Quasi kif-kif même si comme je l'ai dit plusieurs fois la politique paloise est honteuse et comme je l'ai dit plusieurs fois : j'en arrive à me réjouir des défaites paloises :roll: en même temps si Mahinmi fait 4 fautes en 3 minutes à chaque match alors....vinsanity a écrit :Ca y est c'est mort pour Pau qui a pourtant longtemps été en tête durant le match avant de fléchir dans le dernier quart temps ... défaite au final 74-70. 20pts 5rbds de Johnsen ... qui en a mis 0 en seconde période. 12pts 10rbds de Greer. 15pts 3ast de Aaron Miles. 2pts "francais" pour Pau par Mahinmi ^^
Dire qu'après on nous bassine avec les US de Roanne :lol:
Pau, équipe de CBA ?
[Basket] Reprise saison NBA
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
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Greengexois exilé
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"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
Superbe match du SEB et une victoire 94-73 face au second de ProB !
Une victoire fondée sur une grosse adresse mais aussi et surtout à mon avis sur une grosse domination aux rebonds. J'avoue que je l'avais pressenti à l'a vue de l'effectif relativement petit de Nanterre
Le staff avait excellemment scouté Nanterre. Ils ont coupé leur ligne de passe et le jeu extérieur de belle manière, et ils ont été obligé de venir nous défier dans la peinture, et avec Coombs, Phillips Rey et Passave en forme ce n'était pas chose aisée :shock:
Excellent jeu collectif du SEB, toujours la passe en plus pour libérer un joueur. C'était vraiment du très très beau basket. Et honnêtement, dès la première mi-temps on a senti que le SEB était parti pour réaliser un grand match. Y'a qu'à voir le panier de Doreau à 3pts en déséquilibre en sortie d'écran ... à la Reggie Miller. On ne pouvait pas perdre ce soir.
Belle ambiance au Stadium ce soir avec un petit noyau de fidèles bénévoles toujours aussi bruyant et qui a emballé la salle dans les moments chauds. Félicitaions et un grand merci à eux ...
Photos en vidéos à venir
Une victoire fondée sur une grosse adresse mais aussi et surtout à mon avis sur une grosse domination aux rebonds. J'avoue que je l'avais pressenti à l'a vue de l'effectif relativement petit de Nanterre
Le staff avait excellemment scouté Nanterre. Ils ont coupé leur ligne de passe et le jeu extérieur de belle manière, et ils ont été obligé de venir nous défier dans la peinture, et avec Coombs, Phillips Rey et Passave en forme ce n'était pas chose aisée :shock:
Excellent jeu collectif du SEB, toujours la passe en plus pour libérer un joueur. C'était vraiment du très très beau basket. Et honnêtement, dès la première mi-temps on a senti que le SEB était parti pour réaliser un grand match. Y'a qu'à voir le panier de Doreau à 3pts en déséquilibre en sortie d'écran ... à la Reggie Miller. On ne pouvait pas perdre ce soir.
Belle ambiance au Stadium ce soir avec un petit noyau de fidèles bénévoles toujours aussi bruyant et qui a emballé la salle dans les moments chauds. Félicitaions et un grand merci à eux ...
Photos en vidéos à venir
Voilà les vidéos :
01 - Doreau à 3pts
02 - Raté de Melody seul au monde
03 - Phillips avec la faute
04 - Melody à 3pts
05 - Melody rate à l'intérieur
06 - Rey prend le rebond
07 - Illustration de la domination aux rebonds
08 - La suite avec Phillips à 2pts
09 - Superbe panier fade away de Phillips
10 - Les 2pts de Coffi
01 - Doreau à 3pts
02 - Raté de Melody seul au monde
03 - Phillips avec la faute
04 - Melody à 3pts
05 - Melody rate à l'intérieur
06 - Rey prend le rebond
07 - Illustration de la domination aux rebonds
08 - La suite avec Phillips à 2pts
09 - Superbe panier fade away de Phillips
10 - Les 2pts de Coffi
Résumé et quelques photos du grand match du SEB ...
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?st ... ArtTypId=5
En éspérant que ce soit de bonne augure
http://zoom42.fr/actu/ACT_detail.asp?st ... ArtTypId=5
En éspérant que ce soit de bonne augure
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TitusPullo77
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7èmeKarras - n°15 a écrit :Au classement ça donne quoi ?
http://www.lequipe.fr/Basket/CLA_PROB.html
C'est quand même un championnat très très serré, non ?
9 points seulement entre le 1er et le dernier :shock:
7ème avant les matchs de ce soir ... donc dans le pire des cas on sera 9ème. Le nombre de points ne signifie pas grand chose en basket vu que la victoire est à 2 et la défaite à 1pt. 9pts ça veut surtout dire 9 défaites de plus pour le dernier, et en foot avec la victoire à 3pts et la défaite à 0 ça donnerait 27pts d'écart. Ce qui est déjà plus raisonnable :lol:
Le plus impressionnant ce sont les 10 équipes qui se tiennent en 4 victoires de la 3ème à la 13ème place. Une fois de plus tout est encore possible pour le SEB. En jouant comme hier, je vois pas qui peut les inquiéter à domicile.
Le plus impressionnant ce sont les 10 équipes qui se tiennent en 4 victoires de la 3ème à la 13ème place. Une fois de plus tout est encore possible pour le SEB. En jouant comme hier, je vois pas qui peut les inquiéter à domicile.
