Pas de bol, t'as quoté juste avant que je rajoute cette mauvaise nouvelle à mon post :lol:lolo72 a écrit :vinsanity a écrit :La Chorale de Roanne l'emporte au Havre 94 à 80 !
Article rédigé en attente de publication
Dijon-Le Mans : 90-77
:pleure:
[Basket] Reprise saison NBA
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
14 passes decisives pour Sciarra et 27 d'evaluation :evil:vinsanity a écrit :
Je vois que lolo72 traine sur le forum ... désolé pour le MSB qui s'incline à Dijon avec un superbe Lolo Sciarra.
2 sur 14 a 3 pts pour le MSB
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"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Des Spurs tout neufs
Pour leur neuvième succès consécutif, les champions en titre ont montré leur nouveau visage. Le timonier Duncan une fois encore à la peine, ce sont en effet les duettistes Ginobili et Parker qui ont mené San Antonio à la victoire 88-92 à Indiana avec respectivement 29 et 17 points. Et la soirée a été d'autant plus faste pour les Texans qu'en plus de conforter leur statut de leader à l'ouest, les Spurs sont également revenus à une victoire des Pistons, Detroit ayant en effet chuté sur le fil à Miami 100-98, Dwyane Wade signant 37 points.
Les saisons se suivent et se ressemblent pour les Spurs. A étudier le déroulé de l'exercice 2005-06, il flotte tout du moins comme un parfum de déjà vu particulièrement prononcé. Car une fois encore, il semble bel et bien avoir fallu attendre leur traditionnel road-trip hivernal, rodéos à l'ATT Center obligent, pour voir les Texans accélérer le tempo en tête de la Ligue. Ainsi après être jusqu'alors restés dans l'ombre des intraitables de Detroit, les champions en titre paraissent ainsi décidés à faire valoir leur rang. En atteste leur historique série de neuf victoires consécutives enregistrées depuis deux semaines. Historique car elle coïncide avec leur tournée américaine et leur vaut, avec neuf victoires de rang enregistrées à l'extérieur, d'entrer dans les annales de la franchise.
Et la performance des Texans est d'autant plus remarquable que si, traditionnellement, c'est la montée en puissance de leur leader Tim Duncan qui avait valeur de réveil hivernal, le double MVP de la Ligue semble cette fois ne pas en voir terminé avec son hibernation. Entre un pied douloureux et une grippe intestine tenace, l'intérieur texan n'est ainsi que l'ombre de lui-même. Il en faudrait néanmoins plus pour perturber la marche en avant des champions en titre tant San Antonio peut désormais compter sur son attelage franco-argentin. Un attelage labellisé all-star, Tony Parker ayant pris la suite de Manu Ginobili cette année aux côtés de Duncan.
Et force est de constater qu'il n'y avait bien que les blessures pour perturber son début de saison et empêcher l'Argentin d'accompagner ses deux compères du Big Three au raout des étoiles. Car son entorse à la cheville rangée au rayon des mauvais souvenirs, El Manu semble bien avoir retrouvé toute sa verve. Après avoir passé 23 points à la défense des Nets pour mener les siens à la victoire, il a ainsi remis le couvert face aux Pacers, terminant non seulement meilleur marqueur de la rencontre avec 29 points, mais se montrant surtout, comme à sa bonne habitude, particulièrement à son avantage dès qu'il s'est agit de forcer la décision dans les ultimes minutes.
Pop: "ça ne m'impressionne plus!"
Avec 10 points inscrits au cours des 90 dernières secondes, c'est peu dire qu'il a été décisif. Les Spurs comptés cinq après une banderille primée de Stephen Jackson, l'artificier moustachu d'Indiana tentant ainsi de se rappeler au bon souvenir de ses anciens partenaires malgré un piètre 4 sur 13 aux tir pour 17 points, c'est en effet Ginobili qui permettait aux siens de se relever après un inespéré trois points inscrits dès 11 mètres et au bout des 24 secondes. "Les chances de mettre ce shoot n'était vraiment pas élevées." pouvait bien reconnaître le héros de la soirée après coup...
Car cinq lancers-francs aidant pour accompagner cette fulgurance à très longue distance, l'Argentin permettait dans la foulée aux Texans de virer en tête à quelques secondes du terme de la rencontre. Et Tim Duncan faisant oublier, ou presque, son inhabituelle discrétion –10 points à 4 sur 15 aux tirs et 11 rebonds- par une défense cruciale sur Fred Jones, alors que celui-ci avait la balle d'égalisation entre les mains, la neuvième victoire consécutive des Spurs était scellée. "Ce qu'il fait ne m'impressionne même plus. C'est ainsi qu'il joue soir après soir, confiait ainsi Gregg Popovich au sujet de son fantasque Argentin , c'est un compétiteur né et on l'a encore vu ce soir. Il se nourrit du danger."
