[Basket] Reprise saison NBA
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Si si. Les 3 premiers de chaque poule sont qualifiés pour le tour suivant, et les victoires obtenues au premier tour contre les équipes qualifiées comptent dans cette seconde phase de poule. Par exemple, pour la France, comme l'Italie et la Slovénie se sont qualifiés, elle comptera 1 victoire et 1 défaite au début de cette seconde phase de poule. Et seuls les deux derniers de chaque poule seront éliminés pour les quarts. L'important est de finir assez haut pour ne pas tomber contre les meilleures équipes ...Vertdur a écrit :J'y connais pas grand chose mais ils n'étaient pas qualifiés les Français déjà, quoi qu'il en soit ?
Vraiment dommage cette fin de match, car ca jouait pas mal lors des 3 premiers quart temps tout le monde jouait son rôle (sauf peut être Bobo :???: ), arbitrage tès moyen surtout en début de match on ca sifflait à sens unique presque.
Sinon cette victoire aurait placé la France parmis les favoris avec donc 2 victoire directement dans cette poule à 6, on risque forcement de tomber contre plus fort que la Slovénie si on sort du groupe E, à moins d'une montée en puissance et une victoire lors des futurs matchs du groupe qualificatif.
Allez on y croit Allez Les Bleus
Sinon cette victoire aurait placé la France parmis les favoris avec donc 2 victoire directement dans cette poule à 6, on risque forcement de tomber contre plus fort que la Slovénie si on sort du groupe E, à moins d'une montée en puissance et une victoire lors des futurs matchs du groupe qualificatif.
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Supporter de l'ASSE, on a pas le même cerveau, mais on a la même passion ! [img]http://www.poteaux-carres.com/forum/images/smiles/icon_mrgreen.gif[/img]
On aura seulement une victoire. Seules les victoires contre les équipes qualifiées pour ce second tour comptent, donc la victoire contre la Pologne n'est pas prise en compte.Mr Shadow a écrit :Vraiment dommage cette fin de match, car ca jouait pas mal lors des 3 premiers quart temps tout le monde jouait son rôle (sauf peut être Bobo :???: ), arbitrage tès moyen surtout en début de match on ca sifflait à sens unique presque.
Sinon cette victoire aurait placé la France parmis les favoris avec donc 2 victoire directement dans cette poule à 6, on risque forcement de tomber contre plus fort que la Slovénie si on sort du groupe E, à moins d'une montée en puissance et une victoire lors des futurs matchs du groupe qualificatif.
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les serbes eliminés c'est bien une petite surprise dommage pour le basket et ce pays.... hum ils ont une telle tradition de ce sport dans ce pays qu'ils vont rebondir.... ha la grande epoque de l'equipe yougoslave kukoc divac petrovic and co... une dream team elle aussi...
bon j'espere une qualif des français pour pekin mais il faurai pas que parker reste le seul marqueur dans cette equipe... en tous cas saluons quand même la densité du basket europeen, je me demande d'ailleurs si ce n'est pas plus agréable et plus instructif de regarder l'euroligue que la NBA où à part quelques equipes c'est devenue un sport "individuel"...
désolé du hs
bon j'espere une qualif des français pour pekin mais il faurai pas que parker reste le seul marqueur dans cette equipe... en tous cas saluons quand même la densité du basket europeen, je me demande d'ailleurs si ce n'est pas plus agréable et plus instructif de regarder l'euroligue que la NBA où à part quelques equipes c'est devenue un sport "individuel"...
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olive verte
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:dontknow: ce sont pas les grecs les champions d'europe en titre les espagnols ce sont les champions du mondevinsanity a écrit :Euro 2007: L'Italie qualifée
Battue par la Slovénie et la France lors des deux premières journées, l'Italie a obtenu son billet pour la seconde phase de poules de l'Euro en battant, mercredi à Alicante, la Pologne lors de la troisième journée de la compétition (79-70).
Euro 2007: L'Espagne battue par la Croatie !
Championne d'Europe en titre et pays hôte de la compétition, l'Espagne s'est inclinée, mercredi à Séville, contre la Croatie lors de la troisième journée de l'Euro (84-85). Une défaite surprenante qui ne prive pas les Espagnols de la première place de la poule B mais qui les ampute d'un point supplémentaire avant d'aborder la seconde phase de poules de la compétition.
Euro 2007: La Russie domine la Grèce
Victorieuse de la Grèce lors de la troisième journée de l'Euro (61-53), la Russie termine la première phase de la compétition en tête de la poule A devant les Grecs et les Israéliens. Les Serbes, battus par Israël, restent à quai.
Euro 2007: La France craque face à la Slovénie
Alors qu'elle a mené de 15 points en début de seconde période, moment où Nesterovic se voyait expulser pour deux fautes techniques, la France a déjoué par la suite pour perdre d'un petit point, lors de la dernière journée de la première phase de poules, contre la Slovénie après que Tony Parker a raté un dernier lancé franc pour envoyer les deux équipes en prolongation (66-67). Les Bleus terminent donc deuxièmes du groupe D derrière les Slovènes et ne compteront que deux points à leur compteur avant d'aborder la seconde phase de cet Euro 2007.
Euro 2007: Le sans-faute de la Lituanie
Victorieuse de ses deux premiers matches contre la Turquie (96-86) et la République tchèque (95-75), la Lituanie a conclu la première phase par une troisième victoire en trois matches contre l'Allemagne (84-80). Les Lituaniens aborderont la seconde phase, où ils rencontreront notamment l'équipe de France, avec quatre points à leur compteur.
Euro 2007: La Serbie éliminée par Israël
Grosse surprise à Grenade où la Serbie, battue mercredi par Israël (83-87), la dernière équipe conviée à cet Euro 2007, est éliminée de la compétition dès la phase de poules. Les Israéliens rejoignent à l'inverse la seconde phase de poules tandis que la première place du groupe A se jouera dans la soirée entre la Grèce et la Russie.
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Grèce, Espagne et France battu hier soir ! Il ne faisait pas bon être favori de la compétition !
