe de France et supporter une équipe alors totalement inconnue,
même si c'était certainement moins cher que maintenant et qu'on pouvait emmener le pique-nique et le kilbus, chapeau bas

Alors là tu n'y est pas du tout. La Finale de la Coupe de France à Colombes c'était une chouette journée de foot (en plus d'échapper aux dimanches familiaux mortifères, quand tu es déjà un jeune homme). Au programme : le matin, tu avais sur les terrains annexes de Colombes, le Concours du Jeune Footballeur; à 13h, il me semble, en lever de rideau, la Finale de la Coupe Nationale des Cadets (par Ligues, pas par Clubs); puis la Grande Finale; et en prime, en baisser de rideau, tu avais la Finale de la Gambardella. Et tout ça pour pas un rond, parce qu'avec mon pote, on savait se "glisser" dans la foule. Mais à l'époque c'était fastoche, parce que la maison Poulaga était plutôt débonnaire (et peu nombreuse). C'était Jour de Fête pour ceux qui aimaient le foot.

Arcade a écrit :

Matrick a écrit :

ozzy a écrit :Impressionnant, cette mémoire !

Je dirais surtout sacrés parents visionnaires,
emmener son fils voir une finale de Coupe de France et supporter une équipe alors totalement inconnue,
même si c'était certainement moins cher que maintenant et qu'on pouvait emmener le pique-nique et le kilbus, chapeau bas

Alors là tu n'y est pas du tout. La Finale de la Coupe de France à Colombes c'était une chouette journée de foot (en plus d'échapper aux dimanches familiaux mortifères, quand tu es déjà un jeune homme). Au programme : le matin, tu avais sur les terrains annexes de Colombes, le Concours du Jeune Footballeur; à 13h, il me semble, en lever de rideau, la Finale de la Coupe Nationale des Cadets (par Ligues, pas par Clubs); puis la Grande Finale; et en prime, en baisser de rideau, tu avais la Finale de la Gambardella. Et tout ça pour pas un rond, parce qu'avec mon pote, on savait se "glisser" dans la foule. Mais à l'époque c'était fastoche, parce que la maison Poulaga était plutôt débonnaire (et peu nombreuse). C'était Jour de Fête pour ceux qui aimaient le foot.

Merci pour ces souvenirs.

Ce qui est visionnaire, c'est surtout de s'etre attarde sur un joueur comme Zacharie Noah en 1961 et avant. Il est surtout devenu connu grace a Yannick, bien après, non ? Ou il etait deja connu ?
Un peu comme si un nantais faisait une description precise de Beaufreton en 2035 ?

Décés de Roberto Cabanas, joueur de Brest et de la banlieue !!! surnommé El Mago

Borotj42 a écrit :Décés de Roberto Cabanas, joueur de Brest et de la banlieue !!! surnommé El Mago

il avait été recruté dans un club qui appartenait au cartel de cali à l'époque, ci dessous un article d'un vieux so foot qui retrace cette histoire :

C'est dans une équipe brestoise qui fonctionne à la débrouille, en vivant «?au-dessus de ses moyens?» , comme le consent François Yvinec, alors président du club finistérien, que Roberto Cabañas débarque en janvier 1988. Emmenés par ses jeunes Paul Le Guen, Vincent Guérin ou Patrick Colleter, le club galère en championnat et, malgré l'arrivée du Paraguayen, est relégué en deuxième division. Mais le Brest Armorique a des ressources, plus ou moins licites, et remonte aussitôt en première division, grâce aux vingt et un buts inscrits par Cabañas. La saison suivante, la première complète en D1 pour l'une des stars du Mondial 86, il inscrit neuf buts, et installe les Bretons à une confortable 10e place. Avant de s'envoler pour Lyon, qui débourse quelque quinze millions de francs pour s'attacher ses services, une folie pour l'époque. Mais comment le modeste club breton a réussi à attirer un tel joueur dans sa rade ? Dans le numéro 68 de So Foot, paru en septembre 2009, François Yvinec raconte.

