Ils reviennent ....attentionvinsanity a écrit :Non plus trop là j'avoueMais vu que j'aime bien Nancy et pas trop la SIG j'me laisse aveugler
[Basket] Reprise saison NBA
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Ce soir nous avons découvert un nouveau potonaute fan de Basket (ou juste un Alsacien ? )
Victoire finale de la SIG 86-74, le SLUC était revenu à 6pts, ballon en main et 1min30 à jouer. Ca aurait pu le faire, mais Tariq a voulu remonter le terrain tout seul au milieu de trois joueurs et a perdu son 6ème ballon ... enfin de toute façon ce match avait été perdu bien avant.
(ou juste un Alsacien ? )Victoire finale de la SIG 86-74, le SLUC était revenu à 6pts, ballon en main et 1min30 à jouer. Ca aurait pu le faire, mais Tariq a voulu remonter le terrain tout seul au milieu de trois joueurs et a perdu son 6ème ballon ... enfin de toute façon ce match avait été perdu bien avant.
Dernière modification par vinsanity le 13 févr. 2007, 21:25, modifié 1 fois.
Oups désolé, mais y'a quelques ressemblances quand même :lol:Baraban a écrit :C'est pas de l'allemand :evil: c'est de l'alsacien !vinsanity a écrit :What does it mean ?Baraban a écrit :Jetzt Geht's Los !!!!!
Parce que ici on est anglophone, pas trop germanophone, perso j'suis allergique :lol:
ça veut a peu près dire " en avant !"
match assez étrange tout de meme ou les nancéens n'auront joué que le dernier quart-temps :dontknow:
la blessure de Julian :twisted: et l'absence de Zianveni auront sans aucun doute pesé lourd dans la balance.
ps. je n'aime ny Nancy ni Strasbourg mais encore moins Nancy :oops:
la blessure de Julian :twisted: et l'absence de Zianveni auront sans aucun doute pesé lourd dans la balance.
ps. je n'aime ny Nancy ni Strasbourg mais encore moins Nancy :oops:
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"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
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des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Effectivement, ce sera face à au Lietuvos Rytas, une grosse grosse équipe. Tu auras le plaisir de voir évoluer Kareem Rush, ancien des Lakers, qui avait éliminé à lui tout seul les Timberwolves en finale de conférence lors du dernier titre des Lakers grâce à une série formidable à 3pts.Baraban a écrit :Pas de pb,chui stéphanois, pas alsacien !
(mais j'habite en Alsace)
Mais j'aurai droit à un beau quart européen à la Halle Rhenus !
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GreenFloyd
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La petite vidéo marrante du jour : Pat Burke
Né à Dublin, Pat Burke est le seul joueur irlandais de la NBA. Il évolue sous les couleurs des Phoenix Suns, et est donc le coéquipier de Boris Diaw. Il mesure 2m11 et pèse 114kg. Comme vous pouvez vous en douter c'est donc un intérieur plutôt besogneux. Il n'a commencé le basket qu'à 16 ans, en high school, avant d'intégrer l'université de Auburn. Bref, ce joueur est particulièrement apprécié du côté de Phoenix, sans trop savoir pourquoi. Est ce son acharnement au travail ? Sa sympathie ? Mais Pat Burke ce n'est pas que celà, c'est aussi un bon joueur de basket, et un soir de janvier, il l'a preouvé face à Sacramento. Match plié, +20 pour les Suns, Pat Burke rentre, et réussit à mettre le feu à la salle. Ecoutez ... appréciez ...
Né à Dublin, Pat Burke est le seul joueur irlandais de la NBA. Il évolue sous les couleurs des Phoenix Suns, et est donc le coéquipier de Boris Diaw. Il mesure 2m11 et pèse 114kg. Comme vous pouvez vous en douter c'est donc un intérieur plutôt besogneux. Il n'a commencé le basket qu'à 16 ans, en high school, avant d'intégrer l'université de Auburn. Bref, ce joueur est particulièrement apprécié du côté de Phoenix, sans trop savoir pourquoi. Est ce son acharnement au travail ? Sa sympathie ? Mais Pat Burke ce n'est pas que celà, c'est aussi un bon joueur de basket, et un soir de janvier, il l'a preouvé face à Sacramento. Match plié, +20 pour les Suns, Pat Burke rentre, et réussit à mettre le feu à la salle. Ecoutez ... appréciez ...