Survivor étape 4
La buse, Moloko, Pascal425
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Etant un grand fan des shooters, j'éspere qu'on verra beaucoup plus Cédric Ferchaud au deuxième tour que ca n'a été le cas jusq'à présent d'autant qui peut vraiment apporter à l'équipe par son adresse éxtérieur.....cantalou a écrit :les serbes eliminés c'est bien une petite surprise dommage pour le basket et ce pays.... hum ils ont une telle tradition de ce sport dans ce pays qu'ils vont rebondir.... ha la grande epoque de l'equipe yougoslave kukoc divac petrovic and co... une dream team elle aussi...
bon j'espere une qualif des français pour pekin mais il faurai pas que parker reste le seul marqueur dans cette equipe... en tous cas saluons quand même la densité du basket europeen, je me demande d'ailleurs si ce n'est pas plus agréable et plus instructif de regarder l'euroligue que la NBA où à part quelques equipes c'est devenue un sport "individuel"...
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VerttreV
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Si, si, j'allais le dire.cantalou a écrit :les serbes eliminés c'est bien une petite surprise dommage pour le basket et ce pays.... hum ils ont une telle tradition de ce sport dans ce pays qu'ils vont rebondir.... ha la grande epoque de l'equipe yougoslave kukoc divac petrovic and co... une dream team elle aussi...
bon j'espere une qualif des français pour pekin mais il faurai pas que parker reste le seul marqueur dans cette equipe... en tous cas saluons quand même la densité du basket europeen, je me demande d'ailleurs si ce n'est pas plus agréable et plus instructif de regarder l'euroligue que la NBA où à part quelques equipes c'est devenue un sport "individuel"...
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Les Grecs sont champions d'Europe en titre.
Les Espagnols sont champions du monde en titre.
Les Grecs sont par ailleurs vice-champions du monde en titre.
Nous serons champions de France car nous sommes les premiers, nous serons champions de France car nous sommes les Stéphanois
[media]https://media.giphy.com/media/dXioubI5naw1yiO9PZ/source.gif[/media]
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Oki merci.vinsanity a écrit :Si si. Les 3 premiers de chaque poule sont qualifiés pour le tour suivant, et les victoires obtenues au premier tour contre les équipes qualifiées comptent dans cette seconde phase de poule. Par exemple, pour la France, comme l'Italie et la Slovénie se sont qualifiés, elle comptera 1 victoire et 1 défaite au début de cette seconde phase de poule. Et seuls les deux derniers de chaque poule seront éliminés pour les quarts. L'important est de finir assez haut pour ne pas tomber contre les meilleures équipes ...Vertdur a écrit :J'y connais pas grand chose mais ils n'étaient pas qualifiés les Français déjà, quoi qu'il en soit ?
Le programme des matchs du deuxième tour :
08.09.2007 à 16h30 : France vs Allemagne
10.09.2007 à 19h00 : France vs Lithuanie
12.09.2007 à 19h00 : France vs Turquie
http://www.eurobasket2007.org/en/default.asp
08.09.2007 à 16h30 : France vs Allemagne
10.09.2007 à 19h00 : France vs Lithuanie
12.09.2007 à 19h00 : France vs Turquie
http://www.eurobasket2007.org/en/default.asp
"Pas de panique" - Guide du routard galactique 
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boubynight
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Basket - Amical (F) - France - Australie :75-52
L'équipe de France féminie a dominé jeudi l'Australie (75-52), certes privée de ses titulaires, en match de préparation à l'Euro 2007. Menant de 28 points à mi-parcours, les Bleues faiblissaient lors du 3e quart-temps mais ne lâchaient pas la victoire, portées par leur meneuse Audrey Seuret et l'arrière de Valenciennes Emilie Gomis.
Les deux formations se retrouvent vendredi pour une revanche à Denain, match à l'issue duquel le nom des 12 sélectionnées pour l'Euro 2007 devrait être annoncé.
+
Basket - ChE(H) - Turiaf jouera samedi
Victime d'une luxation à l'épaule droite, Ronny Turiaf devrait pouvoir tenir son rôle, samedi, face à l'Allemagne, pour le 2e tour de l'Euro. Le pivot de l'équipe de France a passé jeudi matin à Madrid des examens qui ont confirmé l'existence d'une disjonction acromio-claviculaire de grade 1.«Normalement il devrait jouer après-demain» (samedi), a déclaré Claude Bergeaud en conférence de presse.
«Il sent quelque chose (à l'épaule) mais ce n'est pas une douleur qui puisse lui faire imaginer des trucs gravissimes, a-t-il ajouté. Il va s'entraîner ce soir (jeudi), il va courir, mais il ne va pas soulever le bras.»
L'équipe de France féminie a dominé jeudi l'Australie (75-52), certes privée de ses titulaires, en match de préparation à l'Euro 2007. Menant de 28 points à mi-parcours, les Bleues faiblissaient lors du 3e quart-temps mais ne lâchaient pas la victoire, portées par leur meneuse Audrey Seuret et l'arrière de Valenciennes Emilie Gomis.
Les deux formations se retrouvent vendredi pour une revanche à Denain, match à l'issue duquel le nom des 12 sélectionnées pour l'Euro 2007 devrait être annoncé.
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Basket - ChE(H) - Turiaf jouera samedi
Victime d'une luxation à l'épaule droite, Ronny Turiaf devrait pouvoir tenir son rôle, samedi, face à l'Allemagne, pour le 2e tour de l'Euro. Le pivot de l'équipe de France a passé jeudi matin à Madrid des examens qui ont confirmé l'existence d'une disjonction acromio-claviculaire de grade 1.«Normalement il devrait jouer après-demain» (samedi), a déclaré Claude Bergeaud en conférence de presse.
«Il sent quelque chose (à l'épaule) mais ce n'est pas une douleur qui puisse lui faire imaginer des trucs gravissimes, a-t-il ajouté. Il va s'entraîner ce soir (jeudi), il va courir, mais il ne va pas soulever le bras.»
[quote="Vertdur"]Bouby a fait du bon boulot :wink:[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
[quote="Cmagix"]un but de bouby[/quote]
[quote="billups42"]
C'est bien boubynight.....1er pour les infos[/quote]
L'Est prend position
La première phase de l'Euro 2007 a livré ses premiers enseignements. Tout d'abord, le basket de l'Europe de l'Est se porte bien en Espagne puisque la Russie, la Lituanie, la Slovénie et la Croatie ont terminé aux premières places des quatre poules. Ensuite, les favoris espagnols et grecs ont déjà connu la défaite, tout comme la France et l'Allemagne. Enfin, la grosse surprise est venue de l'élimination prématurée de la Serbie, championne du monde en 2002, et boutée hors de la compétition mercredi par Israël.