Mais San Antonio, c'est également un collectif et l'Argentin n'a pas été le seul Texan à se distinguer. Ainsi Tony Parker, s'il n'a pas connu sa réussite habituelle, s'est tout de même fendu de 17 points à 6 sur 15 et 6 passes, confirmant en revanche ses progrès aux lancers avec un solide 5 sur 6. Nazr Mohammed, branché le plus souvent sur alternatif, était cette fois dans un bon jour avec 12 points à 6 sur 7 et 9 rebonds et Bruce Bowen n'a pas fait que défendre comme le prouvent ses 16 points à 7 sur 12 aux tirs. De quoi passer outre la domination de leurs hôtes au rebond ou au pourcentage d'adresse, Peja Stojakovic ayant été le premier soutien de Jackson avec 16 points et 8 rebonds, et se repositionner dans le sillage immédiat des Pistons en tête de la Ligue. En attendant mieux...
Detroit, c'est pas la fête
L'hégémonie de Détroit, encore incontestable il y a peu, apparaît plus disputée ces temps-ci. Les Pistons ont en effet concédé dimanche soir à Miami leur troisième défaite en cinq rencontres (100-98). La première belle performance de la saison pour le Heat qui butait jusqu'alors sur les plus prestigieuses cylindrées de la NBA. En attestent les récents revers essuyés devant les Mavericks de Dallas, deuxièmes de la conférence Ouest, et les New Jersey Nets, quatrièmes à l'Est. Une victoire arrachée dans le dernier quart-temps grâce à un Dwyane Wade survolté, auteur de 37 points, dont 17 dans les ultimes minutes, et à un Shaq non moins explosif qui a achevé la soirée avec 31 points au compteur, sa meilleure performance de l'année.
Dans les rangs des champions 2004, Chauncey Billups (29 points, 10 passes), Richard Hamilton (25 points) et Rasheed Wallace (21 points) ont pourtant livré un gros match. En vain. Le choc face à New-Jersey mardi soir au Palace d'Auburn Hills sera l'occasion de repartir de l'avant.
www.sports.fr
Pour leur neuvième succès consécutif, les champions en titre ont montré leur nouveau visage. Le timonier Duncan une fois encore à la peine, ce sont en effet les duettistes Ginobili et Parker qui ont mené San Antonio à la victoire 88-92 à Indiana avec respectivement 29 et 17 points. Et la soirée a été d'autant plus faste pour les Texans qu'en plus de conforter leur statut de leader à l'ouest, les Spurs sont également revenus à une victoire des Pistons, Detroit ayant en effet chuté sur le fil à Miami 100-98, Dwyane Wade signant 37 points.
Les saisons se suivent et se ressemblent pour les Spurs. A étudier le déroulé de l'exercice 2005-06, il flotte tout du moins comme un parfum de déjà vu particulièrement prononcé. Car une fois encore, il semble bel et bien avoir fallu attendre leur traditionnel road-trip hivernal, rodéos à l'ATT Center obligent, pour voir les Texans accélérer le tempo en tête de la Ligue. Ainsi après être jusqu'alors restés dans l'ombre des intraitables de Detroit, les champions en titre paraissent ainsi décidés à faire valoir leur rang. En atteste leur historique série de neuf victoires consécutives enregistrées depuis deux semaines. Historique car elle coïncide avec leur tournée américaine et leur vaut, avec neuf victoires de rang enregistrées à l'extérieur, d'entrer dans les annales de la franchise.
Et la performance des Texans est d'autant plus remarquable que si, traditionnellement, c'est la montée en puissance de leur leader Tim Duncan qui avait valeur de réveil hivernal, le double MVP de la Ligue semble cette fois ne pas en voir terminé avec son hibernation. Entre un pied douloureux et une grippe intestine tenace, l'intérieur texan n'est ainsi que l'ombre de lui-même. Il en faudrait néanmoins plus pour perturber la marche en avant des champions en titre tant San Antonio peut désormais compter sur son attelage franco-argentin. Un attelage labellisé all-star, Tony Parker ayant pris la suite de Manu Ginobili cette année aux côtés de Duncan.
Et force est de constater qu'il n'y avait bien que les blessures pour perturber son début de saison et empêcher l'Argentin d'accompagner ses deux compères du Big Three au raout des étoiles. Car son entorse à la cheville rangée au rayon des mauvais souvenirs, El Manu semble bien avoir retrouvé toute sa verve. Après avoir passé 23 points à la défense des Nets pour mener les siens à la victoire, il a ainsi remis le couvert face aux Pacers, terminant non seulement meilleur marqueur de la rencontre avec 29 points, mais se montrant surtout, comme à sa bonne habitude, particulièrement à son avantage dès qu'il s'est agit de forcer la décision dans les ultimes minutes.
Pop: "ça ne m'impressionne plus!"
Avec 10 points inscrits au cours des 90 dernières secondes, c'est peu dire qu'il a été décisif. Les Spurs comptés cinq après une banderille primée de Stephen Jackson, l'artificier moustachu d'Indiana tentant ainsi de se rappeler au bon souvenir de ses anciens partenaires malgré un piètre 4 sur 13 aux tir pour 17 points, c'est en effet Ginobili qui permettait aux siens de se relever après un inespéré trois points inscrits dès 11 mètres et au bout des 24 secondes. "Les chances de mettre ce shoot n'était vraiment pas élevées." pouvait bien reconnaître le héros de la soirée après coup...