Les Spurs font place nette
Non, les Spurs n'avaient pas l'intention de concéder une 3e défaite d'affilée. Opposé aux Nets de New Jersey, San Antonio a relevé la tête en s'imposant 107-82, grâce notamment aux 19 points de Tony Parker. Les affaires ne s'arrangent pas en revanche pour les Lakers, battus par New York, 107 à 106, concédant ainsi une 4e défaite consécutive. Les 31 points de Kobe Bryant n'auront pas été suffisants, tout comme les 11 points de Ronny Turiaf. Tout va bien pour Dallas. Intraitables, à l'image de Nowitzski, les Mavs ont croqué Milwaukee.
Le match
Les Spurs ont retrouvé le moral. Après avoir rendu les armes lors de ses deux derniers matches contre Orlando et Miami, San Antonio ressentait une certaine pression à l'idée de se rendre sur le parquet des Nets. Mais les coéquipiers de Tim Duncan ont su répondre présent pour inverser la tendance. Profitant de l'absence de Jason Kidd bien sûr, mais également de celles de Nenad Krstic et Richard Jefferson, les Spurs n'ont pas tremblé pour s'octroyer une huitième victoire d'affilée sur New Jersey. Prenant l'ascendant dès le premier quart-temps, Manu Ginobili (14 points) et consorts ont assuré le show en imposant une cadence effrénée. Leur rythme (allié à une certaine réussite) leur permettait d'infliger un 20-0 à leurs rivaux en début de deuxième quart-temps.
Une domination qui ne manqua pas de rassurer Gregg Popovich, mais le coach des Spurs ne fanfaronnait pas pour autant, bien conscient des difficultés de l'équipe adverse: "Les Nets traversent une passe délicate avec toutes ces blessures", expliquait-il. "C'était dur pour eux ce soir avec trois joueurs importants sur le flanc. Ils se sont battus en essayant de faire de leur mieux. Mais c'est impossible de sortir victorieux avec autant de joueurs out."
Pourtant, ces absences auraient pu "rassurer" les Nets. En effet, plus tôt dans la saison, San Antonio avait connu de gros problèmes face à des opposants affaiblis par l'absence de joueurs clés. Ce fut le cas contre les Lakers, qui évoluaient sans Lamar Odom. Les Spurs s'étaient également inclinés à deux reprises face à Houston, qui déploraient l'absence de Yao Ming et Tracy McGrady. Sans oublier que les coéquipiers de TP étaient repartis avec le masque de la défaite contre Utah, lorsque les Jazz évoluaient sans Carlos Boozer. Mais face aux Nets, l'histoire n'est pas la même...
Les Français
Deux Tricolores défendaient leurs chances la nuit dernière sur les parquets de NBA. Tony Parker, face aux Nets, aura été à son aise avec 19 points inscrits en 29 minutes, 4 rebonds et 2 passes décisives. L'autre Tricolore, en lice, Ronny Turiaf, s'est également distingué avec 11 points au compteur (3 rebonds et 2 passes décisives) face aux Knicks et un temps de jeu honorable (19 minutes). Ses interventions n'auront toutefois pas permis aux Lakers de l'emporter contre New York.
La stat
4: Comme le nombre de défaites consécutives des Lakers. Depuis leur victoire obtenue face à Atlanta, les coéquipiers de Kobe Bryant enchaîne les désillusions. Après Detroit, Toronto et Cleveland, ce sont les Knicks qui sont venus à bout de Los Angeles. "KB" s'est tout de même montré à son avantage avec 31 points à son actif. Ses efforts n'auront cependant pas été suffisants pour contrarier une équipe de New York réaliste dans les moments importants. Emmenés par Crawford (24 points) et Curry (19 points), les Knicks ont tenu bon pour l'emporter sur le fil 107 à 106.
www.sports.fr
Non, les Spurs n'avaient pas l'intention de concéder une 3e défaite d'affilée. Opposé aux Nets de New Jersey, San Antonio a relevé la tête en s'imposant 107-82, grâce notamment aux 19 points de Tony Parker. Les affaires ne s'arrangent pas en revanche pour les Lakers, battus par New York, 107 à 106, concédant ainsi une 4e défaite consécutive. Les 31 points de Kobe Bryant n'auront pas été suffisants, tout comme les 11 points de Ronny Turiaf. Tout va bien pour Dallas. Intraitables, à l'image de Nowitzski, les Mavs ont croqué Milwaukee.