Après les trois premières journées du Championnat d'Europe 2007 débuté lundi, l'heure est déjà au premier bilan, certes provisoire, mais pas dénué de riches enseignements. Ainsi, hormis la surprenante élimination de la Serbie à l'issue de la première phase, celles de la Pologne, de la Lettonie et de la République tchèque répondent à la logique. Malgré une équipe rajeunie et privée d'une grande partie de ses joueurs NBA, la Serbie semblait avoir les armes pour s'extirper du « groupe de la mort » composé de la Grèce, de la Russie et d'Israël. Mais la défaite concédée mardi d'un point et après prolongation contre les Grecs a laissé plus de traces que l'on ne l'imaginait dans les têtes des hommes de Zoran Slavnic. Incapables de se débarrasser mercredi du dernier invité de la compétition, Israël, les champions d'Europe 2001 et du monde 2002, ont quitté l'Espagne la tête basse avec le terrible sentiment de ne pas avoir pu trouver d'alternatives à leur trio de stars Milan Gurovic (19 points), Darko Milicic (14,7) et Marko Jaric (12,7).
A l'inverse des Serbes, la Russie et la Lituanie, outsiders de taille en quête du titre continental, ont assumé leur statut lors de la première phase. Impressionnants de maîtrise face à la Grèce, la Serbie et Israël, les Russes et leur défense de fer (64,6 points concédés en moyenne) ont déjà marqué les esprits derrière un Andrei Kirilenko plus à la fête que lors sa dernière saison NBA (17,7 points et 14 rebonds par match). De leur côté, les Lituaniens ont également réalisé un sans-faute avec des succès probants face à la Turquie, la République tchèque et l'Allemagne. Quelque peu en retrait depuis deux ans, les Baltes ont retrouvé des couleurs avec le retour en sélection de leur maître à jouer Sarunas Jasikevicius (14,3 points et 7 passes de moyenne). Parmi les trois futurs adversaires de l'équipe de France lors de la seconde phase de poules, les hommes de Ramunas Butaudas s'affichent dès à présent comme de très sérieux candidats à la succession des Grecs, sacrés rois d'Europe voilà deux ans.
Nowitzki, Parker et Gasol tiennent leur rôle
Une autre équipe a terminé la première phase invaincue. Il s'agit de la Slovénie, tombeuse dans la poule D des Bleus et de l'Italie d'un petit point à chaque fois, et qui entamera donc la deuxième phase avec quatre points au compteur, ce qui lui permet d'envisager assez sereinement une qualification pour les quarts de finale. Moins bien pourvus en talents que les Russes ou les Lituaniens, les Slovènes, fidèles à leur réputation de joueurs accrocheurs, ne semblent toutefois pas taillés pour viser le podium européen. Moins en tout cas que l'Espagne et la Grèce, bien que les deux grands favoris de la compétition aient déjà perdu une rencontre dans l'épreuve.
Mercredi soir a en effet été la journée des surprises avec la défaite de l'Espagne devant la Croatie et, à un degré moindre certes, de la Grèce face à la Russie. Impériaux lors de leurs deux premières rencontres devant le Portugal et la Lettonie, les Espagnols sont tombés de très haut en concédant un revers, court certes (84-85), mais non moins étonnant contre les Croates qui terminent finalement premiers de leur groupe malgré une défaite initiale contre la Lettonie. Malgré ce couac non rédhibitoire, les champions du monde en titre, portés par Pau Gasol (23,7 points de moyenne), et soutenus par tout un peuple, restent les grands favoris de leur Euro. Les Grecs, poussifs lors de leurs trois premiers matches, font-ils eux-aussi toujours figure de grands prétendants à la médaille d'or ? Oui sans hésitation tant les coéquipiers de Theodoros Papaloukas demeurent les champions des matches couperets, une équipe que beaucoup d'autres aimeraient bien éviter lorsque les choses très sérieuses débuteront à partir des quarts de finale.
L'équipe de France en tête. Mais avant de songer à ne pas tomber sur sa bête noire lors de la phase finale, les Bleus vont déjà devoir aller chercher leur billet pour les quarts. Après deux succès assez poussifs devant la Pologne et l'Italie, les hommes de Claude Bergeaud ont perdu assez gros en laissant filer mercredi soir une victoire qui leur tendait les bras face aux Slovènes. Un revers qui ôte tout filet aux Tricolores pour la deuxième phase. Opposés respectivement samedi, lundi et mercredi, à l'Allemagne, la Lituanie et la Turquie, les partenaires de Boris Diaw, bien trop dépendants jusque-là des performances de Tony Parker (25,7 points de moyenne), auraient bon goût de décrocher au plus vite son troisième succès de la compétition, histoire de se rapprocher le plus rapidement possible des quarts de finale. Dans ce contexte, le duel programmé samedi face à l'Allemagne du meilleur marqueur de l'épreuve (devant Parker et Gasol, Ndlr) Dirk Nowitzki (29 points de moyenne) revêt déjà pour les Français en quête du podium une importance capitale.
www.sports.fr
La première phase de l'Euro 2007 a livré ses premiers enseignements. Tout d'abord, le basket de l'Europe de l'Est se porte bien en Espagne puisque la Russie, la Lituanie, la Slovénie et la Croatie ont terminé aux premières places des quatre poules. Ensuite, les favoris espagnols et grecs ont déjà connu la défaite, tout comme la France et l'Allemagne. Enfin, la grosse surprise est venue de l'élimination prématurée de la Serbie, championne du monde en 2002, et boutée hors de la compétition mercredi par Israël.
