Retenons-nous de faire un malheur

De nombreux potonautes boursouflés d’inculture footballistique crasse m’écrivent pour me demander : Â« quand ??? Â». Quand quoi ? « Quand donc serons-nous champions de France ? Â» Ah ! Ce quand là ! Eh, bien non ! En vérité, je vous le dis, et même, je le contrepète approximativement : il n’est pas encore venu le temps d'éclater Diarra.

 

Et je le prouve !

 

Servons- nous un bon Vert d’AJAja. Même après 1h30 de digestion, nous pourrons toujours souffler dans le ballon : le résultat sera nul et vierge ! Zéro ! Zéro !

 

Alors que nous étions partis pour nous enflammer à notre retour de Toulouse, nous nous sommes heureusement retenus de faire un malheur.

 

Comme veut le poète, Il faut en toute chose raison garder et poteaux ronds au besoin claquer pour une huitième place assurer.

 

Un vieux dicton de nos anciens qui eux s’y connaissaient en matière de malheur (et de jaja) disait : « Un bon huit vaut mieux que cinq tu l’auras ! Â».

 

Etonnant, non ?