Pavé pour comprendre et avancer, ou pas.
Publié : 22 janv. 2016, 13:49
Salut les filles ,
Je me permets en ma qualité d’extra lucide, de vous éclairer sur la situation actuelle, parce que le dépit et l’incompréhension vous gagnent, face à la situation paradoxale du moment – en lice dans 3 compets mais déliquescence du jeu, groupe qui vit mal et agacement/signes d’impuissance du coach.
J’avais, plus tôt dans la saison commencé à exprimer toutes mes craintes, avec d’autres potonautes, mais vous n’étiez pas réceptifs, pas murs pour entendre certains constats, car écornant la maison verte intouchable et bénéficiant d’un état de grâce prolongé, eu égard aux bilans comptables très positifs depuis avril 2013.
Et puis le timing est bon, étant préférable de critiquer quand ça gagne, on ne peut être taxé alors de tirer sur l’ambulance, du coup je m’y cogne gaiement.
First of all, merci les Verts et surtout aux supps pour le derby, je n’attends plus grand chose de la saison perso, ça me va déjà très bien. C’est un bonheur durable me concernant. Je peux mourir.
Temps de passage idéal pour ma part pour dresser un petit état des lieux, critique certes mais pour essayer d’expliquer ce qui cloche, pour mieux corriger le tir structurellement en cours de saison et déjà préparer les saisons prochaines.
Toujours avoir un coup d’avance.
C’est quand les résultats sont positifs, dans toutes activités, que l’on doit faire un audit des forces et faiblesses, analyser ce qui est à améliorer fondamentalement, ce qui fonctionne aussi.
Pour travailler sereinement et éviter les sorties de route.
Ca a été baclé à l’ASS ces dernières années, et je ne supporte pas l’idée que la compétitivité de notre immense club puisse dépendre dans les prochaines années de la présence d’un seul homme.
Je ressens le besoin d’un rééquilibrage des forces dans ce club.
Suis étonné que beaucoup s’insurgent de nos difficultés actuelles, certes à leur paroxysme, mais qui durent pourtant depuis bientôt 3 ans et ne sont que les conséquences logiques de la politique sportive du club (non) mise en place.
Non ça n’est pas que la faute au contexte économique du foot français, fausse excuse et explication fumeuse et facile pour légitimer l’infinie faiblesse de la L1.
Parce qu’accessoirement l’ASS fait globalement parti des 100 clubs les plus riches du monde avec 70M€ de budget.
Plutôt que de toujours voir les clubs français comme les parents pauvres du foot anglais, capitalisons sur cette réalité ; nous sommes riches, il ya des millions de footballeurs sur le marché, les possibilités de développement sportif sont multiples, les ressources également.
Mais revenons à nos Verts, pâlichons.
Alors dans un premier temps, la plupart des fans se sont réfugiés derrière les résultats bruts, normal après tant d’abstinence, et les sacro-saintes « stats » qui ont longtemps cadenassé tout débat sur la « qualité de jeu » des Verts. Parce qu’il a été confondu beau jeu et jeu, tout simplement.
Jouer ne veut pas dire bien jouer, c’est plutôt un esprit de conquête, une volonté de créer quelque chose, de déstabiliser, de générer du mouvement avec ou sans ballon.
Le contraire de déjouer, de gérer, d’attendre, de remplir stricto sensu son rôle.
L’équipe et le staff sont aujourd’hui stéréotypés et sclérosés de façon caricaturale.
On critique les joueurs mais c'est le staff qui insuffle ou non un esprit, qui inculque la tactique qui lorsqu'on est moins bien par ex, permet grâce au positionnement sur le terrain de ne pas subir la domination territoriale contre un relégable de L2, exemple pris au hasard hein.
On est transparent dans la façon de jouer et ce groupe ne dégage pas grand chose.
Généralement on joue comme on vit.
Avec fraicheur ou insouciance, ou au contraire avec rigidité et toute la morgue du monde.
Des habitudes on tété prises, elles sautent à la gueule aujourd’hui et il est très difficile de les changer.