Après les trois premières journées du Championnat d'Europe 2007 débuté lundi, l'heure est déjà au premier bilan, certes provisoire, mais pas dénué de riches enseignements. Ainsi, hormis la surprenante élimination de la Serbie à l'issue de la première phase, celles de la Pologne, de la Lettonie et de la République tchèque répondent à la logique. Malgré une équipe rajeunie et privée d'une grande partie de ses joueurs NBA, la Serbie semblait avoir les armes pour s'extirper du « groupe de la mort » composé de la Grèce, de la Russie et d'Israël. Mais la défaite concédée mardi d'un point et après prolongation contre les Grecs a laissé plus de traces que l'on ne l'imaginait dans les têtes des hommes de Zoran Slavnic. Incapables de se débarrasser mercredi du dernier invité de la compétition, Israël, les champions d'Europe 2001 et du monde 2002, ont quitté l'Espagne la tête basse avec le terrible sentiment de ne pas avoir pu trouver d'alternatives à leur trio de stars Milan Gurovic (19 points), Darko Milicic (14,7) et Marko Jaric (12,7).
A l'inverse des Serbes, la Russie et la Lituanie, outsiders de taille en quête du titre continental, ont assumé leur statut lors de la première phase. Impressionnants de maîtrise face à la Grèce, la Serbie et Israël, les Russes et leur défense de fer (64,6 points concédés en moyenne) ont déjà marqué les esprits derrière un Andrei Kirilenko plus à la fête que lors sa dernière saison NBA (17,7 points et 14 rebonds par match). De leur côté, les Lituaniens ont également réalisé un sans-faute avec des succès probants face à la Turquie, la République tchèque et l'Allemagne. Quelque peu en retrait depuis deux ans, les Baltes ont retrouvé des couleurs avec le retour en sélection de leur maître à jouer Sarunas Jasikevicius (14,3 points et 7 passes de moyenne). Parmi les trois futurs adversaires de l'équipe de France lors de la seconde phase de poules, les hommes de Ramunas Butaudas s'affichent dès à présent comme de très sérieux candidats à la succession des Grecs, sacrés rois d'Europe voilà deux ans.
Nowitzki, Parker et Gasol tiennent leur rôle
Une autre équipe a terminé la première phase invaincue. Il s'agit de la Slovénie, tombeuse dans la poule D des Bleus et de l'Italie d'un petit point à chaque fois, et qui entamera donc la deuxième phase avec quatre points au compteur, ce qui lui permet d'envisager assez sereinement une qualification pour les quarts de finale. Moins bien pourvus en talents que les Russes ou les Lituaniens, les Slovènes, fidèles à leur réputation de joueurs accrocheurs, ne semblent toutefois pas taillés pour viser le podium européen. Moins en tout cas que l'Espagne et la Grèce, bien que les deux grands favoris de la compétition aient déjà perdu une rencontre dans l'épreuve.
Mercredi soir a en effet été la journée des surprises avec la défaite de l'Espagne devant la Croatie et, à un degré moindre certes, de la Grèce face à la Russie. Impériaux lors de leurs deux premières rencontres devant le Portugal et la Lettonie, les Espagnols sont tombés de très haut en concédant un revers, court certes (84-85), mais non moins étonnant contre les Croates qui terminent finalement premiers de leur groupe malgré une défaite initiale contre la Lettonie. Malgré ce couac non rédhibitoire, les champions du monde en titre, portés par Pau Gasol (23,7 points de moyenne), et soutenus par tout un peuple, restent les grands favoris de leur Euro. Les Grecs, poussifs lors de leurs trois premiers matches, font-ils eux-aussi toujours figure de grands prétendants à la médaille d'or ? Oui sans hésitation tant les coéquipiers de Theodoros Papaloukas demeurent les champions des matches couperets, une équipe que beaucoup d'autres aimeraient bien éviter lorsque les choses très sérieuses débuteront à partir des quarts de finale.
L'équipe de France en tête. Mais avant de songer à ne pas tomber sur sa bête noire lors de la phase finale, les Bleus vont déjà devoir aller chercher leur billet pour les quarts. Après deux succès assez poussifs devant la Pologne et l'Italie, les hommes de Claude Bergeaud ont perdu assez gros en laissant filer mercredi soir une victoire qui leur tendait les bras face aux Slovènes. Un revers qui ôte tout filet aux Tricolores pour la deuxième phase. Opposés respectivement samedi, lundi et mercredi, à l'Allemagne, la Lituanie et la Turquie, les partenaires de Boris Diaw, bien trop dépendants jusque-là des performances de Tony Parker (25,7 points de moyenne), auraient bon goût de décrocher au plus vite son troisième succès de la compétition, histoire de se rapprocher le plus rapidement possible des quarts de finale. Dans ce contexte, le duel programmé samedi face à l'Allemagne du meilleur marqueur de l'épreuve (devant Parker et Gasol, Ndlr) Dirk Nowitzki (29 points de moyenne) revêt déjà pour les Français en quête du podium une importance capitale.
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En ce moment même début du second tour avec Russie - Portugal
La Russie mène assez facilement 44 à 30 à la mi-temps. Des russes qui semblent vraiment bien en place, adroits, qui font bien tourner le ballon, et surtout avec un leader, Kirilenko, en pleine forme et avec le moral au beau fixe après une saison terminée en eau de boudin avec le Jazz d'Utah ... 12pts 4rbds 3ast à la mi-temps.
La Russie mène assez facilement 44 à 30 à la mi-temps. Des russes qui semblent vraiment bien en place, adroits, qui font bien tourner le ballon, et surtout avec un leader, Kirilenko, en pleine forme et avec le moral au beau fixe après une saison terminée en eau de boudin avec le Jazz d'Utah ... 12pts 4rbds 3ast à la mi-temps.
Euro 2007: L'Espagne dispose de la Grèce
Dans le match au sommet de la deuxième journée de l'Euro disputée vendredi à Madrid, l'Espagne a dominé la Grèce (76-58). Les champions du monde ont ainsi une nouvelle fois dominé les tenants du titre européen, comme c'était déjà le cas lors de la dernière finale du Mondial.
Euro 2007: La sensation Israël
Surprise à l'Euro, Israël s'est imposé vendredi à Madrid face à la Croatie (80-75), lors de la 1ère journée du 2e tour du groupe E.
Euro 2007: La Russie s'impose
La Russie s'est tranquillement imposée, vendredi pour le compte de la 1ère journée de la deuxième phase de l'Euro 2007, face au Portugal, 78-65. Le Russe Andrei Kirilenko, joueur des Utah Jazz, s'est encore fait remarquer en finissant meilleur marqueur du match (16 points). Les deux équipes font partie du groupe E avec la Croatie, l'Israël, l'Espagne et la Grèce.