Car cinq lancers-francs aidant pour accompagner cette fulgurance à très longue distance, l'Argentin permettait dans la foulée aux Texans de virer en tête à quelques secondes du terme de la rencontre. Et Tim Duncan faisant oublier, ou presque, son inhabituelle discrétion –10 points à 4 sur 15 aux tirs et 11 rebonds- par une défense cruciale sur Fred Jones, alors que celui-ci avait la balle d'égalisation entre les mains, la neuvième victoire consécutive des Spurs était scellée. "Ce qu'il fait ne m'impressionne même plus. C'est ainsi qu'il joue soir après soir, confiait ainsi Gregg Popovich au sujet de son fantasque Argentin , c'est un compétiteur né et on l'a encore vu ce soir. Il se nourrit du danger."
Mais San Antonio, c'est également un collectif et l'Argentin n'a pas été le seul Texan à se distinguer. Ainsi Tony Parker, s'il n'a pas connu sa réussite habituelle, s'est tout de même fendu de 17 points à 6 sur 15 et 6 passes, confirmant en revanche ses progrès aux lancers avec un solide 5 sur 6. Nazr Mohammed, branché le plus souvent sur alternatif, était cette fois dans un bon jour avec 12 points à 6 sur 7 et 9 rebonds et Bruce Bowen n'a pas fait que défendre comme le prouvent ses 16 points à 7 sur 12 aux tirs. De quoi passer outre la domination de leurs hôtes au rebond ou au pourcentage d'adresse, Peja Stojakovic ayant été le premier soutien de Jackson avec 16 points et 8 rebonds, et se repositionner dans le sillage immédiat des Pistons en tête de la Ligue. En attendant mieux...
Detroit, c'est pas la fête
L'hégémonie de Détroit, encore incontestable il y a peu, apparaît plus disputée ces temps-ci. Les Pistons ont en effet concédé dimanche soir à Miami leur troisième défaite en cinq rencontres (100-98). La première belle performance de la saison pour le Heat qui butait jusqu'alors sur les plus prestigieuses cylindrées de la NBA. En attestent les récents revers essuyés devant les Mavericks de Dallas, deuxièmes de la conférence Ouest, et les New Jersey Nets, quatrièmes à l'Est. Une victoire arrachée dans le dernier quart-temps grâce à un Dwyane Wade survolté, auteur de 37 points, dont 17 dans les ultimes minutes, et à un Shaq non moins explosif qui a achevé la soirée avec 31 points au compteur, sa meilleure performance de l'année.
Dans les rangs des champions 2004, Chauncey Billups (29 points, 10 passes), Richard Hamilton (25 points) et Rasheed Wallace (21 points) ont pourtant livré un gros match. En vain. Le choc face à New-Jersey mardi soir au Palace d'Auburn Hills sera l'occasion de repartir de l'avant.
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C'est mieux que ça, il a tout simplment marqué les 17 derniers points du Heat !vinsanity a écrit :Une victoire arrachée dans le dernier quart-temps grâce à un Dwyane Wade survolté, auteur de 37 points, dont 17 dans les ultimes minutes.
Sinon, je viens de voir que Tony Parker avait été sélectionné pour le Radio Shack Shooting Stars, concours de shoots organisés lors du All-star week-end réunissant 4 équipes, chacunes composées d'un joueur NBA, d'une joueuse WNBA et d'un ancien. Pour San Antonio, TP sera accompagnée de Kendra Wecker, rookie des San Antonio Silver Star, et de Steve Kerr.
Pour info, les autres équipes :
Houston : Tracy McGrady, Sheryl Swoopes, Clyde Drexler.
Los Angeles : Kobe Bryant, Lisa Leslie, Magic Johnson.
Phoenix : Shawn Marion, Kelly Miller, Dan Majerle.
Extrait du blog de Lang Whitaker (Slam Magazine et fan déclaré des Hawks) sur nba.com :
Atlanta Hawks GM Billy Knight is known for his ability to judge talent in the Draft. He's has been in charge of three Drafts with the Hawks, and of the four players he's drafted in the first round, the most productive one is no longer on our team: Boris Diaw.
Ah, Boris. Why did Boris Diaw play so passively in Atlanta for two years before breaking out in Phoenix? The obvious explanation is that it's because he's French. Though this seems an unlikely idea, we all know we can't trust the French. C'est vrai, non? Je badine!
When Boris was in Atlanta, he was always maddening to watch. He'd get the ball, drive to the basket and then throw it all the way out to the three-point line. Open jumpers? Mais non, pas moi. Eventually the Hawks just started using him pretty much exclusively to throw inbounds passes, like a French version of Scott Hastings (who I maintain is the finest inbounds passer in Atlanta Hawks franchise history).