Le match
Les Spurs ont retrouvé le moral. Après avoir rendu les armes lors de ses deux derniers matches contre Orlando et Miami, San Antonio ressentait une certaine pression à l'idée de se rendre sur le parquet des Nets. Mais les coéquipiers de Tim Duncan ont su répondre présent pour inverser la tendance. Profitant de l'absence de Jason Kidd bien sûr, mais également de celles de Nenad Krstic et Richard Jefferson, les Spurs n'ont pas tremblé pour s'octroyer une huitième victoire d'affilée sur New Jersey. Prenant l'ascendant dès le premier quart-temps, Manu Ginobili (14 points) et consorts ont assuré le show en imposant une cadence effrénée. Leur rythme (allié à une certaine réussite) leur permettait d'infliger un 20-0 à leurs rivaux en début de deuxième quart-temps.
Une domination qui ne manqua pas de rassurer Gregg Popovich, mais le coach des Spurs ne fanfaronnait pas pour autant, bien conscient des difficultés de l'équipe adverse: "Les Nets traversent une passe délicate avec toutes ces blessures", expliquait-il. "C'était dur pour eux ce soir avec trois joueurs importants sur le flanc. Ils se sont battus en essayant de faire de leur mieux. Mais c'est impossible de sortir victorieux avec autant de joueurs out."
Pourtant, ces absences auraient pu "rassurer" les Nets. En effet, plus tôt dans la saison, San Antonio avait connu de gros problèmes face à des opposants affaiblis par l'absence de joueurs clés. Ce fut le cas contre les Lakers, qui évoluaient sans Lamar Odom. Les Spurs s'étaient également inclinés à deux reprises face à Houston, qui déploraient l'absence de Yao Ming et Tracy McGrady. Sans oublier que les coéquipiers de TP étaient repartis avec le masque de la défaite contre Utah, lorsque les Jazz évoluaient sans Carlos Boozer. Mais face aux Nets, l'histoire n'est pas la même...
Les Français
Deux Tricolores défendaient leurs chances la nuit dernière sur les parquets de NBA. Tony Parker, face aux Nets, aura été à son aise avec 19 points inscrits en 29 minutes, 4 rebonds et 2 passes décisives. L'autre Tricolore, en lice, Ronny Turiaf, s'est également distingué avec 11 points au compteur (3 rebonds et 2 passes décisives) face aux Knicks et un temps de jeu honorable (19 minutes). Ses interventions n'auront toutefois pas permis aux Lakers de l'emporter contre New York.
La stat
4: Comme le nombre de défaites consécutives des Lakers. Depuis leur victoire obtenue face à Atlanta, les coéquipiers de Kobe Bryant enchaîne les désillusions. Après Detroit, Toronto et Cleveland, ce sont les Knicks qui sont venus à bout de Los Angeles. "KB" s'est tout de même montré à son avantage avec 31 points à son actif. Ses efforts n'auront cependant pas été suffisants pour contrarier une équipe de New York réaliste dans les moments importants. Emmenés par Crawford (24 points) et Curry (19 points), les Knicks ont tenu bon pour l'emporter sur le fil 107 à 106.
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grandiose la video :shock: :lol:vinsanity a écrit :La petite vidéo marrante du jour : Pat Burke
Né à Dublin, Pat Burke est le seul joueur irlandais de la NBA. Il évolue sous les couleurs des Phoenix Suns, et est donc le coéquipier de Boris Diaw. Il mesure 2m11 et pèse 114kg. Comme vous pouvez vous en douter c'est donc un intérieur plutôt besogneux. Il n'a commencé le basket qu'à 16 ans, en high school, avant d'intégrer l'université de Auburn. Bref, ce joueur est particulièrement apprécié du côté de Phoenix, sans trop savoir pourquoi. Est ce son acharnement au travail ? Sa sympathie ? Mais Pat Burke ce n'est pas que celà, c'est aussi un bon joueur de basket, et un soir de janvier, il l'a preouvé face à Sacramento. Match plié, +20 pour les Suns, Pat Burke rentre, et réussit à mettre le feu à la salle. Ecoutez ... appréciez ...