Et pour l'EDF féminine :
Amical: Les Bleues en confiance
La France s'est imposée vendredi à Denain (Nord) une deuxième fois en deux jours face à l'Australie (78-61), championne du monde en titre, en match de préparation à l'Euro.
www.sports.fr
Enfin, une petite annonce pour une animation pour découvrir le SEB version 2007-2008 avec entrée gratuite :
Concert Hip-Hop gratuit et match amical contre St Vallier pour le SEB
Et puis :
La Chorale fait match nul !
Dans le match au sommet de la deuxième journée de l'Euro disputée vendredi à Madrid, l'Espagne a dominé la Grèce (76-58). Les champions du monde ont ainsi une nouvelle fois dominé les tenants du titre européen, comme c'était déjà le cas lors de la dernière finale du Mondial.
Euro 2007: La sensation Israël
Surprise à l'Euro, Israël s'est imposé vendredi à Madrid face à la Croatie (80-75), lors de la 1ère journée du 2e tour du groupe E.
Euro 2007: La Russie s'impose
La Russie s'est tranquillement imposée, vendredi pour le compte de la 1ère journée de la deuxième phase de l'Euro 2007, face au Portugal, 78-65. Le Russe Andrei Kirilenko, joueur des Utah Jazz, s'est encore fait remarquer en finissant meilleur marqueur du match (16 points). Les deux équipes font partie du groupe E avec la Croatie, l'Israël, l'Espagne et la Grèce.
Et pour l'EDF féminine :
Amical: Les Bleues en confiance
La France s'est imposée vendredi à Denain (Nord) une deuxième fois en deux jours face à l'Australie (78-61), championne du monde en titre, en match de préparation à l'Euro.
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Heat: Intérêt prononcé pour Allan Houston
Le Miami Heat espère recruter Allan Houston, retraité des parquets NBA depuis deux ans. L'équipe dirigée par Pat Riley aurait manifesté un vif intérêt pour l'ancien arrière des Knicks, qui serait par ailleurs ami avec Shaquille O'Neal, pivot des Floridiens. Mais une source proche du dossier a révélé au New York Daily News que les Cleveland Cavaliers seraient également sur le coup.
Lakers: Phil Jackson au Hall of Fame
Phil Jackson, entraîneur des Los Angeles Lakers, a fait son entrée vendredi dans le Hall of Fame de la NBA, cercle fermé des "monuments" de la ligue. Avec dix titres à son actif, neuf sur le banc et un sur le terrain (1973), il est l'une des sept personnalités conviées cette année. Jackson a notamment dirigée l'équipe des Chicago Bulls et son trio Jordan, Pippen, Rodman.
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Le Miami Heat espère recruter Allan Houston, retraité des parquets NBA depuis deux ans. L'équipe dirigée par Pat Riley aurait manifesté un vif intérêt pour l'ancien arrière des Knicks, qui serait par ailleurs ami avec Shaquille O'Neal, pivot des Floridiens. Mais une source proche du dossier a révélé au New York Daily News que les Cleveland Cavaliers seraient également sur le coup.
Lakers: Phil Jackson au Hall of Fame
Phil Jackson, entraîneur des Los Angeles Lakers, a fait son entrée vendredi dans le Hall of Fame de la NBA, cercle fermé des "monuments" de la ligue. Avec dix titres à son actif, neuf sur le banc et un sur le terrain (1973), il est l'une des sept personnalités conviées cette année. Jackson a notamment dirigée l'équipe des Chicago Bulls et son trio Jordan, Pippen, Rodman.
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Obi-Wan Kenobi
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- Localisation : l autre pays du fromage
Chui pas un expert comme sport.fr mais j aurai peut etre mis Horace Grant et non pas Rodman dans le trio non ?vinsanity a écrit :Heat: Intérêt prononcé pour Allan Houston
Le Miami Heat espère recruter Allan Houston, retraité des parquets NBA depuis deux ans. L'équipe dirigée par Pat Riley aurait manifesté un vif intérêt pour l'ancien arrière des Knicks, qui serait par ailleurs ami avec Shaquille O'Neal, pivot des Floridiens. Mais une source proche du dossier a révélé au New York Daily News que les Cleveland Cavaliers seraient également sur le coup.
Lakers: Phil Jackson au Hall of Fame
Phil Jackson, entraîneur des Los Angeles Lakers, a fait son entrée vendredi dans le Hall of Fame de la NBA, cercle fermé des "monuments" de la ligue. Avec dix titres à son actif, neuf sur le banc et un sur le terrain (1973), il est l'une des sept personnalités conviées cette année. Jackson a notamment dirigée l'équipe des Chicago Bulls et son trio Jordan, Pippen, Rodman.
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Obi-Wan Kenobi
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Bah disons que c'est surtout duo Pippen/Jordan, même si bien sur ils ont été épaulés. Mais là entre Grant et Rodman, je pense que le nom du second parle plus aux yeux du grand public.Obi-Wan Kenobi a écrit :Chui pas un expert comme sport.fr mais j aurai peut etre mis Horace Grant et non pas Rodman dans le trio non ?
A part ça gros match de l'EDF
Un jeu offensif leché :shock: une défense très performante sur Nowitzki obligé de beaucoup forcé. Bon Boris c'est toujours pas ça, on va pas se le cacher. Mais cette fois il a eu le mérite de prendre pas mal de rebonds assez chauds. Avec Turiaf-Pietrus-Kirksay-Diawara-Parker sur le terrain on est vraiment très performants. Reste à voir ce que ça donnera contre les lituaniens ...Enfin lancés !
Poussive lors de la première phase, l'équipe de France a véritablement pris son envol dans l'Euro 2007 samedi à Madrid face à l'Allemagne. Pour leur premier match du groupe F, les hommes de Claude Bergeaud ont livré une solide prestation pour prendre la mesure de la bande à Dirk Nowitzki (78-66). Un succès précieux dans l'optique de la qualification pour les quarts de finale de l'épreuve mais aussi rassurant dans la forme, les coéquipiers de Tony Parker (23 points) ayant enfin retrouvé leur jeu collectif.