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Couramiaud
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vinsanity a écrit :7ème avant les matchs de ce soir ... donc dans le pire des cas on sera 9ème. Le nombre de points ne signifie pas grand chose en basket vu que la victoire est à 2 et la défaite à 1pt. 9pts ça veut surtout dire 9 défaites de plus pour le dernier, et en foot avec la victoire à 3pts et la défaite à 0 ça donnerait 27pts d'écart. Ce qui est déjà plus raisonnable :lol:
Le plus impressionnant ce sont les 10 équipes qui se tiennent en 4 victoires de la 3ème à la 13ème place. Une fois de plus tout est encore possible pour le SEB. En jouant comme hier, je vois pas qui peut les inquiéter à domicile.
Le SEB a réalisé un très gros match hier avec une adresse énorme. Je souhaite que cela dur. Pas sur toutefois que les hommes à Thinet parviennent à produire le même type de prestation à chaque rencontre. En tout cas c'est quand même très encourageant et c'est avec ce genre de rencontre que l'on se rend compte que l'on a une ligne arrière très forte.
Les Spurs sur le grand huit
On n'arrête plus San Antonio! Les Rockets en ont ainsi fait les frais lors d'un derby texan aisément dominé par les Spurs, vainqueurs 74-97 à Houston pour un huitième succès consécutif, et marqué par les 26 points de Tim Duncan et l'absence de Tony Parker, douleur à une hanche oblige. Pas de quoi néanmoins contester la suprématie des voisins de Dallas, les Mavs, tombeurs 103-98 d'Orlando grâce à 29 points de Jason Terry, en étant, eux, à 15 victoires de rang. A l'est, LeBron James, 36 points au compteur, a fait chuter les Raptors 120-97.
Le match
Les huit victoires consécutives décrochées par ses ouailles, une première pour les Spurs cette saison, n'ont évidemment pas changé Gregg Popovich. Si l'entraîneur texan ne manquait pas de féliciter des joueurs à l'issue de la démonstration offerte pour ce derby texan face aux Rockets: "On a joué du très bon basket, spécifiquement en défense. Tout le monde a été impliqué et c'est le plus important.", Pop prenait toutefois la peine de relativiser cette victoire : "Mais il ne faut pas oublier qu'on a joué une équipe grandement diminuer par les absences. Je pense notamment que Yao Ming joué comme un MVP avant de se blesser." L'intérieur chinois, qui refait ses gammes depuis deux semaines et qui pourrait faire son retour au cours du mois, appréciera le compliment.
En attendant, s'il en est un qui méritait bien des louanges à l'issue de cette confrontation entre voisins forcément passionnée, le Toyota Center affichant d'ailleurs pour l'occasion sa deuxième plus forte affluence de son histoire, il s'agit bien de Tim Duncan. Le double MVP a en effet marqué la rencontre de son talent. Auteur de ses cinq premiers tirs, le natif des Iles Vierges a ainsi scellé le sort de la rencontre dès le premier quart, les Spurs profitant en effet de ses 15 points inscrits au cours de cette ouverture en fanfare pour s'échapper 30-15 et se dessiner une les contours d'une soirée paisible. Car les visiteurs n'avaient dès lors plus qu'à entretenir l'écart sur les bases d'une défense solide, leurs hôtes devant se contenter d'un timide 38% de réussite aux tirs. Et Manu Ginobili avait beau connaître un jour sans avec un piètre 1 sur 8 aux tirs, Tony Parker être absent, Duncan assurait l'essentiel et terminait la rencontre avec 26 points à 10 sur 14 en 27 minutes.
"On se sent toujours bien quand on inscrit ses premiers tirs. Cela rend le reste du match bien plus facile et j'ai pu avoir confiance en mon tir durant tout le match." pouvait savourer la vedette texane après coup. D'autant qu'il avait entraîné dans son sillage son colistier intérieur Francisco Elson, auteur pour sa part de 13 points à 4 sur 7 et 8 rebonds. Ajoutez-y 14 et 12 points des doublures Michael Finley et Beno Udrih et le compte des Rockets était bon. Car si Tracy McGrady avait bien tenté d'entretenir l'espoir au cours de la première période avec 21 points inscrits avant le passage aux vestiaires, T-Mac devenait à son tour muet et le calvaire des hommes de Jeff Van Gundy reprenait de plus belle après la pause pour ne s'achever qu'au coup de sifflet final. Les Clippers, prochains hôtes des Spurs, ce lundi, son prévenus...
Les Français
Soirée blanche pour les Tricolores de la Ligue. Car non seulement, il n'y avait que Tony Parker au programme de la nuit, mais l'ancien Parisien s'est, lui, contenté de suivre du banc la démonstration de ses coéquipiers lors du derby face à Houston, la faute à une hanche gauche douloureuse, souvenir du succès décroché, la veille, face au Magic.
Aussi faudra-t-il attendre ce dimanche pour voir la colonie bleue arpenter les parquets de la Ligue. Car si Boris Diaw, douleurs lombaires récalcitrantes obligent, pourrait à nouveau manquer à ses Suns pour la réception des Lakers, Ronny Turiaf devrait être de la partie. Il en est de même pour le duo des Sonics Mickael Gelabale-Johan Petro, hôtes des Bobcats ce dimanche, et pour Mickael Pietrus, en visite dans la capitale fédérale avec ses Warriors afin d'éviter une sixième défaite de rang...