Thing was, Boris was such a nice guy. One of my favorite memories of the last few years was being in the Hawks locker room in Atlanta one while Stephen Jackson tried to teach Boris how to say the word "banana" with a southern accent. "Say it with some soul!" S-Jack exhorted. During the Finals last summer, Boris introduced me to Eva Longoria. So I can't really ever hold anything against him.
Finally, though, I got fed up. When the Hawks were in New York, I went up to Boris in the locker room, sat down next to him, and throwing any journalistic credibility to the wind, I confronted him. (Nicely, of course.)
"Boris," I said, "why don't you shoot the ball?"
"What do you mean?" he asked.
"You don't shoot. You're always open, but you never shoot. The Hawks need you to shoot to keep the defenses honest. What's the deal?"
"It's OK," he said with a smile.
And that was all I could ever get out of him.
So why did he turn into Magic Johnson all of a sudden? I think -- discounting the French theory -- it has a lot to do with Steve Nash, who not only excels at getting guys the ball in the right spots, but also at getting guys involved off of the floor, making them feel like they're a part of the team. That's what being a point guard is all about, and that's why Phoenix was willing to pay Nash the big bucks two summers ago. When was the last time a team won a title when everyone on the team hated the point guard? (No, I'm not going to make the obvious Isiah Thomas joke here.) For a team and its players to be successful in the NBA, it starts and ends with the point guard.
Assez d'accord avec ça, je pense que Boris doit chaque jour bénir le Ciel d'avoir le bonheur de jouer avec Nash.
Atlanta Hawks GM Billy Knight is known for his ability to judge talent in the Draft. He's has been in charge of three Drafts with the Hawks, and of the four players he's drafted in the first round, the most productive one is no longer on our team: Boris Diaw.
Ah, Boris. Why did Boris Diaw play so passively in Atlanta for two years before breaking out in Phoenix? The obvious explanation is that it's because he's French. Though this seems an unlikely idea, we all know we can't trust the French. C'est vrai, non? Je badine!
When Boris was in Atlanta, he was always maddening to watch. He'd get the ball, drive to the basket and then throw it all the way out to the three-point line. Open jumpers? Mais non, pas moi. Eventually the Hawks just started using him pretty much exclusively to throw inbounds passes, like a French version of Scott Hastings (who I maintain is the finest inbounds passer in Atlanta Hawks franchise history).
Thing was, Boris was such a nice guy. One of my favorite memories of the last few years was being in the Hawks locker room in Atlanta one while Stephen Jackson tried to teach Boris how to say the word "banana" with a southern accent. "Say it with some soul!" S-Jack exhorted. During the Finals last summer, Boris introduced me to Eva Longoria. So I can't really ever hold anything against him.
Finally, though, I got fed up. When the Hawks were in New York, I went up to Boris in the locker room, sat down next to him, and throwing any journalistic credibility to the wind, I confronted him. (Nicely, of course.)
"Boris," I said, "why don't you shoot the ball?"
"What do you mean?" he asked.
"You don't shoot. You're always open, but you never shoot. The Hawks need you to shoot to keep the defenses honest. What's the deal?"
"It's OK," he said with a smile.
And that was all I could ever get out of him.
So why did he turn into Magic Johnson all of a sudden? I think -- discounting the French theory -- it has a lot to do with Steve Nash, who not only excels at getting guys the ball in the right spots, but also at getting guys involved off of the floor, making them feel like they're a part of the team. That's what being a point guard is all about, and that's why Phoenix was willing to pay Nash the big bucks two summers ago. When was the last time a team won a title when everyone on the team hated the point guard? (No, I'm not going to make the obvious Isiah Thomas joke here.) For a team and its players to be successful in the NBA, it starts and ends with the point guard.
Assez d'accord avec ça, je pense que Boris doit chaque jour bénir le Ciel d'avoir le bonheur de jouer avec Nash.
LeBron James éteint TP
Tony Parker peut y voir une nouvelle reconnaissance. Mais peut-être s'en serait-il bien passer. Toujours est-il que le nouvel All-Star a eu droit à un traitement de faveur en étant pris en défense par LeBron James lui-même. Et force est de constater que l'expérience a tourné au cauchemar pour le Français puisqu'il a livré son pire match de l'année en rendant 4 points à 2 sur 7 aux tirs, 4 passes pour 7 pertes de balle. De quoi valoir aux Spurs leur première défaite en dix matches, les Cavaliers l'emportant 101-87 avec un nouveau récital de King James. Car le prodige de l'Ohio n'a pas fait que briller en défense, il a en effet aussi été étincelant en attaque avec 44 points à 19 sur 33 aux tirs. Zydrunas Ilgauskas ajoutant 17 points-11 rebonds et Tim Duncan étant le plus en vue chez les Texans avec 19 points-10 rebonds, les Cavs ont pu faire la différence dans le dernier quart.