L'équipe de France a trouvé son match de référence. Si tout ne fut pas parfait samedi face à l'Allemagne à l'occasion de son premier match de la deuxième phase du Championnat d'Europe, les Bleus ont néanmoins livré leur prestation la plus aboutie depuis le début de l'épreuve espagnole. Après avoir quitté Alicante frustrés mercredi soir dans la foulée de leur décevante défaite devant la Slovénie, les Français avaient hâte de fouler le parquet de l'immense Telefonica Arena de Madrid (10 500 places assises) pour prouver qu'ils valaient bien mieux que l'image qu'ils avaient laissée dans le sud-est de l'Espagne. Si les gradins du gigantesque complexe madrilène étaient plutôt clairsemés - l'Espagne ne jouant pas les mêmes jours que la France lors de cette deuxième phase - les partenaires de Boris Diaw ont quand même régalé le public par un jeu collectif bien plus léché que celui produit à Alicante.
Outre pour l'opposition entre les deux MVP NBA de la saison dernière, Dirk Nowitzki et Tony Parker, ce France-Allemagne valait le détour dans l'optique de la qualification pour les quarts de finale. Les deux équipes entamant la deuxième phase en troisième position du groupe F avec deux points à leur compteur, l'enjeu du match était simple: son vainqueur voyait s'éclaircir l'horizon en même temps que celui-ci s'obscurcissait pour le vaincu. Malgré l'enjeu, l'entame de ce match capital était des plus enlevées, les deux équipes se rendant coup pour coup avec beaucoup d'adresse dès les premières minutes. Côté bleu, le ballon circulait plutôt bien et, bonne nouvelle, Parker n'était pas le seul à être en verve offensivement. Entré très tôt sur le parquet pour suppléer Frédéric Weis, handicapé par les fautes, Ronny Turiaf, bel et bien d'attaque malgré une disjonction acromio-claviculaire de l'épaule droite, souvenir de son duel d'hommes face à Rasho Nesterovic mercredi dernier, apportait huit points lors du premier quart-temps que les Bleus terminaient avec six longueurs d'avance (26-20, 10e).
TP n'est plus seul
La machine tricolore se débridait encore davantage dès les premiers instants du deuxième acte. Florent Pietrus, hyperactif comme d'accoutumée, collait aux basques de Nowitzki en défense, et alimentait également la marque des Français, à l'intérieur comme derrière la ligne des 6 mètres 25. Couplée à la bonne entrée de Tarik Kirksay, lui aussi au four et au moulin, et au dynamisme d'un Boris Diaw plus dynamique que lors de la première phase, l'équipe de France prenait la mesure d'une formation allemande bien trop dépendante de la réussite de son maitre à jouer Nowitzki. Le vétéran Ademola Okulaja (14 points, 9 rebonds) avait beau se démener sous les paniers, les Tricolores maîtrisaient bien leur sujet et tournaient à la mi-temps avec une avance de huit longueurs (47-39).
Un 0-6 encaissé d'entrée de troisième quart-temps faisait furtivement renaître le spectre du match face à la Slovénie. Mais les hommes de Claude Bergeaud, lequel avait décidé de relancer Yakhouba Diawara et Tariq Kirksay dans le 5 majeur après le repos, en lieu et place de Joseph Gomis et Fred Weis, encore une fois trop transparents, répondaient par un 12-0 orchestré par Tony Parker et Cédric Ferchaud en réussite à longue distance. Réduisant l'attaque allemande à 10 points lors du troisième quart-temps bouclé avec 13 unités d'avance (62-49, 30e), les Français avaient réussi le plus dur contre une formation qui avait bouclé la première phase avec une moyenne de 80,6 points par match. Symbole du chantier provoqué par la défense tricolore, Dirk Nowitzki, qui avait atteint la pause avec 19 points au compteur, n'inscrivait ses 20e et 21e qu'à la 13e minute de la seconde mi-temps. Pietrus et Diawara étaient passés par là, contraignant l'ailier des Mavericks à forcer ses shoots.
S'il terminait la partie avec la bagatelle de 28 points à 12 sur 26 au tir, l'homme à tout faire de l'Allemagne n'a jamais trouvé la mire à 3 points (2 sur 9). Le dernier quart-temps, bien géré par les Bleus, permettait aussi à Yohann Sangaré et Sacha Giffa de se montrer un peu. Encore une fois meilleur joueur de son équipe, TP (23 points à 9 sur 15), sortait sous les acclamations du public espagnol. Turiaf, troisième marqueur des Bleus avec 11 points, derrière Pietrus (12 points), avait lui aussi mis le public dans sa poche par son activité incessante et son tonus de tous les instants.
Finalement vainqueurs avec 12 longueurs d'avance (78-66, 40e), les Tricolores ont ainsi fait un grand pas vers les quarts de finale, même s'il faudrait encore décrocher un succès pour s'assurer d'être au rendez-vous des huit meilleures nations du continent. La première occasion se présentera lundi contre la Lituanie. Invaincue lors de la première phase, la bande à Sarunas Jasikevicius constituera un test de taille. De ceux qui permettent de voir si l'équipe de France est taillée pour atteindre son objectif de régner sur l'Europe.
www.sports.fr
Poussive lors de la première phase, l'équipe de France a véritablement pris son envol dans l'Euro 2007 samedi à Madrid face à l'Allemagne. Pour leur premier match du groupe F, les hommes de Claude Bergeaud ont livré une solide prestation pour prendre la mesure de la bande à Dirk Nowitzki (78-66). Un succès précieux dans l'optique de la qualification pour les quarts de finale de l'épreuve mais aussi rassurant dans la forme, les coéquipiers de Tony Parker (23 points) ayant enfin retrouvé leur jeu collectif.
L'équipe de France a trouvé son match de référence. Si tout ne fut pas parfait samedi face à l'Allemagne à l'occasion de son premier match de la deuxième phase du Championnat d'Europe, les Bleus ont néanmoins livré leur prestation la plus aboutie depuis le début de l'épreuve espagnole. Après avoir quitté Alicante frustrés mercredi soir dans la foulée de leur décevante défaite devant la Slovénie, les Français avaient hâte de fouler le parquet de l'immense Telefonica Arena de Madrid (10 500 places assises) pour prouver qu'ils valaient bien mieux que l'image qu'ils avaient laissée dans le sud-est de l'Espagne. Si les gradins du gigantesque complexe madrilène étaient plutôt clairsemés - l'Espagne ne jouant pas les mêmes jours que la France lors de cette deuxième phase - les partenaires de Boris Diaw ont quand même régalé le public par un jeu collectif bien plus léché que celui produit à Alicante.