La statistique
Et un qui fait 15. En disposant, non sans mal, du Magic 103-98, les Mavericks millésime 2007 ont écrit une nouvelle page dans le livre d'histoire de la franchise texane puisque Dirk Nowitzki et ses coéquipiers ont battu un nouveau record pour le club avec désormais 15 succès consécutifs. Des Mavs qui ont évidemment pu compter sur l'abattage de leur intérieur allemand pour mater les Floridiens, Nowitzki compilant en effet 24 points, 9 rebonds et 7 passes. Pas suffisant néanmoins, une fois n'est pas coutume, pour voler la vedette à son meneur Jason Terry, meilleur marqueur du match avec 29 points à 11 sur 17 en plus de ses 15 passes. Il fallait bien ça pour venir à bout du Magic et de Dwight Howard en particulier, l'intérieur rendant 25 points et 10 rebonds, les Texans ne faisant d'ailleurs la différence que dans les deux dernières minutes grâce à un 5-0 et notamment une action à trois points de Josh Howard.
Le joueur
Choc de dauphins dans la conférence est, la confrontation entre Cleveland et Toronto a tourné à une démonstration des Cavaliers en général et de LeBron James en particulier. Car si les troupes de l'Ohio l'ont aisément emporté 120-97 pour conforter ainsi leur deuxième place dans la conférence est, elles le doivent bien à leur maître à jouer King James, auteur de 36 points, 6 passes et 5 rebonds pour un troisième match consécutif à plus de 30 points et une moyenne de 33,6 points sur les sept derniers matches. «Je dois aller vers l'arceau et rentrer mes lancers-francs. C'est ce qui s'est passé ce soir et je dois continuer comme ça.» pouvait expliquer après coup le héros de la soirée, auteur d'un 10 sur 20 aux tirs et d'un 15 sur 17 sur la ligne des lancers en 37 minutes. De quoi inspirer son partenaire Larry Hugues qui a suivi avec 27 points, Anderson Varejao complétant, lui, le tableau avec 14 points et 11 rebonds. De quoi, surtout, rendre vains les 25 points de Chris Bosh ou les 24 de Juan Dixon.
A noter également la performance de Stephon Marbury lors du précieux succès arraché en prolongation par les Knicks chez les Hawks 100-104, le meneur new yorkais signant 38 points et 9 passes pour porter les siens vers la victoire avec notamment 11 points inscrits au cours de la seule prolongation. Son compère Steve Francis n'a d'ailleurs pas été en reste avec, lui, 26 points scorés, les deux hommes inscrivant 33 des 35 derniers points des New Yorkais...
www.sports.fr
On n'arrête plus San Antonio! Les Rockets en ont ainsi fait les frais lors d'un derby texan aisément dominé par les Spurs, vainqueurs 74-97 à Houston pour un huitième succès consécutif, et marqué par les 26 points de Tim Duncan et l'absence de Tony Parker, douleur à une hanche oblige. Pas de quoi néanmoins contester la suprématie des voisins de Dallas, les Mavs, tombeurs 103-98 d'Orlando grâce à 29 points de Jason Terry, en étant, eux, à 15 victoires de rang. A l'est, LeBron James, 36 points au compteur, a fait chuter les Raptors 120-97.
Le match
Les huit victoires consécutives décrochées par ses ouailles, une première pour les Spurs cette saison, n'ont évidemment pas changé Gregg Popovich. Si l'entraîneur texan ne manquait pas de féliciter des joueurs à l'issue de la démonstration offerte pour ce derby texan face aux Rockets: "On a joué du très bon basket, spécifiquement en défense. Tout le monde a été impliqué et c'est le plus important.", Pop prenait toutefois la peine de relativiser cette victoire : "Mais il ne faut pas oublier qu'on a joué une équipe grandement diminuer par les absences. Je pense notamment que Yao Ming joué comme un MVP avant de se blesser." L'intérieur chinois, qui refait ses gammes depuis deux semaines et qui pourrait faire son retour au cours du mois, appréciera le compliment.
En attendant, s'il en est un qui méritait bien des louanges à l'issue de cette confrontation entre voisins forcément passionnée, le Toyota Center affichant d'ailleurs pour l'occasion sa deuxième plus forte affluence de son histoire, il s'agit bien de Tim Duncan. Le double MVP a en effet marqué la rencontre de son talent. Auteur de ses cinq premiers tirs, le natif des Iles Vierges a ainsi scellé le sort de la rencontre dès le premier quart, les Spurs profitant en effet de ses 15 points inscrits au cours de cette ouverture en fanfare pour s'échapper 30-15 et se dessiner une les contours d'une soirée paisible. Car les visiteurs n'avaient dès lors plus qu'à entretenir l'écart sur les bases d'une défense solide, leurs hôtes devant se contenter d'un timide 38% de réussite aux tirs. Et Manu Ginobili avait beau connaître un jour sans avec un piètre 1 sur 8 aux tirs, Tony Parker être absent, Duncan assurait l'essentiel et terminait la rencontre avec 26 points à 10 sur 14 en 27 minutes.
"On se sent toujours bien quand on inscrit ses premiers tirs. Cela rend le reste du match bien plus facile et j'ai pu avoir confiance en mon tir durant tout le match." pouvait savourer la vedette texane après coup. D'autant qu'il avait entraîné dans son sillage son colistier intérieur Francisco Elson, auteur pour sa part de 13 points à 4 sur 7 et 8 rebonds. Ajoutez-y 14 et 12 points des doublures Michael Finley et Beno Udrih et le compte des Rockets était bon. Car si Tracy McGrady avait bien tenté d'entretenir l'espoir au cours de la première période avec 21 points inscrits avant le passage aux vestiaires, T-Mac devenait à son tour muet et le calvaire des hommes de Jeff Van Gundy reprenait de plus belle après la pause pour ne s'achever qu'au coup de sifflet final. Les Clippers, prochains hôtes des Spurs, ce lundi, son prévenus...