:shock:
Tony Parker peut y voir une nouvelle reconnaissance. Mais peut-être s'en serait-il bien passer. Toujours est-il que le nouvel All-Star a eu droit à un traitement de faveur en étant pris en défense par LeBron James lui-même. Et force est de constater que l'expérience a tourné au cauchemar pour le Français puisqu'il a livré son pire match de l'année en rendant 4 points à 2 sur 7 aux tirs, 4 passes pour 7 pertes de balle. De quoi valoir aux Spurs leur première défaite en dix matches, les Cavaliers l'emportant 101-87 avec un nouveau récital de King James. Car le prodige de l'Ohio n'a pas fait que briller en défense, il a en effet aussi été étincelant en attaque avec 44 points à 19 sur 33 aux tirs. Zydrunas Ilgauskas ajoutant 17 points-11 rebonds et Tim Duncan étant le plus en vue chez les Texans avec 19 points-10 rebonds, les Cavs ont pu faire la différence dans le dernier quart.
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Greengexois exilé
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Du nettoyage de banc en vue pour Johan Petro qui reste sr un match satisfaisant cette nuit avec 6 pts et 5 rbds en 22mn.
En effet Swift a pris le dessus sur lui et surtout les Sonics ont échanger l'ailier Radmanovic contre le pivot des Clippers Chris Wilcox : joueur plus expérimenté et aux stats bien que Johan, surtout en sachant que la raquette est blindée chez les Clippers. Courage Johan, le temps va te paraître bien long
En effet Swift a pris le dessus sur lui et surtout les Sonics ont échanger l'ailier Radmanovic contre le pivot des Clippers Chris Wilcox : joueur plus expérimenté et aux stats bien que Johan, surtout en sachant que la raquette est blindée chez les Clippers. Courage Johan, le temps va te paraître bien long
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
En coupe de France, élimination de Saint-Etienne par Toulon(pro A) 87 a 78 et élimination aussi de Roanne a St Vallier 94 a 93 :shock:
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"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
6pts 5rbds en 21min pour un intérieur rookie, c'est vraiment pas mal.greengexois a écrit :Du nettoyage de banc en vue pour Johan Petro qui reste sr un match satisfaisant cette nuit avec 6 pts et 5 rbds en 22mn.
En effet Swift a pris le dessus sur lui et surtout les Sonics ont échanger l'ailier Radmanovic contre le pivot des Clippers Chris Wilcox : joueur plus expérimenté et aux stats bien que Johan, surtout en sachant que la raquette est blindée chez les Clippers. Courage Johan, le temps va te paraître bien long
Swift a fait 2 match d'éclat, mais son temps de jeu n'augmente pas par rapport à Petro ... pourquoi ? Car Swift est bien moins abouti du point de vue tactique, et bien moins performant en défense. Et ca, ca se voit pas dans les stats.
Et puis vu que les Sonics ont pour objectif de décaler Petro poste 4 car il est assez rapide, son temps de jeu devrai toujours osciller autour de 20min, d'autant plus que Radmanovic jouait poste 4.
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Greengexois exilé
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o_vert_seas1
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Pour Petro, ce qui m'intrigue le plus depuis quelques matchs c'est sa capacité à prendre plus de rebonds offensifs que défensifs... chance ou placement plus opportun ?
Pour le blog sur Bobo, je pense que n'importe quel joueur peut rêver de jouer avec S. Nash, mais c'est très surfait à mon avis... En fait, ça n'a rien de scientifique, mais au delà du nombre pur d'assists, il y a aussi la "qualité", dans le sens de difficulté. Par exemple, un alley-oop est quasiment un panier assuré et à mon sens une passe "facile". Par opposition à une passe traversant toute la raquette et une foultitude d'interceptions possibles pour aller chercher un joueur démarqué en coin aux 3pts.
J'ai remarqué que le nombre d'assists est toujours fonction du style de jeu (rapide vs. placé) et souvent proportionnel à la versatilité et à "l'athlétisme" des postes 2 à 4. Par exemple, Kidd fait énormément de passes décisives sous forme de alley-oops à RJ et Vince Carter, avant il les faisait à K-Mart et RJ. Idem pour Nash avec Amare et S MArion, et cette année avec S Marion et Bobo. Et Bobo lui-même, dans ses nombreuses assists, à un bon nombre de alley-oops à S Marion. A l'inverse, un TP envoie plus souvent des balles en extérieur à Bowen, Horry ou Barry, et ces passes ne deviennent des assists que si les paniers rentrent. D'ailleurs Nash tournait autour des 7-8 assists en moyenne à Dallas où il n'y avait pas de joueur "S-Marion-like".
Pour le blog sur Bobo, je pense que n'importe quel joueur peut rêver de jouer avec S. Nash, mais c'est très surfait à mon avis... En fait, ça n'a rien de scientifique, mais au delà du nombre pur d'assists, il y a aussi la "qualité", dans le sens de difficulté. Par exemple, un alley-oop est quasiment un panier assuré et à mon sens une passe "facile". Par opposition à une passe traversant toute la raquette et une foultitude d'interceptions possibles pour aller chercher un joueur démarqué en coin aux 3pts.