L’affaire Cabañas par François Yvinec

«?Dans le contrat de Cabañas, il y avait une signature qui n’était pas la bonne, visiblement. Mais il y avait la mienne qui était à la bonne place. Et j’étais d’accord pour une certaine somme. La Sodiba (un pool d'investisseurs bretons, qui tente à l'époque de garder le Brest Armorique à flots, ndlr) avait mis l’argent pour acheter le contrat de Cabañas. On avait besoin de ce joueur à la pointe de l’attaque. L’América Cali avait perdu un autre attaquant et jouait la finale de Copa Libertadores. Peut-être ont-ils fait une manœuvre pour garder Cabañas ? Toujours est-il qu’il n’était plus d’accord pour le transfert, et que moi, je suis allé les voir pour réclamer ce qui était dû au club. J’étais déjà venu deux fois pour finaliser ce transfert. J’y suis retourné une troisième fois. Le président du club était aux ordres du propriétaire, Miguel Rodríguez, le frère cadet du chef du cartel de Cali. Il ne demandait plus 550 000 dollars, mais un million. Pour gagner du temps, l’América Cali a porté plainte contre moi. Il faut savoir que la justice dans ce pays était sous le joug de ces gens-là. J’ai été assigné à résidence, mais je restais en contact avec la presse. Au début, j’étais surveillé, voire chassé, mais grâce à l’intervention du gouvernement français, je me suis retrouvé toujours "prisonnier", mais protégé par deux gardes du corps. Pour me déplacer, j’étais toujours à l’arrière au centre de la voiture, derrière des vitres de douze millimètres d’épaisseur. En contact permanent avec l’ambassade française. L’affaire traînait en longueur et, pendant ce temps, dans la panique, les gens du club ont fait signer Tapia, un Argentin qui n’avait pas du tout le profil recherché. D’une part, il doublonnait avec un excellent jeune, Vincent Guérin, et d’autre part, son arrivée a empêché Cabañas de jouer quand il est enfin arrivé à cause des limites de joueurs extracommunautaires. Bref, en Colombie, j’étais avec Gérard Etcheverry, un journaliste de L’Équipe, Maïté Lopez, ma traductrice, et Roberto Cabañas. Eux sont partis de leur côté, directement à Caracas. La FIFA nous ayant donné raison, je n’avais plus rien à faire là-bas. Je me suis donc enfui, même si mon affaire judiciaire continuait. J’avais autre chose à faire que rester là-bas à camper. Comme ce n’était pas la première fois que j’y allais, j’avais repéré des endroits par lesquels on pouvait fuir. J’ai dit à l’ambassade de France : "Je pars." J’ai quitté Bogota pour Barranquilla, où j’ai échangé mon billet avec un avocat – le contrôle aérien et celui des voyageurs n’étaient pas le même qu’aujourd’hui, j’ai pu prendre un billet sous le nom de cet avocat et embarquer pour le Panama. Puis, facilement, j’ai rejoint les autres à Caracas, puis l’Espagne et enfin Brest.?» Une fuite de Colombie épique qu’Allain Guilloux, successeur éphémère d’Yvinec à la tête du club, met en doute dans son livre Les 4 vérités du football français.

Par Mathias EdwardsPropos recueillis par Vincent Ruellan et extraits du So Foot #68

Mike Connors, alias Mannix, le célèbre détective privé Joe Mannix à la TV, dans les années 1969, est mort jeudi en Californie d'une leucémie,il avait 91 ans. Il était le cousin de Charles Aznavour car son vrai nom est Krekor Ohanian.

rayonvert a écrit :Mike Connors, alias Mannix, le célèbre détective privé Joe Mannix à la TV, dans les années 1969, est mort jeudi en Californie d'une leucémie,il avait 91 ans. Il était le cousin de Charles Aznavour car son vrai nom est Krekor Ohanian.

...c'etait mon héros ... j'avais son petit colt noir sur moi partout dans la maison .. sa secrétaire et amie était sympa et mignonne comme tout en plus ...