En fait, pour qui veut voir, NON les résultats bruts positifs, acquis dans la douleur très souvent, parlons des purges à répétitions contre les amateurs en CDF, contre les clubs de 3ème zones en EL ou en L1, n'ont jamais masqué la valeur intrinsèque de cette équipe, de ce groupe, son déclin et l’absence de projet sportif, de fil rouge conducteur à tous les étages de la maison verte. Quels sont les constituants du projet ?
Les jeunes?, Les recrues? le jeu?
Prenez les 150 derniers matchs des Verts et classez les prestations de nos Verts, en terme non plus de purges mais de maitrise du sujet.
Quand par exemple en supériorité numérique ou contre des CFA ou DH, il faut actionner une pression offensive balle au pied. Vous verrez c’est effrayant mais ça révèle sur la durée que les fondations sportives n'existent pas, alors qu'économiquement le club a redressé la barre.
Cette saison, les matchs de barrages d’EL et les premières journées de championnat, quand la fatigue et les blessures n’étaient pas encore des excuses, le match contre Bastia avec les fameux sifflets « indécents » qui choquèrent le club et certains supps, auraient pu faire gagner du temps dans la prise de conscience.
Mais on a préféré se réfugier sur le « tant que ça gagne, y a pas de soucis »
Aujourd’hui , les effets du blanc-seing donné à Galette commencent à émerger.
- Armée mexicaine de 35 joueurs moyens moins à moyens plus (Perrin, Bob et Ruffier mis à part)
- Vide inter-galactique technico-tactique, équipe des Verts en L1 la plus pénible à voir jouer depuis 96 et les années Soucasse
Le bricolage de ce mercato hivernal (en cours..) est la conséquence de 2 faits majeurs :
1. La volonté de CG d’être court –termiste depuis 2 saisons, réaliser coute que coute une grosse saison pour mieux servir ses ambitions de carrière, légitimes au demeurant
2. La mainmise totale de CG sur le sportif : recrutement, plan de « jeu », politique d’intégration de jeunes. Cette mainmise n’est pas en phase avec le développement à long terme du club
Galtier qui a un crédit légitime pour selon qu’il est celui qui a ramené un titre et la régularité du club dans le haut du panier français a cependant besoin d’aide.
- Sous la conduite d’un vrai Directeur Sportif que n’est pas Rocheteau qui est plutôt le bras droit des présidents. DS garant de la mise en œuvre de la politique stratégique pré-définie : s’appuyer sur le CDF, confère la centaine de partenariat à travers la France + acquisition de l’Etrat
- Avec l’appui d’un vrai adjoint aux compétences tactiques reconnus (qu’était Revelli) pour combler les siennes, son point fort étant la gestion des hommes, on le sait depuis le 1er jour.
- D’une cellule de recrutement digne de ce nom, on a commencé les barrages de l’EL sans recrues, avec Gradel , Mollo et ASM partis ou sur le départ ! Et on a recruté les nicois dans l’extrême urgence, ça se paye aujourd’hui.
La direction, ayant donné tous les pouvoir au coach, n’a plus aucuns leviers sur le management du groupe pro, doit reprendre la main et être le maillon fort du club. Oui Aulas est le bon exemple.
Le président préside, le directeur dirige, l’entraineur entraine. Chacun son rôle mais en aucun cas le coach ne peut et ne doit être indispensable à la bonne santé d’un club. C’est un dysfonctionnement.
Galette a enfin besoin d’aide parce qu’il est coincé dans sa situation personnelle, globalement :
Il a des résultats depuis 5 ans mais le milieu du foot français et les leaders d’opinion qui font et défont les images (ils y sont pour beaucoup sur la hype de Garde et l’ont aidé à se placer en premiersheap avec le reseautage), ne reconnaissent pas sa réussite et s’attarde constamment sur la faiblesse du jeu stéphanois.
Besoin de redorer son image donc, d’où le revirement tactique opéré cet été, avec la volonté de mettre un vrai 10 et de casser le milieu à 3, à contre-courant des ses préceptes sans doutes.