J'ai remarqué que le nombre d'assists est toujours fonction du style de jeu (rapide vs. placé) et souvent proportionnel à la versatilité et à "l'athlétisme" des postes 2 à 4. Par exemple, Kidd fait énormément de passes décisives sous forme de alley-oops à RJ et Vince Carter, avant il les faisait à K-Mart et RJ. Idem pour Nash avec Amare et S MArion, et cette année avec S Marion et Bobo. Et Bobo lui-même, dans ses nombreuses assists, à un bon nombre de alley-oops à S Marion. A l'inverse, un TP envoie plus souvent des balles en extérieur à Bowen, Horry ou Barry, et ces passes ne deviennent des assists que si les paniers rentrent. D'ailleurs Nash tournait autour des 7-8 assists en moyenne à Dallas où il n'y avait pas de joueur "S-Marion-like".
Je comprends pas trop ton propos. Qu'est-ce qui est surfait ? Steve Nash ou ce que raconte le blogueur ?o_vert_seas1 a écrit :Pour le blog sur Bobo, je pense que n'importe quel joueur peut rêver de jouer avec S. Nash, mais c'est très surfait à mon avis... En fait, ça n'a rien de scientifique, mais au delà du nombre pur d'assists, il y a aussi la "qualité", dans le sens de difficulté. Par exemple, un alley-oop est quasiment un panier assuré et à mon sens une passe "facile". Par opposition à une passe traversant toute la raquette et une foultitude d'interceptions possibles pour aller chercher un joueur démarqué en coin aux 3pts.
J'ai remarqué que le nombre d'assists est toujours fonction du style de jeu (rapide vs. placé) et souvent proportionnel à la versatilité et à "l'athlétisme" des postes 2 à 4. Par exemple, Kidd fait énormément de passes décisives sous forme de alley-oops à RJ et Vince Carter, avant il les faisait à K-Mart et RJ. Idem pour Nash avec Amare et S MArion, et cette année avec S Marion et Bobo. Et Bobo lui-même, dans ses nombreuses assists, à un bon nombre de alley-oops à S Marion. A l'inverse, un TP envoie plus souvent des balles en extérieur à Bowen, Horry ou Barry, et ces passes ne deviennent des assists que si les paniers rentrent. D'ailleurs Nash tournait autour des 7-8 assists en moyenne à Dallas où il n'y avait pas de joueur "S-Marion-like".
Parce que, d'une part, je ne suis pas d'accord avec toi sur la "facilité" présumé d'un alley-hoop, pas plus sur le fait que Nash ne fasse que ce genre de passes et d'autre part, et surtout, Whitaker ne parle pas tant du jeu de Nash que de l'influence positive qu'il a sur une équipe sur et en dehors du terrain.
Sinon, je suppute que tu voulais écrire "polyvalence" plutôt que "versatilité" pour traduire "versatility", sans quoi, ta phrase n'a guère de sens.
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o_vert_seas1
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Effectivement, à la relecture, mon post n'est pas aussi clair que l'étaient mes idées...Karamba a écrit :Je comprends pas trop ton propos. Qu'est-ce qui est surfait ? Steve Nash ou ce que raconte le blogueur ?o_vert_seas1 a écrit :Pour le blog sur Bobo, je pense que n'importe quel joueur peut rêver de jouer avec S. Nash, mais c'est très surfait à mon avis... En fait, ça n'a rien de scientifique, mais au delà du nombre pur d'assists, il y a aussi la "qualité", dans le sens de difficulté. Par exemple, un alley-oop est quasiment un panier assuré et à mon sens une passe "facile". Par opposition à une passe traversant toute la raquette et une foultitude d'interceptions possibles pour aller chercher un joueur démarqué en coin aux 3pts.
J'ai remarqué que le nombre d'assists est toujours fonction du style de jeu (rapide vs. placé) et souvent proportionnel à la versatilité et à "l'athlétisme" des postes 2 à 4. Par exemple, Kidd fait énormément de passes décisives sous forme de alley-oops à RJ et Vince Carter, avant il les faisait à K-Mart et RJ. Idem pour Nash avec Amare et S MArion, et cette année avec S Marion et Bobo. Et Bobo lui-même, dans ses nombreuses assists, à un bon nombre de alley-oops à S Marion. A l'inverse, un TP envoie plus souvent des balles en extérieur à Bowen, Horry ou Barry, et ces passes ne deviennent des assists que si les paniers rentrent. D'ailleurs Nash tournait autour des 7-8 assists en moyenne à Dallas où il n'y avait pas de joueur "S-Marion-like".
Parce que, d'une part, je ne suis pas d'accord avec toi sur la "facilité" présumé d'un alley-hoop, pas plus sur le fait que Nash ne fasse que ce genre de passes et d'autre part, et surtout, Whitaker ne parle pas tant du jeu de Nash que de l'influence positive qu'il a sur une équipe sur et en dehors du terrain.
Sinon, je suppute que tu voulais écrire "polyvalence" plutôt que "versatilité" pour traduire "versatility", sans quoi, ta phrase n'a guère de sens.