C'est donc ce soir que débute le Top 16 pour Pau face à l'adversaire le plus abordable des sa poule (les deux autres sont le Maccabi Tel Aviv et le TAU Vitoria). Autant dire que la qualif passera obligatoirement par une double victoire, aller et retour, contre Rome. Le tout en battant au moins un des deux autres à domicile. On peut croire au miracle ^^vinsanity a écrit :Pau sur le chemin de Rome
L'heure est arrivée pour Pau-Orthez. Mercredi soir, les Palois entament la seconde phase de l'Euroligue en disputant le prestigieux Top 16, pour la première fois depuis 2004. En déplacement à Rome pour le compte du groupe D, une poule particulièrement relevée, les Palois entendent faire un coup dès la première journée. Si la qualification pour les quarts de finale de la compétition relèverait de l'exploit, l'Elan n'a pas l'intention de faire de la figuration. Après une semaine d'entraînement, les Palois sont prêts au combat.
Ils sont impatients d'en découdre. Au terme d'une semaine d'entraînement au Palais des Sports de Pau effectuée pendant la Semaine des As , les joueurs de Gordon Herbert ont fait le plein d'énergie. Fatigués par l'accumulation des matches disputés au mois de janvier (neuf au total), les Palois ont trouvé ces derniers jours la juste mesure entre récupération et entraînement. Place au match, désormais, avec une évidente excitation à l'idée de disputer le Top 16 pour la première fois depuis 2004. Bien plus à l'aise cette saison sur la scène européenne que dans le championnat de Pro A où ils pointent à une très modeste 10e place, les Palois veulent faire parler d'eux face aux gros poissons du Vieux continent.
Certes, le tirage au sort n'a pas gâté les Béarnais avec, dans le groupe D, le Maccabi Tel-Aviv (champion d'Europe en 2004, 2005 et finaliste l'an passé), Vitoria (présent lors des deux derniers Final Four) et Rome. La tâche ne s'annonce donc pas facile dans une épreuve où les deux premiers de chaque groupe seront qualifiés pour des quarts de finale croisés, sachant que les places convoitées semblent promises au Maccabi et à Vitoria. En attendant, la première étape du Top 16 emmène les Palois à Rome, ce mercredi soir.
Prendre du plaisir avant tout
Une première rencontre déjà capitale pour les coéquipiers de Thierry Rupert, qui, bien que conscients de la difficulté de la tâche, veulent profiter du moment. Prendre du plaisir, tel est en outre le message du directeur exécutif Pierre Seillant. Les Palois tenteront de profiter de la récente défaite des Transalpins en quart de finale de la Coupe d'Italie face à Trévise (67-75) pour imposer leur loi. Mais pour espérer surprendre Rome, l'Elan devra museler des garçons comme Mire Chatman et David Hawkins, très adroits sous les paniers contre Trévise. Ce premier round mettra en tous les cas les Français dans le rythme, avant de recevoir Vitoria le 22 février prochain à domicile.
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Transfert - Pro A: Trey Moore à Strasbourg
AFP - 14.02.2007, 20h57
STRASBOURG, 14 fév 2007 (AFP) - Le meneur Trey Moore a rejoint le club de Strasbourg (SIG) pour remplacer Lonnie Cooper, victime d'une rupture des ligaments du genou et indisponible jusqu'à la fin de saison, a indiqué Jérôme Rosenstiehl, le directeur sportif de la SIG, mercredi soir.
En provenance d'une ligue mineure américaine, l'ABA, où il évoluait à Jacksonville, Moore a également évolué en Chine et en Angleterre et devrait être engagé comme pigiste médical, après une période d'essai de 10 jours. Il ne devrait cependant pas être qualifié pour le match de pro A, à Nancy, dimanche.
www.lnb.fr
AFP - 14.02.2007, 20h57
STRASBOURG, 14 fév 2007 (AFP) - Le meneur Trey Moore a rejoint le club de Strasbourg (SIG) pour remplacer Lonnie Cooper, victime d'une rupture des ligaments du genou et indisponible jusqu'à la fin de saison, a indiqué Jérôme Rosenstiehl, le directeur sportif de la SIG, mercredi soir.