Sauf qu’on ne décrète pas le jeu offensif, ni le jeu chatoyant et fluide, on le travaille avec des méthodes, des convictions, une philosophie de tous les jours, une implication et une adhésion de tous, et avec les joueurs adéquats..
Avec des compétences très précises en fait.
Rien de tout ça n’est réuni et ça donne la situation actuelle dans le jeu et les 2 dernières sorties de Galette, hors sol, l’une s’excusant du « spectacle » devant les juges Pierre Menes et Dugary (qui l’ont pardonné du coup, sont sympas) à la fin du derby et l’autre hier soir, incriminant les joueurs.
CG semble impuissant pour passer la vitesse supérieur tout seul, ça ne date pas d’hier.
Question : elle est ou la patte que nous sommes en droit d’attendre de la part d’un coach recordman de la longévité en Europe avec Wenger, qui s’il est décrié pour ses non-titres, maintient cependant avec Arsenal une identité de jeu incontestable ?
Peut-on en parler désormais ou est-ce toujours tabou ?
Peut-on imaginer que le débat ne soit pas binaire, pour ou contre Galette, mais plutôt penser qu’il puisse être l’homme de la situation pour effectuer un nouveau cycle, à condition qu’il soit épaulé et que la remise en cause fonctionne à son encontre également ?
Non ce pavé n’est pas une cabale contre Galette que j’apprécie tellement en tant qu’homme, mais plutôt une alerte à la direction et un constat qui dirait que pour ne serait-ce que maintenir les Verts à ce niveau, si ce n’est grandir, elle doit re-structurer la direction sportive.
Pour ne pas dépendre d’un seul homme et rééquilibrer les pouvoirs, ça saute aux yeux actuellement.
Et parce qu'il n'est jamais bon d'être immunisé contre la critique.
Il y a la place pour aller chercher quelque chose cette saison, mais faut faire bouger certaines lignes.
Vais sans doutes me faire saccager par certains mais c'est pas grave, c'est pour la bonne cause, notre pouvoir de supps est plus important que l'on veut bien le croire.
La bise
ALV
Je me permets en ma qualité d’extra lucide, de vous éclairer sur la situation actuelle, parce que le dépit et l’incompréhension vous gagnent, face à la situation paradoxale du moment – en lice dans 3 compets mais déliquescence du jeu, groupe qui vit mal et agacement/signes d’impuissance du coach.
J’avais, plus tôt dans la saison commencé à exprimer toutes mes craintes, avec d’autres potonautes, mais vous n’étiez pas réceptifs, pas murs pour entendre certains constats, car écornant la maison verte intouchable et bénéficiant d’un état de grâce prolongé, eu égard aux bilans comptables très positifs depuis avril 2013.
Et puis le timing est bon, étant préférable de critiquer quand ça gagne, on ne peut être taxé alors de tirer sur l’ambulance, du coup je m’y cogne gaiement.
First of all, merci les Verts et surtout aux supps pour le derby, je n’attends plus grand chose de la saison perso, ça me va déjà très bien. C’est un bonheur durable me concernant. Je peux mourir.
Temps de passage idéal pour ma part pour dresser un petit état des lieux, critique certes mais pour essayer d’expliquer ce qui cloche, pour mieux corriger le tir structurellement en cours de saison et déjà préparer les saisons prochaines.
Toujours avoir un coup d’avance.
C’est quand les résultats sont positifs, dans toutes activités, que l’on doit faire un audit des forces et faiblesses, analyser ce qui est à améliorer fondamentalement, ce qui fonctionne aussi.
Pour travailler sereinement et éviter les sorties de route.
Ca a été baclé à l’ASS ces dernières années, et je ne supporte pas l’idée que la compétitivité de notre immense club puisse dépendre dans les prochaines années de la présence d’un seul homme.
Je ressens le besoin d’un rééquilibrage des forces dans ce club.
Suis étonné que beaucoup s’insurgent de nos difficultés actuelles, certes à leur paroxysme, mais qui durent pourtant depuis bientôt 3 ans et ne sont que les conséquences logiques de la politique sportive du club (non) mise en place.