Les Français
Soirée blanche pour les Tricolores de la Ligue. Car non seulement, il n'y avait que Tony Parker au programme de la nuit, mais l'ancien Parisien s'est, lui, contenté de suivre du banc la démonstration de ses coéquipiers lors du derby face à Houston, la faute à une hanche gauche douloureuse, souvenir du succès décroché, la veille, face au Magic.
Aussi faudra-t-il attendre ce dimanche pour voir la colonie bleue arpenter les parquets de la Ligue. Car si Boris Diaw, douleurs lombaires récalcitrantes obligent, pourrait à nouveau manquer à ses Suns pour la réception des Lakers, Ronny Turiaf devrait être de la partie. Il en est de même pour le duo des Sonics Mickael Gelabale-Johan Petro, hôtes des Bobcats ce dimanche, et pour Mickael Pietrus, en visite dans la capitale fédérale avec ses Warriors afin d'éviter une sixième défaite de rang...
La statistique
Et un qui fait 15. En disposant, non sans mal, du Magic 103-98, les Mavericks millésime 2007 ont écrit une nouvelle page dans le livre d'histoire de la franchise texane puisque Dirk Nowitzki et ses coéquipiers ont battu un nouveau record pour le club avec désormais 15 succès consécutifs. Des Mavs qui ont évidemment pu compter sur l'abattage de leur intérieur allemand pour mater les Floridiens, Nowitzki compilant en effet 24 points, 9 rebonds et 7 passes. Pas suffisant néanmoins, une fois n'est pas coutume, pour voler la vedette à son meneur Jason Terry, meilleur marqueur du match avec 29 points à 11 sur 17 en plus de ses 15 passes. Il fallait bien ça pour venir à bout du Magic et de Dwight Howard en particulier, l'intérieur rendant 25 points et 10 rebonds, les Texans ne faisant d'ailleurs la différence que dans les deux dernières minutes grâce à un 5-0 et notamment une action à trois points de Josh Howard.
Le joueur
Choc de dauphins dans la conférence est, la confrontation entre Cleveland et Toronto a tourné à une démonstration des Cavaliers en général et de LeBron James en particulier. Car si les troupes de l'Ohio l'ont aisément emporté 120-97 pour conforter ainsi leur deuxième place dans la conférence est, elles le doivent bien à leur maître à jouer King James, auteur de 36 points, 6 passes et 5 rebonds pour un troisième match consécutif à plus de 30 points et une moyenne de 33,6 points sur les sept derniers matches. «Je dois aller vers l'arceau et rentrer mes lancers-francs. C'est ce qui s'est passé ce soir et je dois continuer comme ça.» pouvait expliquer après coup le héros de la soirée, auteur d'un 10 sur 20 aux tirs et d'un 15 sur 17 sur la ligne des lancers en 37 minutes. De quoi inspirer son partenaire Larry Hugues qui a suivi avec 27 points, Anderson Varejao complétant, lui, le tableau avec 14 points et 11 rebonds. De quoi, surtout, rendre vains les 25 points de Chris Bosh ou les 24 de Juan Dixon.
A noter également la performance de Stephon Marbury lors du précieux succès arraché en prolongation par les Knicks chez les Hawks 100-104, le meneur new yorkais signant 38 points et 9 passes pour porter les siens vers la victoire avec notamment 11 points inscrits au cours de la seule prolongation. Son compère Steve Francis n'a d'ailleurs pas été en reste avec, lui, 26 points scorés, les deux hommes inscrivant 33 des 35 derniers points des New Yorkais...
www.sports.fr
Cet après midi Pau bat l'ASVEL 95-81 avec 12pts 7rbds 4int du géorgien :roll: Melvin Sanders et 8pts par des joueurs francais :lol:
Ca va jazzer du coté de l'astroballe ... déjà que avant le match c'était tendu (http://www.asvel.com/index2.php?n=921)
Ca va jazzer du coté de l'astroballe ... déjà que avant le match c'était tendu (http://www.asvel.com/index2.php?n=921)
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TitusPullo77
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- Localisation : En bordure de forêt de Fontainebleau
Eh ben non, toujours 7ème.vinsanity a écrit :7ème avant les matchs de ce soir ... donc dans le pire des cas on sera 9ème. Le nombre de points ne signifie pas grand chose en basket vu que la victoire est à 2 et la défaite à 1pt. 9pts ça veut surtout dire 9 défaites de plus pour le dernier, et en foot avec la victoire à 3pts et la défaite à 0 ça donnerait 27pts d'écart. Ce qui est déjà plus raisonnable :lol:
Le plus impressionnant ce sont les 10 équipes qui se tiennent en 4 victoires de la 3ème à la 13ème place. Une fois de plus tout est encore possible pour le SEB. En jouant comme hier, je vois pas qui peut les inquiéter à domicile.
Mais que c'est serré !
http://www.lequipe.fr/Basket/CLA_PROB.html
Bilba tire sa révérence
Jim Bilba a annoncé lundi qu’il mettra un terme à sa carrière à l’issue du la saison. A 38 ans, le capitaine de Cholet-Basket laissera une trace indélébile dans l’histoire du basket tricolore.