En provenance d'une ligue mineure américaine, l'ABA, où il évoluait à Jacksonville, Moore a également évolué en Chine et en Angleterre et devrait être engagé comme pigiste médical, après une période d'essai de 10 jours. Il ne devrait cependant pas être qualifié pour le match de pro A, à Nancy, dimanche.
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Malgré un beau retour en fin de match Pau-Orthez s'incline à Rome sur le score de 78 à 68
16pts 4rbds 2stl de Johnsen
10pts 7rbds 3stl 2ast de Melvin Sanders
10pts 9rbds de Wright
Le gros problème de Pau est venu des pertes de balles ... 24 dans le match :shock: pour seulement 4 passes décisives :shock:
Des lacunes qui auraient pourtant pu être compensées quand on voit le pourcentage aux LF (17/27 soit 63%) et l'écart final creusé dans les dernières secondes ... j'en connais qui vont encore avoir des regrets :???:
16pts 4rbds 2stl de Johnsen
10pts 7rbds 3stl 2ast de Melvin Sanders
10pts 9rbds de Wright
Le gros problème de Pau est venu des pertes de balles ... 24 dans le match :shock: pour seulement 4 passes décisives :shock:
Des lacunes qui auraient pourtant pu être compensées quand on voit le pourcentage aux LF (17/27 soit 63%) et l'écart final creusé dans les dernières secondes ... j'en connais qui vont encore avoir des regrets :???:
Se souvenir des belles choses...
Les Spurs ont de la mémoire! Au lendemain de leur succès sur les Nets, pour un remake réussi des Finals 2003, les Texans ont en effet remis le couvert chez les Pistons, leurs victimes de 2005, s'imposant 81-90 avec 23 points de Tim Duncan et 18 de Tony Parker. De quoi rester au contact des Jazz, vainqueurs des Cavs 99-98 et se rapprocher de Suns à la peine sans Steve Nash ni Boris Diaw, un troisième revers de rang, 114-90 chez les Sonics, faisant foi. A noter le réveil des Celtics, tombeurs des Bucks 117-97 après 18 défaites consécutives.
Le match:
"Nous avons été inconsistants toute l'année, alors c'est bon de nous voir aussi réguliers pendant 48 bonnes minutes. C'est un de nos meilleurs matches de toute l'année, et c'est la meilleure performance de Francisco depuis qu'il joue pour nous." Heureux Gregg Popovich, que l'on sait plutôt avare de ses compliments, à l'issue de la victoire (90-81) de ses Spurs mercredi sur le parquet de Detroit, qui restait pourtant sur une série de sept victoires de rang. Et il y a de quoi car en vérité les Spurs, à l'occasion de ce huitième et dernier match (4 victoires et 4 défaites) d'une interminable tournée à l'extérieur, le dernier avant le break du All-Star Game, avaient toutes les raisons de tirer la langue...
Il n'en a rien été, comme cela avait déjà été le cas la veille chez les Nets. Est-ce le parfum de ces remakes des dernières finales NBA, toujours est-il que, mercredi, c'est bien la franchise texane, victorieuse pour la première fois à Detroit depuis le match 5 de la finale 2005, qui était la plus fraîche des deux équipes. A l'image bien sûr d'un Tim Duncan égal à lui-même avec 23 points et 8 rebonds, mais surtout grâce aussi à un renfort de choix à l'intérieur, salué donc par Popovich en personne, Francisco Elson, auteur de 12 points et 18 rebonds, nouveau record en carrière! "Nous ne jouions pas bien, et nous avions vraiment besoin de réaliser tous ensemble un bon match avant la trêve", commentait Duncan après coup. La performance des Spurs parle d'elle-même en effet avec une avance de déjà 17 points à la pause qui sanctionnait la réussite en berne des Pistons (41%), contrastant avec le jeu retrouvé des visiteurs tournant à 51%. "Ils ont débarqué ici avec une grosse faim, parce qu'ils étaient un peu à la peine ces derniers temps. Au fil du match, on a commencé à se battre, mais c'était une bataille pénible pour nous", soulignait quant à lui Chauncey Billups.