Outre pour l'opposition entre les deux MVP NBA de la saison dernière, Dirk Nowitzki et Tony Parker, ce France-Allemagne valait le détour dans l'optique de la qualification pour les quarts de finale. Les deux équipes entamant la deuxième phase en troisième position du groupe F avec deux points à leur compteur, l'enjeu du match était simple: son vainqueur voyait s'éclaircir l'horizon en même temps que celui-ci s'obscurcissait pour le vaincu. Malgré l'enjeu, l'entame de ce match capital était des plus enlevées, les deux équipes se rendant coup pour coup avec beaucoup d'adresse dès les premières minutes. Côté bleu, le ballon circulait plutôt bien et, bonne nouvelle, Parker n'était pas le seul à être en verve offensivement. Entré très tôt sur le parquet pour suppléer Frédéric Weis, handicapé par les fautes, Ronny Turiaf, bel et bien d'attaque malgré une disjonction acromio-claviculaire de l'épaule droite, souvenir de son duel d'hommes face à Rasho Nesterovic mercredi dernier, apportait huit points lors du premier quart-temps que les Bleus terminaient avec six longueurs d'avance (26-20, 10e).
TP n'est plus seul
La machine tricolore se débridait encore davantage dès les premiers instants du deuxième acte. Florent Pietrus, hyperactif comme d'accoutumée, collait aux basques de Nowitzki en défense, et alimentait également la marque des Français, à l'intérieur comme derrière la ligne des 6 mètres 25. Couplée à la bonne entrée de Tarik Kirksay, lui aussi au four et au moulin, et au dynamisme d'un Boris Diaw plus dynamique que lors de la première phase, l'équipe de France prenait la mesure d'une formation allemande bien trop dépendante de la réussite de son maitre à jouer Nowitzki. Le vétéran Ademola Okulaja (14 points, 9 rebonds) avait beau se démener sous les paniers, les Tricolores maîtrisaient bien leur sujet et tournaient à la mi-temps avec une avance de huit longueurs (47-39).
Un 0-6 encaissé d'entrée de troisième quart-temps faisait furtivement renaître le spectre du match face à la Slovénie. Mais les hommes de Claude Bergeaud, lequel avait décidé de relancer Yakhouba Diawara et Tariq Kirksay dans le 5 majeur après le repos, en lieu et place de Joseph Gomis et Fred Weis, encore une fois trop transparents, répondaient par un 12-0 orchestré par Tony Parker et Cédric Ferchaud en réussite à longue distance. Réduisant l'attaque allemande à 10 points lors du troisième quart-temps bouclé avec 13 unités d'avance (62-49, 30e), les Français avaient réussi le plus dur contre une formation qui avait bouclé la première phase avec une moyenne de 80,6 points par match. Symbole du chantier provoqué par la défense tricolore, Dirk Nowitzki, qui avait atteint la pause avec 19 points au compteur, n'inscrivait ses 20e et 21e qu'à la 13e minute de la seconde mi-temps. Pietrus et Diawara étaient passés par là, contraignant l'ailier des Mavericks à forcer ses shoots.
S'il terminait la partie avec la bagatelle de 28 points à 12 sur 26 au tir, l'homme à tout faire de l'Allemagne n'a jamais trouvé la mire à 3 points (2 sur 9). Le dernier quart-temps, bien géré par les Bleus, permettait aussi à Yohann Sangaré et Sacha Giffa de se montrer un peu. Encore une fois meilleur joueur de son équipe, TP (23 points à 9 sur 15), sortait sous les acclamations du public espagnol. Turiaf, troisième marqueur des Bleus avec 11 points, derrière Pietrus (12 points), avait lui aussi mis le public dans sa poche par son activité incessante et son tonus de tous les instants.
Finalement vainqueurs avec 12 longueurs d'avance (78-66, 40e), les Tricolores ont ainsi fait un grand pas vers les quarts de finale, même s'il faudrait encore décrocher un succès pour s'assurer d'être au rendez-vous des huit meilleures nations du continent. La première occasion se présentera lundi contre la Lituanie. Invaincue lors de la première phase, la bande à Sarunas Jasikevicius constituera un test de taille. De ceux qui permettent de voir si l'équipe de France est taillée pour atteindre son objectif de régner sur l'Europe.
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L'atout Parker
On l'attendait pour être le guide de l'équipe de France en Espagne. Après quatre matches, Tony Parker est encore bien plus que cela dans cet Euro 2007. Deuxième meilleur marqueur de l'épreuve (25 points de moyenne), le meneur de jeu des Spurs est étincelant au point de porter, parfois, sa sélection à bout de bras. Privé du Mondial 2006 sur blessure, TP crève ainsi véritablement l'écran pour la première fois dans une grande compétition internationale. Et son immense talent sera encore requis dès lundi dans le choc du groupe F face à la toujours invaincue Lituanie.
Il les a tous écoeurés. Polonais, Italiens, Slovènes et Allemands cherchent toujours à le rattraper. Mais le dragster Tony Parker coure beaucoup trop vite pour le commun des mortels. L'un des joueurs au premier pas le plus rapide au monde n'a toujours pas trouvé l'homme qui sera capable de stopper son jeu en pénétration lors de cet Euro 2007. Auteur respectivement de 16, 36, 25 et 23 points lors de ses quatre premières sorties espagnoles, le MVP de la dernière finale NBA a éclaboussé de toute sa classe le début du Championnat d'Europe, au même titre que les deux autres grandes stars européennes évoluant outre-Atlantique, Dirk Nowitzki et Pau Gasol.
Il faut dire que le jeune marié avait à coeur de frapper un grand coup à l'occasion de ce Championnat d'Europe. Privé à la dernière minute du Mondial au Japon l'année dernière en raison d'une fracture de l'index, Parker, fidèle au maillot tricolore depuis qu'il est en âge de le porter dans les diverses sélections de jeunes, mourait d'envie de montrer sous le maillot français dans une grande compétition internationale ce qu'il produit depuis plusieurs années maintenant sur les parquets américains face aux meilleurs joueurs de la planète. Le tout avec toujours le souci de la réussite collective. Ainsi, après quatre matches disputés dans ce Championnat d'Europe, il n'est pas usurpé de dire que TP porte l'équipe de France sur ses épaules, même si, face à l'Allemagne samedi, d'autres joueurs, notamment Florent Pietrus, Ronny Turiaf et Tariq Kirksay, ont bien épaulé leur meneur de jeu, lequel avait inscrit pas moins de 37% des points des Bleus lors de la première phase !