Non ça n’est pas que la faute au contexte économique du foot français, fausse excuse et explication fumeuse et facile pour légitimer l’infinie faiblesse de la L1.
Parce qu’accessoirement l’ASS fait globalement parti des 100 clubs les plus riches du monde avec 70M€ de budget.
Plutôt que de toujours voir les clubs français comme les parents pauvres du foot anglais, capitalisons sur cette réalité ; nous sommes riches, il ya des millions de footballeurs sur le marché, les possibilités de développement sportif sont multiples, les ressources également.
Mais revenons à nos Verts, pâlichons.
Alors dans un premier temps, la plupart des fans se sont réfugiés derrière les résultats bruts, normal après tant d’abstinence, et les sacro-saintes « stats » qui ont longtemps cadenassé tout débat sur la « qualité de jeu » des Verts. Parce qu’il a été confondu beau jeu et jeu, tout simplement.
Jouer ne veut pas dire bien jouer, c’est plutôt un esprit de conquête, une volonté de créer quelque chose, de déstabiliser, de générer du mouvement avec ou sans ballon.
Le contraire de déjouer, de gérer, d’attendre, de remplir stricto sensu son rôle.
L’équipe et le staff sont aujourd’hui stéréotypés et sclérosés de façon caricaturale.
On critique les joueurs mais c'est le staff qui insuffle ou non un esprit, qui inculque la tactique qui lorsqu'on est moins bien par ex, permet grâce au positionnement sur le terrain de ne pas subir la domination territoriale contre un relégable de L2, exemple pris au hasard hein.
On est transparent dans la façon de jouer et ce groupe ne dégage pas grand chose.
Généralement on joue comme on vit.
Avec fraicheur ou insouciance, ou au contraire avec rigidité et toute la morgue du monde.
Des habitudes on tété prises, elles sautent à la gueule aujourd’hui et il est très difficile de les changer.
En fait, pour qui veut voir, NON les résultats bruts positifs, acquis dans la douleur très souvent, parlons des purges à répétitions contre les amateurs en CDF, contre les clubs de 3ème zones en EL ou en L1, n'ont jamais masqué la valeur intrinsèque de cette équipe, de ce groupe, son déclin et l’absence de projet sportif, de fil rouge conducteur à tous les étages de la maison verte. Quels sont les constituants du projet ?
Les jeunes?, Les recrues? le jeu?
Prenez les 150 derniers matchs des Verts et classez les prestations de nos Verts, en terme non plus de purges mais de maitrise du sujet.
Quand par exemple en supériorité numérique ou contre des CFA ou DH, il faut actionner une pression offensive balle au pied. Vous verrez c’est effrayant mais ça révèle sur la durée que les fondations sportives n'existent pas, alors qu'économiquement le club a redressé la barre.
Cette saison, les matchs de barrages d’EL et les premières journées de championnat, quand la fatigue et les blessures n’étaient pas encore des excuses, le match contre Bastia avec les fameux sifflets « indécents » qui choquèrent le club et certains supps, auraient pu faire gagner du temps dans la prise de conscience.
Mais on a préféré se réfugier sur le « tant que ça gagne, y a pas de soucis »
Aujourd’hui , les effets du blanc-seing donné à Galette commencent à émerger.
- Armée mexicaine de 35 joueurs moyens moins à moyens plus (Perrin, Bob et Ruffier mis à part)
- Vide inter-galactique technico-tactique, équipe des Verts en L1 la plus pénible à voir jouer depuis 96 et les années Soucasse
Le bricolage de ce mercato hivernal (en cours..) est la conséquence de 2 faits majeurs :
1. La volonté de CG d’être court –termiste depuis 2 saisons, réaliser coute que coute une grosse saison pour mieux servir ses ambitions de carrière, légitimes au demeurant
2. La mainmise totale de CG sur le sportif : recrutement, plan de « jeu », politique d’intégration de jeunes. Cette mainmise n’est pas en phase avec le développement à long terme du club
Galtier qui a un crédit légitime pour selon qu’il est celui qui a ramené un titre et la régularité du club dans le haut du panier français a cependant besoin d’aide.