En effet, avec en plus un duo Tony Parker-Manu Ginobili, respectivement à 16 points-8 passes et 20 points pour l'Argentin, il n'y avait pas grand chose à faire face à ce San Antonio-là. Et Ginobili de conclure: "J'aurais préféré finir cette tournée sur un 6-2, mais avec la manière dont nous avons joué, et après notre départ avec 2 victoires pour 4 défaites, finir sur un bilan de 4-4 est assez satisfaisant. Ce sera plus facile dans ces conditions d'apprécier la trêve."
Les Français
Des sept Bleus d'Amérique, ils avaient beau être six à au programme de la nuit, seul Ronny Turiaf devant encore patienter jusqu'à ce soir pour pouvoir goûter, après la réception des Cavaliers, à quelques jours de repos, All-Star Game oblige, les Tricolores se sont au final particulièrement fait rare sur les parquets.
Si Tony Parker a été égal à lui-même avec, donc, 16 points et 8 passes compilés en 37 minutes, l'ancien Parisien signant un réussi 8 sur 14 aux tirs mais commettant en revanche 5 pertes de balle pour 2 interceptions, ses compatriotes ont été bien plus discrets. A nouveau oublié par son entraîneur George Karl, Yakhouba Diawara a ainsi dû suivre du banc la défaite de ses Nuggets chez les Wolves 99-94, l'ancien Dijonnais connaissant un troisième DNP en cinq matches. Même topo pour Mickael Pietrus qui n'a pas pris part aux trois dernières rencontres des Warriors. Mais l'ancien Palois est excusé puisque MP2 toujours gêné par une entorse à la cheville droite qui nécessite encore quelques jours de repos, ne fera son retour sur les parquets qu'après la coupure du All-Star Game. En son absence, les Warriors sesont aisément imposés face aux Knicks 120-101.
Au rayon blessés toujours, Boris Diaw souffre, lui, de son épaule droite et a dû sécher la confrontation face aux Sonics de ses coéquipiers tricolores Johan Petro et Mickael Gelabale. Et force est de constater qu'en son absence, et surtout celle de Steve Nash, ses Suns sont méconnaissables. En témoigne le lourd revers concédé 114-90, les deux Bleus de Seattle n'en profitant néanmoins guère pour briller puisque Johan Petro a dû se contenter de 3 points à 1 sur 2 et 5 rebonds en 13 minutes alors que Mickael Gelabale a dû attendre le garbage-time pour avoir droit à 4 minutes de jeu pour 2 points sur lancers-francs, 2 passes, 1 rebond et 1 contre. Vivement la rentrée...
La statistique
Enfin! Ils l'ont fait! Fin de série noire, en effet, pour les Celtics: après 18 revers consécutifs, la plus longue série de défaites dans la glorieuse histoire de la franchise, Boston a en effet renoué avec la victoire à la faveur de la réception de Milwaukee, autre cancre de la conférence est, défait 97-117. Les hommes au trèfle avaient pourtant mal débuté la rencontre, encaissant un 19-32 dans le premier quart, mais répliquaient avant la pause sur un 39-22 les plaçant devant pour de bon, la suite de la rencontre étant à l'avenant. Notamment grâce à l'inévitable Paul Pierce, meilleur marqueur de la rencontre avec 32 points, Gerald Green et Al Jefferson l'épaulant avec 21 points et 17 points-10 rebonds. De quoi rendre vains les 31 points de Maurice Williams ou les 24 points de Charlie Bell. Pour autant, Jefferson remarquait lucidement "Il n'y a vraiment rien à célébrer ce soir."
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Les Spurs ont de la mémoire! Au lendemain de leur succès sur les Nets, pour un remake réussi des Finals 2003, les Texans ont en effet remis le couvert chez les Pistons, leurs victimes de 2005, s'imposant 81-90 avec 23 points de Tim Duncan et 18 de Tony Parker. De quoi rester au contact des Jazz, vainqueurs des Cavs 99-98 et se rapprocher de Suns à la peine sans Steve Nash ni Boris Diaw, un troisième revers de rang, 114-90 chez les Sonics, faisant foi. A noter le réveil des Celtics, tombeurs des Bucks 117-97 après 18 défaites consécutives.