Facilité n'est peut-être pas le bon mot, mais la passe alley-oop est celle qui a statistiquement le plus de chance de s'avérer décisive, et donc d'être comptée comme "assist". En outre, il est plus facile d'avoir dans une équipe NBA quelconque un point guard qui sache faire ce genre de passe plutôt que des dunkers qui en profitent. Donc un Nash ou un Kidd aura toujours plus d'assists qu'un Hinrich ou un Marbury par exemple, parce qu'ils ont la possibilité dans leur équipe de trouver très régulièrement des bras au-dessus des panneaux. Je ne dis pas que Nash et Kidd ne font que ce genre de passes, mais que dans leur moyenne d'assists chuterait sensiblement avec d'autres profils de partenaires.
Après, sur l'influence, c'est un autre débat... je pense que l'ambiance dans une équipe est avant tout conditionnée par les résultats, et comme ils sont en nette amélioration depuis 1an et demi, je ne vois pas pourquoi l'atmosphère se crisperait... D'ici à attribuer ça à Nash... Je n'ai rien contre lui en particulier, je trouve simplement qu'on en fait beaucoup à son sujet, alors qu'il se trouve juste au bon endroit (une franchise orpheline de sa star) au bon moment (avec l'éclosion de Stoudemire et la confirmation de Marion, qui ont entre autre permis de séduire de bons joueurs complémentaires cet été).
Sinon, désolé pour mon français, ça déforme de tout suivre en anglais :oops:
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Greengexois exilé
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- Inscription : 12 sept. 2005, 13:16
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Greengexois exilé
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Nate Robinson remporte le concours de dunks !
Le meneur remplaçant des New York Knicks, Nate Robinson, remporté le concours de dunks.
Malgré sa petite taille (1,75 m), Robinson s'est imposé en finale sur le score de 47 points à 46 face à l'arrière des Philadelphia 76ers, Andre Iguodala (1,98 m), à l'issue d'un vote effectué par un panel d'anciens joueurs (Kenny Smith, Moses Malone, Clyde Drexler, Rudy Tomjanovich et Julius Erving).
Les deux hommes ont réussi des smashs à la fois créatifs et spectaculaires qui ont fait se lever le public, en même temps qu'ils revitalisaient un concours de dunks qui, depuis quelques années, suscitait un moindre intérêt.
Il a d'ailleurs fallu un 3e tour pour départager les deux acrobates qui avaient terminé ex-aequo 94 à 94, à l'issue des 2 premiers tours de leur duel. Pour l'un de ses dunks, Robinson s'est fait aider par Spud Webb qui, à 1,70 m sous la toise, reste le plus petit vainqueur de cette épreuve qu'il avait remportée en 1986. Le New Yorkais a réussi ce dunk en sautant par-dessus Spud Webb, un peu comme l'avait fait Vince Carter aux dépens de Frédéric Weis, lors d'un France-Etats-Unis aux J.O. de Sydney en 2000.
En demi-finale, Robinson et Iguodala avaient devancé l'ailier des Atlanta Hawks, Josh Smith, et l'ailier des Memphis Grizzlies, Hakim Warrick.
A Dirk le concours de shoot à 3pts !
Dirk Nowitzki, a remporté le concours des tirs à 3 points.
Nowitzki s'est imposé en finale en marquant 18 points sur 30 possibles. Le meneur de jeu des Washington Wizards, Gilbert Arenas, a pris la 2e place avec 16 points et l'arrière des Seattle Supersonics, Ray Allen, a terminé 3e avec 15 points.
En demi-finale, le trio avait éliminé Chauncey Billups (Detroit Pistons), Quentin Richardson (New York Knicks) et Jason Terry (Dallas Mavericks).
TP et les Spurs remportent le Shooting Star !
Tony Parker, a ajouté un nouveau trophée à sa collection : le "shooting stars contest", concours de tirs.
Associé à l'ex-arrière des Spurs et des Chicago Bulls, Steve Kerr, et à la joueuse des San Antonio Silver Stars (WNBA), Kendra Wecker, Parker a payé de sa personne en réussissant un tir à 3 points et un tir du milieu du terrain, en s'aidant de la planche, exploit qui a donné le trophée à son équipe.
San Antonio a d'ailleurs établi un nouveau record dans cette compétition: 25 sec 1/10e pour réussir les six tirs, "un record qui sera dur à battre" à souligné Steve Kerr.
L'équipe de Tony Parker ne partait pourtant pas favorite puisque seulement 9% des internautes sur le site www.NBA.com la voyait gagnante face aux trois autres trio : Magic Johnson/Kobe Bryant/Lisa Leslie (Los Angeles), Clyde Drexler/Tracy McGrady/Sheryl Swoopes (Houston) et Dan Majerle/Steve Nash/Kelly Miller (Phoenix).
"Franchement, je n'aurais jamais pensé gagner une compétition de shoots mais je prends cela avec plaisir", a déclaré Parker à l'AFP quelques minutes après le concours. "J'ai eu de la chance de mettre ce shoot du milieu du terrain car c'était le shoot à réussir pour gagner".