- Sous la conduite d’un vrai Directeur Sportif que n’est pas Rocheteau qui est plutôt le bras droit des présidents. DS garant de la mise en œuvre de la politique stratégique pré-définie : s’appuyer sur le CDF, confère la centaine de partenariat à travers la France + acquisition de l’Etrat
- Avec l’appui d’un vrai adjoint aux compétences tactiques reconnus (qu’était Revelli) pour combler les siennes, son point fort étant la gestion des hommes, on le sait depuis le 1er jour.
- D’une cellule de recrutement digne de ce nom, on a commencé les barrages de l’EL sans recrues, avec Gradel , Mollo et ASM partis ou sur le départ ! Et on a recruté les nicois dans l’extrême urgence, ça se paye aujourd’hui.
La direction, ayant donné tous les pouvoir au coach, n’a plus aucuns leviers sur le management du groupe pro, doit reprendre la main et être le maillon fort du club. Oui Aulas est le bon exemple.
Le président préside, le directeur dirige, l’entraineur entraine. Chacun son rôle mais en aucun cas le coach ne peut et ne doit être indispensable à la bonne santé d’un club. C’est un dysfonctionnement.
Galette a enfin besoin d’aide parce qu’il est coincé dans sa situation personnelle, globalement :
Il a des résultats depuis 5 ans mais le milieu du foot français et les leaders d’opinion qui font et défont les images (ils y sont pour beaucoup sur la hype de Garde et l’ont aidé à se placer en premiersheap avec le reseautage), ne reconnaissent pas sa réussite et s’attarde constamment sur la faiblesse du jeu stéphanois.
Besoin de redorer son image donc, d’où le revirement tactique opéré cet été, avec la volonté de mettre un vrai 10 et de casser le milieu à 3, à contre-courant des ses préceptes sans doutes.
Sauf qu’on ne décrète pas le jeu offensif, ni le jeu chatoyant et fluide, on le travaille avec des méthodes, des convictions, une philosophie de tous les jours, une implication et une adhésion de tous, et avec les joueurs adéquats..
Avec des compétences très précises en fait.
Rien de tout ça n’est réuni et ça donne la situation actuelle dans le jeu et les 2 dernières sorties de Galette, hors sol, l’une s’excusant du « spectacle » devant les juges Pierre Menes et Dugary (qui l’ont pardonné du coup, sont sympas) à la fin du derby et l’autre hier soir, incriminant les joueurs.
CG semble impuissant pour passer la vitesse supérieur tout seul, ça ne date pas d’hier.
Question : elle est ou la patte que nous sommes en droit d’attendre de la part d’un coach recordman de la longévité en Europe avec Wenger, qui s’il est décrié pour ses non-titres, maintient cependant avec Arsenal une identité de jeu incontestable ?
Peut-on en parler désormais ou est-ce toujours tabou ?
Peut-on imaginer que le débat ne soit pas binaire, pour ou contre Galette, mais plutôt penser qu’il puisse être l’homme de la situation pour effectuer un nouveau cycle, à condition qu’il soit épaulé et que la remise en cause fonctionne à son encontre également ?
Non ce pavé n’est pas une cabale contre Galette que j’apprécie tellement en tant qu’homme, mais plutôt une alerte à la direction et un constat qui dirait que pour ne serait-ce que maintenir les Verts à ce niveau, si ce n’est grandir, elle doit re-structurer la direction sportive.
Pour ne pas dépendre d’un seul homme et rééquilibrer les pouvoirs, ça saute aux yeux actuellement.
Et parce qu'il n'est jamais bon d'être immunisé contre la critique.
Il y a la place pour aller chercher quelque chose cette saison, mais faut faire bouger certaines lignes.
Vais sans doutes me faire saccager par certains mais c'est pas grave, c'est pour la bonne cause, notre pouvoir de supps est plus important que l'on veut bien le croire.
La bise
ALV