Le match:
"Nous avons été inconsistants toute l'année, alors c'est bon de nous voir aussi réguliers pendant 48 bonnes minutes. C'est un de nos meilleurs matches de toute l'année, et c'est la meilleure performance de Francisco depuis qu'il joue pour nous." Heureux Gregg Popovich, que l'on sait plutôt avare de ses compliments, à l'issue de la victoire (90-81) de ses Spurs mercredi sur le parquet de Detroit, qui restait pourtant sur une série de sept victoires de rang. Et il y a de quoi car en vérité les Spurs, à l'occasion de ce huitième et dernier match (4 victoires et 4 défaites) d'une interminable tournée à l'extérieur, le dernier avant le break du All-Star Game, avaient toutes les raisons de tirer la langue...
Il n'en a rien été, comme cela avait déjà été le cas la veille chez les Nets. Est-ce le parfum de ces remakes des dernières finales NBA, toujours est-il que, mercredi, c'est bien la franchise texane, victorieuse pour la première fois à Detroit depuis le match 5 de la finale 2005, qui était la plus fraîche des deux équipes. A l'image bien sûr d'un Tim Duncan égal à lui-même avec 23 points et 8 rebonds, mais surtout grâce aussi à un renfort de choix à l'intérieur, salué donc par Popovich en personne, Francisco Elson, auteur de 12 points et 18 rebonds, nouveau record en carrière! "Nous ne jouions pas bien, et nous avions vraiment besoin de réaliser tous ensemble un bon match avant la trêve", commentait Duncan après coup. La performance des Spurs parle d'elle-même en effet avec une avance de déjà 17 points à la pause qui sanctionnait la réussite en berne des Pistons (41%), contrastant avec le jeu retrouvé des visiteurs tournant à 51%. "Ils ont débarqué ici avec une grosse faim, parce qu'ils étaient un peu à la peine ces derniers temps. Au fil du match, on a commencé à se battre, mais c'était une bataille pénible pour nous", soulignait quant à lui Chauncey Billups.
En effet, avec en plus un duo Tony Parker-Manu Ginobili, respectivement à 16 points-8 passes et 20 points pour l'Argentin, il n'y avait pas grand chose à faire face à ce San Antonio-là. Et Ginobili de conclure: "J'aurais préféré finir cette tournée sur un 6-2, mais avec la manière dont nous avons joué, et après notre départ avec 2 victoires pour 4 défaites, finir sur un bilan de 4-4 est assez satisfaisant. Ce sera plus facile dans ces conditions d'apprécier la trêve."
Les Français
Des sept Bleus d'Amérique, ils avaient beau être six à au programme de la nuit, seul Ronny Turiaf devant encore patienter jusqu'à ce soir pour pouvoir goûter, après la réception des Cavaliers, à quelques jours de repos, All-Star Game oblige, les Tricolores se sont au final particulièrement fait rare sur les parquets.
Si Tony Parker a été égal à lui-même avec, donc, 16 points et 8 passes compilés en 37 minutes, l'ancien Parisien signant un réussi 8 sur 14 aux tirs mais commettant en revanche 5 pertes de balle pour 2 interceptions, ses compatriotes ont été bien plus discrets. A nouveau oublié par son entraîneur George Karl, Yakhouba Diawara a ainsi dû suivre du banc la défaite de ses Nuggets chez les Wolves 99-94, l'ancien Dijonnais connaissant un troisième DNP en cinq matches. Même topo pour Mickael Pietrus qui n'a pas pris part aux trois dernières rencontres des Warriors. Mais l'ancien Palois est excusé puisque MP2 toujours gêné par une entorse à la cheville droite qui nécessite encore quelques jours de repos, ne fera son retour sur les parquets qu'après la coupure du All-Star Game. En son absence, les Warriors sesont aisément imposés face aux Knicks 120-101.
Au rayon blessés toujours, Boris Diaw souffre, lui, de son épaule droite et a dû sécher la confrontation face aux Sonics de ses coéquipiers tricolores Johan Petro et Mickael Gelabale. Et force est de constater qu'en son absence, et surtout celle de Steve Nash, ses Suns sont méconnaissables. En témoigne le lourd revers concédé 114-90, les deux Bleus de Seattle n'en profitant néanmoins guère pour briller puisque Johan Petro a dû se contenter de 3 points à 1 sur 2 et 5 rebonds en 13 minutes alors que Mickael Gelabale a dû attendre le garbage-time pour avoir droit à 4 minutes de jeu pour 2 points sur lancers-francs, 2 passes, 1 rebond et 1 contre. Vivement la rentrée...