Les supporters de la Meilleraie le sentaient venir depuis quelques mois déjà mais personne ne voulait vraiment y croire. Lundi matin, au surlendemain d’une belle victoire acquise contre le champion en titre, Strasbourg (69-50), la nouvelle est tombée. Jim Bilba joue sa dernière saison à Cholet, sa dernière saison tout court. C’est que l’intéressé n’a plus 20 ans. Le 17 avril prochain, le Guadeloupéen fêtera en effet ses 39 printemps. Après deux décennies au plus haut niveau, celui que l’on surnommait «Trampoline», en référence à sa belle détente au début des années 90, a décidé de raccrocher. « Il faut savoir dire stop et arrêter quand il le faut», a simplement expliqué l’ancien joueur de Villeurbanne en conférence de presse lundi. Logiquement moins incisif que par le passé, le poids des ans faisant son œuvre, Bilba tourne encore cette saison à 4 points, 3 rebonds et 2 passes en 21 minutes de jeu en moyenne. Mais même à la maison – il était revenu dans les Mauges en 2002, 10 ans après avoir quitté le nid - la lassitude peut parfois prendre le dessus sur la motivation.
Un parcours exceptionnel
Pur produit de la grande école de basket choletaise, l’ancien coéquipier d’Antoine Rigaudeau explose sur la scène nationale et européenne sous les couleurs de Limoges qu’il rejoint en 1992. Sous la houlette du gourou serbe Bozidar Maljkovic, Bilba est l’un des acteurs majeurs de la victoire en Coupe d’Europe face à Trévise le 15 avril 1993. Ce soir-là à Athènes, l’ailier limougeaud n’avait pas tremblé au moment de rentrer ses deux lancers-francs en toute fin de rencontre... Deux titres de champion et deux coupes de France plus tard, Bilba quitte les bords de la Vienne pour Villeurbanne.
Chez les Vert et Blanc, l’international tricolore remporte encore deux coupes nationales (1997 et 2001) mais échoue trois fois en finale du championnat (1997, 1999 et 2000). Blessé, il ne participe pas au Final Four de l’Euroligue en 1997 où les hommes de Greg Beugnot échouent contre le FC Barcelone en demies. Parti tenter l’aventure grecque à l’AEK Athènes en 2001, Bilba décroche le titre national et revient à Cholet après un bref passage par Vitoria en Espagne. C’est finalement dans les Mauges qu’il terminera sa carrière. Nanti d’un des plus beaux palmarès du basket français, le Choletais n’oubliera jamais «la médaille d'argent aux Jeux Olympiques de Sydney en 2000», son plus beau souvenir sous un maillot bleu qu’il a porté à 167 reprises entre 1989 et 2001. Le 24 juin prochain, tout Cholet célèbrera son jubilé à la Meilleraie. Et si les ressorts de Trampoline ne sont plus ce qu’ils étaient, celui-ci attend désormais de rencontrer ses dirigeants pour étudier comment il va rebondir, une fois de plus.
Palmarès de Jim Bilba :
2001/2002 : Champion de Grèce (AEK Athènes)
2000/2001 : Vainqueur de la Coupe de France (ASVEL)
MVP du All Star Game a Antibes
MVP Français (Référendum Maxi Basket)
1999/2000 : Vice-champion de France (Asvel)
All Star Game à Nancy
Eurostar à Moscou (Equipe de l'Ouest)
1998/1999 : Vice-champion de France (Asvel)
All Star Game à Paris (10ème participation)
1997/1998 : MVP Français (Référendum Maxi Basket)
All Star Game à Dijon
1996/1997 : Vice-champion de France (Asvel)Vainqueur Coupe de France
Final Four Euroligue à Rome
MVP Français (Référendum L'Equipe)
All Star Game à Montpellier
1995/1996 : All Star Game à Villeurbanne
1994/1995 : Vainqueur Coupe de France (Limoges)
All Star Game à Pau-Orthez
Joueur le plus adroit de ProA : 66,8%
1993/1994 : Champion de France ProA (Limoges)
Vainqueur Coupe de France
All Star Game à Tours
1992/1993 : Champion d'Europe (Limoges)
Champion de France ProA
All Star Game à Evreux
1991/1992 : All Star Game à Gravelines
1990/1991 : All Star Game à Pau-Orthez
1989/1990 : All Star Game à Nancy
1988/1989 : Champion de France Espoirs (Cholet Basket)
Vainqueur du Trophée du Futur
Vice-champion de France ProA
1987/1988 : Champion de France Espoirs (Cholet Basket)
www.sport24.fr
Jim Bilba a annoncé lundi qu’il mettra un terme à sa carrière à l’issue du la saison. A 38 ans, le capitaine de Cholet-Basket laissera une trace indélébile dans l’histoire du basket tricolore.
Les supporters de la Meilleraie le sentaient venir depuis quelques mois déjà mais personne ne voulait vraiment y croire. Lundi matin, au surlendemain d’une belle victoire acquise contre le champion en titre, Strasbourg (69-50), la nouvelle est tombée. Jim Bilba joue sa dernière saison à Cholet, sa dernière saison tout court. C’est que l’intéressé n’a plus 20 ans. Le 17 avril prochain, le Guadeloupéen fêtera en effet ses 39 printemps. Après deux décennies au plus haut niveau, celui que l’on surnommait «Trampoline», en référence à sa belle détente au début des années 90, a décidé de raccrocher. « Il faut savoir dire stop et arrêter quand il le faut», a simplement expliqué l’ancien joueur de Villeurbanne en conférence de presse lundi. Logiquement moins incisif que par le passé, le poids des ans faisant son œuvre, Bilba tourne encore cette saison à 4 points, 3 rebonds et 2 passes en 21 minutes de jeu en moyenne. Mais même à la maison – il était revenu dans les Mauges en 2002, 10 ans après avoir quitté le nid - la lassitude peut parfois prendre le dessus sur la motivation.