"Ce matin (samedi), à l'entraînement avec l'équipe de l'Ouest, a-t-il précisé, on avait misé de l'argent pour savoir qui serait le premier à rentrer un tir du milieu de terrain. Et c'est Kobe (Bryant) qui a gagné. Et là, avant de commencer, j'ai dit à Kobe : 'tu vas voir, je vais mettre mon shoot du milieu de terrain et c'est nous qui allons gagner la compétition!'. Du coup, je l'ai chambré après. En plus, j'ai mis le tir avec la planche, c'était marrant !".[/color]
Le meneur remplaçant des New York Knicks, Nate Robinson, remporté le concours de dunks.
Malgré sa petite taille (1,75 m), Robinson s'est imposé en finale sur le score de 47 points à 46 face à l'arrière des Philadelphia 76ers, Andre Iguodala (1,98 m), à l'issue d'un vote effectué par un panel d'anciens joueurs (Kenny Smith, Moses Malone, Clyde Drexler, Rudy Tomjanovich et Julius Erving).
Les deux hommes ont réussi des smashs à la fois créatifs et spectaculaires qui ont fait se lever le public, en même temps qu'ils revitalisaient un concours de dunks qui, depuis quelques années, suscitait un moindre intérêt.
Il a d'ailleurs fallu un 3e tour pour départager les deux acrobates qui avaient terminé ex-aequo 94 à 94, à l'issue des 2 premiers tours de leur duel. Pour l'un de ses dunks, Robinson s'est fait aider par Spud Webb qui, à 1,70 m sous la toise, reste le plus petit vainqueur de cette épreuve qu'il avait remportée en 1986. Le New Yorkais a réussi ce dunk en sautant par-dessus Spud Webb, un peu comme l'avait fait Vince Carter aux dépens de Frédéric Weis, lors d'un France-Etats-Unis aux J.O. de Sydney en 2000.
En demi-finale, Robinson et Iguodala avaient devancé l'ailier des Atlanta Hawks, Josh Smith, et l'ailier des Memphis Grizzlies, Hakim Warrick.
A Dirk le concours de shoot à 3pts !
Dirk Nowitzki, a remporté le concours des tirs à 3 points.
Nowitzki s'est imposé en finale en marquant 18 points sur 30 possibles. Le meneur de jeu des Washington Wizards, Gilbert Arenas, a pris la 2e place avec 16 points et l'arrière des Seattle Supersonics, Ray Allen, a terminé 3e avec 15 points.
En demi-finale, le trio avait éliminé Chauncey Billups (Detroit Pistons), Quentin Richardson (New York Knicks) et Jason Terry (Dallas Mavericks).
TP et les Spurs remportent le Shooting Star !
Tony Parker, a ajouté un nouveau trophée à sa collection : le "shooting stars contest", concours de tirs.
Associé à l'ex-arrière des Spurs et des Chicago Bulls, Steve Kerr, et à la joueuse des San Antonio Silver Stars (WNBA), Kendra Wecker, Parker a payé de sa personne en réussissant un tir à 3 points et un tir du milieu du terrain, en s'aidant de la planche, exploit qui a donné le trophée à son équipe.
San Antonio a d'ailleurs établi un nouveau record dans cette compétition: 25 sec 1/10e pour réussir les six tirs, "un record qui sera dur à battre" à souligné Steve Kerr.
L'équipe de Tony Parker ne partait pourtant pas favorite puisque seulement 9% des internautes sur le site www.NBA.com la voyait gagnante face aux trois autres trio : Magic Johnson/Kobe Bryant/Lisa Leslie (Los Angeles), Clyde Drexler/Tracy McGrady/Sheryl Swoopes (Houston) et Dan Majerle/Steve Nash/Kelly Miller (Phoenix).
"Franchement, je n'aurais jamais pensé gagner une compétition de shoots mais je prends cela avec plaisir", a déclaré Parker à l'AFP quelques minutes après le concours. "J'ai eu de la chance de mettre ce shoot du milieu du terrain car c'était le shoot à réussir pour gagner".
"Ce matin (samedi), à l'entraînement avec l'équipe de l'Ouest, a-t-il précisé, on avait misé de l'argent pour savoir qui serait le premier à rentrer un tir du milieu de terrain. Et c'est Kobe (Bryant) qui a gagné. Et là, avant de commencer, j'ai dit à Kobe : 'tu vas voir, je vais mettre mon shoot du milieu de terrain et c'est nous qui allons gagner la compétition!'. Du coup, je l'ai chambré après. En plus, j'ai mis le tir avec la planche, c'était marrant !".[/color]
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vieille allumette
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- Inscription : 05 août 2005, 21:29
- Localisation : Moncton NB canada plus pour longtemps!!!
j'ai eu la chance de pouvoir le concours de dunk, c'etait magnfique, l'impulsion que robinson a pris pour dunker est tout simplement halluccinante
[url=http://img82.imageshack.us/my.php?image=huetforpresidentmodfiedhk4.jpg][img]http://img82.imageshack.us/img82/5796/huetforpresidentmodfiedhk4.th.jpg[/img][/url]
le 27 ocotbre :
THE LEGEND IS BACK : I'M BACK :mrgreen:
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