La statistique
Enfin! Ils l'ont fait! Fin de série noire, en effet, pour les Celtics: après 18 revers consécutifs, la plus longue série de défaites dans la glorieuse histoire de la franchise, Boston a en effet renoué avec la victoire à la faveur de la réception de Milwaukee, autre cancre de la conférence est, défait 97-117. Les hommes au trèfle avaient pourtant mal débuté la rencontre, encaissant un 19-32 dans le premier quart, mais répliquaient avant la pause sur un 39-22 les plaçant devant pour de bon, la suite de la rencontre étant à l'avenant. Notamment grâce à l'inévitable Paul Pierce, meilleur marqueur de la rencontre avec 32 points, Gerald Green et Al Jefferson l'épaulant avec 21 points et 17 points-10 rebonds. De quoi rendre vains les 31 points de Maurice Williams ou les 24 points de Charlie Bell. Pour autant, Jefferson remarquait lucidement "Il n'y a vraiment rien à célébrer ce soir."
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Couramiaud
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Yeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees :p Bon ok, comme le dit Jefferson il n'y a rien à célébrer après cette victoire de Boston, mais au moins ils ne battront pas le record de défaite.
Sinon je comprend pas ce que vous avez tous contre Boston. D'accord ils sont pas très bons... bon ok, cette année ils sont nuls, (ils ont eu aussi beaucoup de blessés et puis maintenant ils jouent clairement la lottery pick) Les Celtics restent tout de même le club le plus titré de NBA. Un club qui dans son sport ressemble d'ailleurs beaucoup à un autre non?. Alors ça serait pas beau de revoir les verts au sommet.
Sinon pour les amateurs de la Chorale. Dans son numéro d'aujourd'hui, basketnews fait une large place au club roannais, victoire à la Semaine des As oblige.
A noter notamment une photo particulièrement évocatrice au début du magazine, montrant Marc-Antoine Pellin chipant la balle à Aymeric Jeanneau le meneur international de l'ASVEL.
La légende de la photo n'est pas avare en sous entendus. Alors, Pellin en équipe de France? On peut commencer à se poser la question
Sinon je comprend pas ce que vous avez tous contre Boston. D'accord ils sont pas très bons... bon ok, cette année ils sont nuls, (ils ont eu aussi beaucoup de blessés et puis maintenant ils jouent clairement la lottery pick) Les Celtics restent tout de même le club le plus titré de NBA. Un club qui dans son sport ressemble d'ailleurs beaucoup à un autre non?. Alors ça serait pas beau de revoir les verts au sommet.
Sinon pour les amateurs de la Chorale. Dans son numéro d'aujourd'hui, basketnews fait une large place au club roannais, victoire à la Semaine des As oblige.
A noter notamment une photo particulièrement évocatrice au début du magazine, montrant Marc-Antoine Pellin chipant la balle à Aymeric Jeanneau le meneur international de l'ASVEL.
La légende de la photo n'est pas avare en sous entendus. Alors, Pellin en équipe de France? On peut commencer à se poser la question
Moi je suis fan des celtics et je vois d'un bon oeil ce mauvais championnat l'arrivée d' ODEN et le renouveau l'année prochaine...El Couramiaud a écrit :Yeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees :p Bon ok, comme le dit Jefferson il n'y a rien à célébrer après cette victoire de Boston, mais au moins ils ne battront pas le record de défaite.
Sinon je comprend pas ce que vous avez tous contre Boston. D'accord ils sont pas très bons... bon ok, cette année ils sont nuls, (ils ont eu aussi beaucoup de blessés et puis maintenant ils jouent clairement la lottery pick) Les Celtics restent tout de même le club le plus titré de NBA. Un club qui dans son sport ressemble d'ailleurs beaucoup à un autre non?. Alors ça serait pas beau de revoir les verts au sommet.
Sinon pour les amateurs de la Chorale. Dans son numéro d'aujourd'hui, basketnews fait une large place au club roannais, victoire à la Semaine des As oblige.
A noter notamment une photo particulièrement évocatrice au début du magazine, montrant Marc-Antoine Pellin chipant la balle à Aymeric Jeanneau le meneur international de l'ASVEL.
La légende de la photo n'est pas avare en sous entendus. Alors, Pellin en équipe de France? On peut commencer à se poser la question