Un parcours exceptionnel
Pur produit de la grande école de basket choletaise, l’ancien coéquipier d’Antoine Rigaudeau explose sur la scène nationale et européenne sous les couleurs de Limoges qu’il rejoint en 1992. Sous la houlette du gourou serbe Bozidar Maljkovic, Bilba est l’un des acteurs majeurs de la victoire en Coupe d’Europe face à Trévise le 15 avril 1993. Ce soir-là à Athènes, l’ailier limougeaud n’avait pas tremblé au moment de rentrer ses deux lancers-francs en toute fin de rencontre... Deux titres de champion et deux coupes de France plus tard, Bilba quitte les bords de la Vienne pour Villeurbanne.
Chez les Vert et Blanc, l’international tricolore remporte encore deux coupes nationales (1997 et 2001) mais échoue trois fois en finale du championnat (1997, 1999 et 2000). Blessé, il ne participe pas au Final Four de l’Euroligue en 1997 où les hommes de Greg Beugnot échouent contre le FC Barcelone en demies. Parti tenter l’aventure grecque à l’AEK Athènes en 2001, Bilba décroche le titre national et revient à Cholet après un bref passage par Vitoria en Espagne. C’est finalement dans les Mauges qu’il terminera sa carrière. Nanti d’un des plus beaux palmarès du basket français, le Choletais n’oubliera jamais «la médaille d'argent aux Jeux Olympiques de Sydney en 2000», son plus beau souvenir sous un maillot bleu qu’il a porté à 167 reprises entre 1989 et 2001. Le 24 juin prochain, tout Cholet célèbrera son jubilé à la Meilleraie. Et si les ressorts de Trampoline ne sont plus ce qu’ils étaient, celui-ci attend désormais de rencontrer ses dirigeants pour étudier comment il va rebondir, une fois de plus.
Palmarès de Jim Bilba :
2001/2002 : Champion de Grèce (AEK Athènes)
2000/2001 : Vainqueur de la Coupe de France (ASVEL)
MVP du All Star Game a Antibes
MVP Français (Référendum Maxi Basket)
1999/2000 : Vice-champion de France (Asvel)
All Star Game à Nancy
Eurostar à Moscou (Equipe de l'Ouest)
1998/1999 : Vice-champion de France (Asvel)
All Star Game à Paris (10ème participation)
1997/1998 : MVP Français (Référendum Maxi Basket)
All Star Game à Dijon
1996/1997 : Vice-champion de France (Asvel)Vainqueur Coupe de France
Final Four Euroligue à Rome
MVP Français (Référendum L'Equipe)
All Star Game à Montpellier
1995/1996 : All Star Game à Villeurbanne
1994/1995 : Vainqueur Coupe de France (Limoges)
All Star Game à Pau-Orthez
Joueur le plus adroit de ProA : 66,8%
1993/1994 : Champion de France ProA (Limoges)
Vainqueur Coupe de France
All Star Game à Tours
1992/1993 : Champion d'Europe (Limoges)
Champion de France ProA
All Star Game à Evreux
1991/1992 : All Star Game à Gravelines
1990/1991 : All Star Game à Pau-Orthez
1989/1990 : All Star Game à Nancy
1988/1989 : Champion de France Espoirs (Cholet Basket)
Vainqueur du Trophée du Futur
Vice-champion de France ProA
1987/1988 : Champion de France Espoirs (Cholet Basket)
www.sport24.fr
Le tournoi NCAA, la march madness, approche à grand pas, alors avant de débuter cette période je vous propose de faire un petit tour du côté de l'actualité NCAA ...
L'affaire qui fait grand bruit en ce moment c'est la faute de Gerald Henderson sur Tyler Hansbrough lors du match North Carolina - Duke ... je vous laisse juger par vous même ...
Notons que le joueur après le coup qu'il a reçu reste à terre quelques secondes ... j'ose à peine imaginer la scène qu'il y aurait eut pour la même chsoe en foot
La polémique est autourde la nature de la faute ... volontaire ou pas ? Pour moi il est évident que oui ... la commentateur sur la vidéo tente d'expliquer qu'il joue le ballon, mais j'avoue que j'ai vraiment du mal à voir comment
Ceci étant, ce match Duke vs UNC est une grand classique de NCAA, deux des universités les plus préstigieuses de NCAA. Deux équipes qui se retrouveront peur être lors du tournoi final.
L'affaire qui fait grand bruit en ce moment c'est la faute de Gerald Henderson sur Tyler Hansbrough lors du match North Carolina - Duke ... je vous laisse juger par vous même ...
Notons que le joueur après le coup qu'il a reçu reste à terre quelques secondes ... j'ose à peine imaginer la scène qu'il y aurait eut pour la même chsoe en foot
La polémique est autourde la nature de la faute ... volontaire ou pas ? Pour moi il est évident que oui ... la commentateur sur la vidéo tente d'expliquer qu'il joue le ballon, mais j'avoue que j'ai vraiment du mal à voir comment
Ceci étant, ce match Duke vs UNC est une grand classique de NCAA, deux des universités les plus préstigieuses de NCAA. Deux équipes qui se retrouveront peur être lors du tournoi final.