Une réussite exceptionnelle
En plus de scorer - il tourne à 25 points de moyenne par match - Parker affiche un taux de réussite aussi exceptionnel que celui auquel il nous a habitués avec San Antonio. 55% de réussite à 2 points, près de 40% à 3 points (39,3), près de 80% aux lancers francs (79,3), le triple champion NBA affole les statistiques. La seule ombre au tableau du meneur de jeu français jusque-là demeure d'avoir manqué le lancer franc de l'égalisation au buzzer contre la Slovénie, mais difficile toutefois de lui jeter la pierre tant il avait une fois encore été le meilleur de son équipe ce jour là.
Nul doute que l'équipe de France, en bonne position pour accéder aux quarts de finale à deux matches de la fin de la deuxième phase, va encore avoir besoin d'un Parker au top si elle veut continuer à rêver au titre continental. Et ce dès lundi dans le choc qui s'annonce face à la Lituanie, l'une des trois équipes avec la Russie et la Slovénie à avoir conservé leur invincibilité à l'issue des quatre premières journées. Une rencontre au cours de laquelle le numéro 9 des Bleus livrera un face à face alléchant avec Sarunas Jasikevicius. Une opposition de style entre deux des meilleurs meneurs de jeu du monde qui promet des étincelles.
Meneur classique, gestionnaire et excellent passeur, le Lituanien, de retour en sélection lors de ce Championnat d'Europe, risque de souffrir face à la vitesse du Français, lui qui demeure un piètre défenseur. Mais sa vision du jeu, sa capacité à enflammer un match sur une série de shoots longue distance, son leadership aussi, promet de donner du fil à retordre à TP. Un véritable match dans le match qui aura forcément une grande influence sur le résultat final. Le genre de duel que Parker adore. On en salive d'avance.
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On l'attendait pour être le guide de l'équipe de France en Espagne. Après quatre matches, Tony Parker est encore bien plus que cela dans cet Euro 2007. Deuxième meilleur marqueur de l'épreuve (25 points de moyenne), le meneur de jeu des Spurs est étincelant au point de porter, parfois, sa sélection à bout de bras. Privé du Mondial 2006 sur blessure, TP crève ainsi véritablement l'écran pour la première fois dans une grande compétition internationale. Et son immense talent sera encore requis dès lundi dans le choc du groupe F face à la toujours invaincue Lituanie.
Il les a tous écoeurés. Polonais, Italiens, Slovènes et Allemands cherchent toujours à le rattraper. Mais le dragster Tony Parker coure beaucoup trop vite pour le commun des mortels. L'un des joueurs au premier pas le plus rapide au monde n'a toujours pas trouvé l'homme qui sera capable de stopper son jeu en pénétration lors de cet Euro 2007. Auteur respectivement de 16, 36, 25 et 23 points lors de ses quatre premières sorties espagnoles, le MVP de la dernière finale NBA a éclaboussé de toute sa classe le début du Championnat d'Europe, au même titre que les deux autres grandes stars européennes évoluant outre-Atlantique, Dirk Nowitzki et Pau Gasol.
Il faut dire que le jeune marié avait à coeur de frapper un grand coup à l'occasion de ce Championnat d'Europe. Privé à la dernière minute du Mondial au Japon l'année dernière en raison d'une fracture de l'index, Parker, fidèle au maillot tricolore depuis qu'il est en âge de le porter dans les diverses sélections de jeunes, mourait d'envie de montrer sous le maillot français dans une grande compétition internationale ce qu'il produit depuis plusieurs années maintenant sur les parquets américains face aux meilleurs joueurs de la planète. Le tout avec toujours le souci de la réussite collective. Ainsi, après quatre matches disputés dans ce Championnat d'Europe, il n'est pas usurpé de dire que TP porte l'équipe de France sur ses épaules, même si, face à l'Allemagne samedi, d'autres joueurs, notamment Florent Pietrus, Ronny Turiaf et Tariq Kirksay, ont bien épaulé leur meneur de jeu, lequel avait inscrit pas moins de 37% des points des Bleus lors de la première phase !
Une réussite exceptionnelle
En plus de scorer - il tourne à 25 points de moyenne par match - Parker affiche un taux de réussite aussi exceptionnel que celui auquel il nous a habitués avec San Antonio. 55% de réussite à 2 points, près de 40% à 3 points (39,3), près de 80% aux lancers francs (79,3), le triple champion NBA affole les statistiques. La seule ombre au tableau du meneur de jeu français jusque-là demeure d'avoir manqué le lancer franc de l'égalisation au buzzer contre la Slovénie, mais difficile toutefois de lui jeter la pierre tant il avait une fois encore été le meilleur de son équipe ce jour là.
Nul doute que l'équipe de France, en bonne position pour accéder aux quarts de finale à deux matches de la fin de la deuxième phase, va encore avoir besoin d'un Parker au top si elle veut continuer à rêver au titre continental. Et ce dès lundi dans le choc qui s'annonce face à la Lituanie, l'une des trois équipes avec la Russie et la Slovénie à avoir conservé leur invincibilité à l'issue des quatre premières journées. Une rencontre au cours de laquelle le numéro 9 des Bleus livrera un face à face alléchant avec Sarunas Jasikevicius. Une opposition de style entre deux des meilleurs meneurs de jeu du monde qui promet des étincelles.
Meneur classique, gestionnaire et excellent passeur, le Lituanien, de retour en sélection lors de ce Championnat d'Europe, risque de souffrir face à la vitesse du Français, lui qui demeure un piètre défenseur. Mais sa vision du jeu, sa capacité à enflammer un match sur une série de shoots longue distance, son leadership aussi, promet de donner du fil à retordre à TP. Un véritable match dans le match qui aura forcément une grande influence sur le résultat final. Le genre de duel que Parker adore. On en salive d'avance.
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TitusPullo77
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