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o_vert_seas1
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- Inscription : 03 août 2005, 13:13
alors qu'ils etaient revenus a 5 pts, les Strasbourgeois ont totalement craqué dans la fin de match . Battus 72 a 56, ils sont éliminés.
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Alors ça j'aimerais quand même bien qu'on m'explique. C'est pas parce que les règles veulent que quand on touche les bras il y ai faute que c'est un sport de fillette !!! Si y'a des fautes sur les bras, y'a pas de jeu, c'est tout. On peut pas jouer au basket en tapant sur les bras. Imaginez au foot qu'on soit tout le temps en train de donner des coups dans les jambes, par exemple au moment de frapper. Ca déséquilibre totalement le joueur.o_vert_seas1 a écrit :Oui, c'est un sport "de fillette", mais il est vrai qu'il n'est pas joué que par des fillettes
Je peux vous dire, que surtout en playground, les contacts au basket sont nettement plus durs qu'au foot. C'est beaucoup plus proche du handball dans ce domaine.
Dommage pour la SIG :sad:
Pau entretient l'espoir
Dans l'obligation de vaincre Rome mercredi soir lors de la 4e journée du Top 16 pour rester en vie en Euroligue, Pau-Orthez a rempli sa mission. Dans le Béarn, les hommes de Gordon Herbert ont battu les Italiens à l'issue d'un match très accroché (74-69), décrochant ainsi leur premier succès lors de cette deuxième phase. La victoire dans le même temps de Vitoria sur le Maccabi Tel-Aviv (94-73) permet aux Palois de rejoindre les Italiens à la troisième place du groupe D et de conserver leurs chances de rallier les quarts de finale de l'épreuve.
Mercredi soir, Pau-Orthez a réussi la première de ses trois missions. Sans victoire à l'issue des matches aller du Top 16 de l'Euroligue, les Béarnais, pour rallier les quarts de finale de la compétition, n'ont plus d'autre choix que de remporter leurs trois derniers matches, respectivement à domicile face Rome et au Maccabi Tel-Aviv, puis à Vitoria. A l'occasion de la première journée des matches retour, les Palois ont réussi à prendre, certes dans la douleur (74-69), leur revanche sur les Italiens de Rome qui les avaient battus de dix points (68-78) dans la capitale transalpine lors du match aller. Si les hommes de Gordon Herbert ne sont pas parvenus à récupérer le goal-average particulier, ils ont assuré l'essentiel en remportant le match qu'il ne fallait pas perdre pour rester en vie dans la compétition.
La victoire paloise combinée à la lourde défaite du Maccabi Tel-Aviv dans la salle de l'intouchable leader Vitoria (73-94) permet aux Français de recoller à une longueur des Israéliens qui viendront dans le Béarn jeudi prochain avec la deuxième place comme enjeu. Un succès des Palois face aux champions d'Europe 2004 et 2005, avant d'aller rendre visite à Vitoria lors de la dernière journée alors que les Espagnols sont d'ores et déjà qualifiés pour les quarts de finale, garantirait aux hommes du président Seillant un match décisif pour la qualification en terre basque... Pour entretenir cet espoir fou, les coéquipiers de Frédéric Fauthoux ont dû batailler ferme mercredi pour venir à bout de Rome. Si ce n'est une entame de feu qui a permis à Pau-Orthez de compter jusqu'à 12 longueurs d'avance (21-9, 8e) en fin de premier quart-temps, la rencontre s'est révélée très serrée, les deux équipes se livrant notamment à un joli chassé-croisé après la pause.
Ferchaud prend feu !
Menant de trois points (41-38) à la mi-temps grâce notamment à Melvin Sanders (15 points inscrits à la pause), les Palois concédaient un 7-0 d'entrée de troisième acte (41-45, 22e) qui jetait un froid dans les tribunes du Palais des Sports. Mais sous l'impulsion de Cédric Ferchaud notamment, l'ailier français étant dans un grand soir (14 points à 4 sur 7 à trois points), les Béarnais reprenaient les commandes du match (55-52, 30e). Le quatrième quart-temps était irrespirable. Michael Wright (15 points) répondait à Roberto Chiacig (14 points) à l'intérieur, tandis que Cédric Ferchaud inscrivait deux nouveaux tirs primés pour anéantir les espoirs de retour des Romains maintenus en vie par David Hawkins (9 points) et l'inusable Dejan Bodiroga (14 points).
Ne comptant plus qu'une longueur d'avance à l'entame de la dernière minute (70-69, 39e), les Palois géraient mieux le money-time et terminaient le travail grâce aux paniers de Michael Wright et Melvin Sanders (17 points). Incapables de marquer, les hommes de Jasmin Repesa, absent dans le Béarn car souffrant, concèdaient ainsi leur troisième revers en quatre matches avant de recevoir Vitoria la semaine prochaine dans ce qui constituera pour eux le match de la dernière chance. Pau-Orthez sera dans la même configuration face au Maccabi. Ce sera vaincre ou mourir. Une fois encore...
www.sports.fr
Dans l'obligation de vaincre Rome mercredi soir lors de la 4e journée du Top 16 pour rester en vie en Euroligue, Pau-Orthez a rempli sa mission. Dans le Béarn, les hommes de Gordon Herbert ont battu les Italiens à l'issue d'un match très accroché (74-69), décrochant ainsi leur premier succès lors de cette deuxième phase. La victoire dans le même temps de Vitoria sur le Maccabi Tel-Aviv (94-73) permet aux Palois de rejoindre les Italiens à la troisième place du groupe D et de conserver leurs chances de rallier les quarts de finale de l'épreuve.
Mercredi soir, Pau-Orthez a réussi la première de ses trois missions. Sans victoire à l'issue des matches aller du Top 16 de l'Euroligue, les Béarnais, pour rallier les quarts de finale de la compétition, n'ont plus d'autre choix que de remporter leurs trois derniers matches, respectivement à domicile face Rome et au Maccabi Tel-Aviv, puis à Vitoria. A l'occasion de la première journée des matches retour, les Palois ont réussi à prendre, certes dans la douleur (74-69), leur revanche sur les Italiens de Rome qui les avaient battus de dix points (68-78) dans la capitale transalpine lors du match aller. Si les hommes de Gordon Herbert ne sont pas parvenus à récupérer le goal-average particulier, ils ont assuré l'essentiel en remportant le match qu'il ne fallait pas perdre pour rester en vie dans la compétition.
La victoire paloise combinée à la lourde défaite du Maccabi Tel-Aviv dans la salle de l'intouchable leader Vitoria (73-94) permet aux Français de recoller à une longueur des Israéliens qui viendront dans le Béarn jeudi prochain avec la deuxième place comme enjeu. Un succès des Palois face aux champions d'Europe 2004 et 2005, avant d'aller rendre visite à Vitoria lors de la dernière journée alors que les Espagnols sont d'ores et déjà qualifiés pour les quarts de finale, garantirait aux hommes du président Seillant un match décisif pour la qualification en terre basque... Pour entretenir cet espoir fou, les coéquipiers de Frédéric Fauthoux ont dû batailler ferme mercredi pour venir à bout de Rome. Si ce n'est une entame de feu qui a permis à Pau-Orthez de compter jusqu'à 12 longueurs d'avance (21-9, 8e) en fin de premier quart-temps, la rencontre s'est révélée très serrée, les deux équipes se livrant notamment à un joli chassé-croisé après la pause.
Ferchaud prend feu !
Menant de trois points (41-38) à la mi-temps grâce notamment à Melvin Sanders (15 points inscrits à la pause), les Palois concédaient un 7-0 d'entrée de troisième acte (41-45, 22e) qui jetait un froid dans les tribunes du Palais des Sports. Mais sous l'impulsion de Cédric Ferchaud notamment, l'ailier français étant dans un grand soir (14 points à 4 sur 7 à trois points), les Béarnais reprenaient les commandes du match (55-52, 30e). Le quatrième quart-temps était irrespirable. Michael Wright (15 points) répondait à Roberto Chiacig (14 points) à l'intérieur, tandis que Cédric Ferchaud inscrivait deux nouveaux tirs primés pour anéantir les espoirs de retour des Romains maintenus en vie par David Hawkins (9 points) et l'inusable Dejan Bodiroga (14 points).
Ne comptant plus qu'une longueur d'avance à l'entame de la dernière minute (70-69, 39e), les Palois géraient mieux le money-time et terminaient le travail grâce aux paniers de Michael Wright et Melvin Sanders (17 points). Incapables de marquer, les hommes de Jasmin Repesa, absent dans le Béarn car souffrant, concèdaient ainsi leur troisième revers en quatre matches avant de recevoir Vitoria la semaine prochaine dans ce qui constituera pour eux le match de la dernière chance. Pau-Orthez sera dans la même configuration face au Maccabi. Ce sera vaincre ou mourir. Une fois encore...
www.sports.fr
Article sur la Chorale qui vient rendre visite au MSB demain soir :
http://www.lemans.maville.com/actu/re/a ... s-As_.html
http://www.lemans.maville.com/actu/re/a ... s-As_.html
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Défaite de la Chorale 75-66 au Mans. Après avoir mené tout au long du match la Chorale a cédé dans le dernier quart bien handicapé par les fautes (Pellin et Badiane sorti) et les balles perdues (21 au total). L'écart ne reflète pas vraiment la physionomie du match puisque la Chorale était à 3pts derrière Le Mans dans la dernière minute avant de céder sur la fin.
Bon match de la Chorale malgré l'absence de Cazalon qui a couté cher avec les sorties prématurées de Pellin et Badiane pour le money time. C'est Adrien Moerman, 18 ans, qui a assuré la rotation en fin de match terminant avec 8pts 3rbds ... très encourageant malgré une fin de match un peu ratée.
13pts 5rbds 3ast 2ctr de Spencer (mais 6TO)
17pts 6rbds 2ast 2ctr de Salyers (mais 5TO)
11pts 5rbds 4ast de Harper
11pts 8rbds de Badiane
0pt 4rbds 2int 9ast de Pellin
Bref, une défaite logique face à une adversaire supérieur pour lequel la densité de l'effectif a fait la différence.
Bon match de la Chorale malgré l'absence de Cazalon qui a couté cher avec les sorties prématurées de Pellin et Badiane pour le money time. C'est Adrien Moerman, 18 ans, qui a assuré la rotation en fin de match terminant avec 8pts 3rbds ... très encourageant
malgré une fin de match un peu ratée.13pts 5rbds 3ast 2ctr de Spencer (mais 6TO)
17pts 6rbds 2ast 2ctr de Salyers (mais 5TO)
11pts 5rbds 4ast de Harper
11pts 8rbds de Badiane
0pt 4rbds 2int 9ast de Pellin
Bref, une défaite logique face à une adversaire supérieur pour lequel la densité de l'effectif a fait la différence.